mikesp 10432 - 17/02/2014 17:21:05 Pour ce genre de mouche, une bonne tapette taillée dans la bande de roulement d'un pneu de camion devrait faire l'affaire.
Ellie C. 10434 - 17/02/2014 18:49:36 modifié le 17/02/2014 19:07:03 Eééééh non mais ! Personne n'a encore proposé le pneu à clous... Un peu trop SM ?
Ellie C. 10441 - 22/02/2014 18:04:23 modifié le 22/02/2014 18:11:57 Ça sera des fesses blanches, roses ou rouges pour le Monsieur ?... C'est pour offrir ou c'est pour vous ?
Iris 10443 - 23/02/2014 17:20:47 modifié le 23/02/2014 18:56:31 "Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre joue !" Idem pour la fesse droite... Et puisque nous en avons fini avec la mouche aux fesses généreuses et la p'tite souris sournoisement piégée, revenons à l'univers animalier avec les matous qui seraient eux aussi partagés entre les dominants et les soumis, les sados et les masos, les châtieurs et les victimes... A croire qu'il y aurait au moins chez certains un attrait prononcé pour les claques énergiques et le rudoiement ... En tout cas ces deux-là semblent y avoir goût et le moins qu'on puisse dire, c'est que celui en haut de l'échelle n'y va pas de main morte ! A propos "claques" j'ai été frappée ( sans jeu de mot) lors de mes quelques vagabondages sur différents endroits dédiés à "la fessée", classique ou moins classique, combien certaines personnes hier comme aujourd'hui sont à ce point fascinées par les scènes de domination/soumission et surtout, me semble-t-il, subjuguées par leur partenaire du moment, que non seulement elles ne rechignent pas, dans le cadre de jeux teintés d'esprit plus ou moins sadien, à se soumettre à des rites ou pratiques qui pourtant de prime abord peuvent paraître difficilement acceptables, mais qu'elles y trouvent un plaisir décuplé... Depuis les paires de gifles reçues en plein visage lequel est pourtant, comme me le disait récemment un ami cher, le sanctuaire de la personne, avec injonction de baiser avec déférence la main de celui qui les "prodigue", jusqu'aux apostrophes comme "salope", que parfois n'hésite pas à prononcer "le maître du châtiment", tout est pour elles et pour eux, partenaires complices, au cours de scénarios que le divin marquis n'aurait pas désavoués, prétexte à jouissance mutuelle... Fascination, emprise, mainmise, bref l'ascendant exercé dans des jeux d'autorité est tel qu'il fait parfois sortir des clous, oui mais... jusqu'à quel point ? Car cela m'amène tout naturellement à vous poser la question : si la domination et la soumission existent bien à des degrés divers dans nos jeux de fessées, toutefois jusqu'à quelles limites, tant physiques que psychologiques, acceptez-vous pour votre part d'aller ou de conduire votre partenaire ? Y a-t-il pour vous des zones à ne pas franchir et des frontières difficilement transgressables ?