Le-chou-rouge 10390 - 24/01/2014 16:40:28 modifié le 24/01/2014 16:41:49 Je m'aperçois que j'ai omis de répondre à la question d'Ellie dans mon dernier post; au lieu de quoi je me suis égaré dans des sarcasmes sur les murs mal isolés (acoustiquement). ^^; Bon, réparons cet oubli: personnellement, il est rare que je vocalise durant une fessée; ma fierté y est sans doute pour beaucoup, mais disons que je ne deviens loquace que lorsque l'on m'y pousse. En d'autres termes: quand ça claque vraiment fort! Voilà, c'est dit... Après, sur le sujet plus général des témoins visuels ou auditifs, je partage le point de vue d'Agramant pour l'essentiel. Avoir des témoins visuels qui ne seraient pas adeptes? Je ne l'envisage même pas! -D'abord un tel embarras ne me procurerait rien de plaisant et me causerait plutôt du souci -Ensuite, survient la question des ennuis que l'on pourrait avoir: un adulte qui donne une fessée à un autre adulte? Pour quelqu'un qui n'est pas dans le fantasme, ce n'est absolument pas évident à appréhender, encore moins à comprendre. Moyennant quoi, on se retrouvera probablement avec des personnes totalement choquées qui songeront uniquement à prévenir la police (ou la brigade des moeurs, selon les pays ). PS: Mike, j'aime les oranges, mais j'aime aussi le chocolat. ^^ Pour la question des témoins auditifs, le problème est à peu près le même: un bruit de claques répétées, c'est plutôt incongru. Ajoutez-y des pleurs ou des gémissements ou encore des supplications, et la personne en déduira certainement qu'elle a affaire à une scène de violence. Les violences domestiques, après avoir longtemps été un sujet tabou, commencent à être de plus en plus poursuivies et, dans l'absolu, on ne peut que s'en réjouir. Mais cette médaille a un revers, pour les adeptes de fessée: leurs jeux seront facilement assimilés à de telles scènes de violence. Donc, je ferai mienne une des formules favorites de Dame Iris - "Pour vivre heureux vivons cachés" - et je choisirai systématiquement des endroits où les risques d'être entendus sont faibles, sinon nuls. "Ce jour la il m'a semblé que le personnel de l’hôtel nous regardait bizarrement quand nous sommes repartis !" Seulement le personnel? Pas les autres clients aussi? Une telle impression est assez fréquente quand on joue à l'hôtel, mais je suis convaincu qu'elle est aussi, en partie, le fruit de l'imagination. Le tout est de savoir dans quelle proportion. ^^ Ceci me donne envie d'enchaîner sur une autre question; j'ignore si elle a déjà été posée ou non sur le blog (ou blose, lol), mais la réflexion sur les témoins me fait me demander ceci: Quels seraient vos endroits préférés pour recevoir une fessée? Pour ma part une chambre a ma préférence, bien que le salon fasse aussi l'affaire. Mais d'autres préfèrent la recevoir dans la salle de bain, dans l'ascenseur ou dans le garage, de gustibus et coloribus... Et même, plus largement, quels lieux vous émoustilleraient le plus? Susciteraient le plus d'émotions? (C'est le moment de faire parler votre imagination...) Par exemple, il m'arrive de songer à une fessée dans une cabane en haut d'un arbre (mais avec un lit confortable, faut pas déconner non plus ), dans un bateau habitable ou même au bord d'un lac sous les étoiles. ^^ D'autres préfèreraient un donjon, une église, un sous-marin... Ou même un vaisseau spatial! ("Dans les profondeurs de l'espace, on ne vous entendra pas crier..." Plus de problèmes de témoins auditifs, là ). Voilà, j'espère juste que cette question ne paraîtra pas trop extravagante...
Ellie C. 10391 - 24/01/2014 18:30:37 modifié le 24/01/2014 18:38:53 Dans une fusée, objectif lune ! Non mais je réfléchis pour de vrai... PS - Merci pour la petite chanson, Nuclear (la fessée nucléaire Ouuuh). Yves Duteil en jazz manouche ça doit pouvoir se faire...
mistinguette 10392 - 25/01/2014 17:00:06 modifié le 25/01/2014 17:06:44 Ces temps-ci, je suis en plein « voyage intérieur » comme dirait quelqu’un (n’est-ce pas Titi ?), et donc en phase de questionnements, de découverte… Bref, « Je me cherche » et ne suis pas toujours très très sûre de ce que j’avance, mais osef : > On pourrait quand même en tirer qqch et débattre par exemple des autres punitions associées à la fessée ? (mais ça risque d'être redondant ?) – Microbe Par exemple ? De mémoire, cette question vient après les fameuses lignes d’Ellie… Alors oui, il y a les lignes (qui m’amusent), le coin (debout, à genoux, les mains sur la tête, nez au mur etc), l’interdiction de porter une culotte, l’interdiction de jouir, une rédaction, devoir adopter une position particulière (pour ne pas dire indécente) ou dire des mots particuliers… Il y en a plein ! Suffit juste d’être un peu inventif… et d’aimer l’ambivalence des émotions que ces punitions procurent… > Ou alors de la notion de switch (en sachant qu'ici une fessée c'est H->F) Euh ? Oui ? Alors les fois où j’ai « switché » se comptent sur les doigts d’une main… sur un garçon et sur une fille… pas trop de commentaires à faire si ce n’est que j’ai apprécié vivre ces expériences et que les émotions éprouvées lorsqu’on donne sont – évidemment – tout à fait différentes de celles qui nous tombent dessus quand on reçoit… cette vue et ce toucher agréables, cette troublante sensation de puissance, ce léger degré de sadisme qui s’invite en vous… c’est terrible ! Mais c’est surtout le fait de sentir toute la confiance qu’une personne vous accorde en s’abandonnant à vos soins qui est juste … wow ! et qui me plait… Ceci dit, même si j’ai aimé faire ce que j’ai fait et que je recommencerai, je reste beaucoup plus dominée que dominante… > Ou bien de pourquoi utiliser le mot "jeu" ? (mais je ne suis pas sûre d'arriver à me faire comprendre sur ce questionnement-là ?...) Alors là, je balance le joker ! Ce qui m’apparaissait clairement comme un jeu à mes débuts l’est un peu moins avec le temps… Ce fantasme me procure des sentiments trop intenses et complexes pour que je le résume facilement au mot « jeu »… sans qu’il soit péjoratif, je trouve ce mot un poil réducteur. > Vocalisez-vous et aimez-vous vocaliser pendant que vous êtes punis les vilains et les vilaines ? Et je retourne la question aux "châtieurs", aimez-vous qu'on vous les cassasses ? – Ellie Est-ce que je vocalise ? Rarement. Est-ce que j’aime ça ? J’adore. Ça n’arrive que lorsque je suis véritablement « out of control » et que le mélange douleur/honte/excitation est parfaitement dosé… Bien sûr, celui qui me tape dessus comme une brute m’arrachera des cris… des cris de souffrance uniquement, pas ceux que j’aime, c’est-à-dire ceux qui caractérisent l’abandon total et la jouissance… Ah que c’est subtil, la fessée ! :-P Et sinon, bien que je ne me sois pas souvent retrouvée de l’autre côté du manche et que je n’aie pas assisté à beaucoup de fessées, je reconnais que j’aime voir ou sentir quelqu’un sursauter, se tortiller, entendre gémir… Sadique perverse, je suis ! :D Voilà que ça cause témoins visuels et auditifs maintenant… c’est qu’ils sont à fond en ce moment ! Chouette. Alors… mhhh… après avoir lu vos développements respectifs, je me dis : suis-je donc la seule que des allusions ou gestes explicites devant des non-avertis excitent terriblement ? Hein ? Alors ? > Quels seraient vos endroits préférés pour recevoir une fessée? – Chou L’endroit qu’il aura choisi. PS pour Papi : hey, si ça se trouve la femme de ménage est juste rentrée pour voir si vous aviez libéré la chambre... font ça souvent dans les hôtels ! Bon c'est ki ki a dit que je participais plus ici ? :p
Iris 10393 - 26/01/2014 01:44:38 modifié le 26/01/2014 02:51:32 Tant de questions posées à la fois et déjà tant de développements intéressants... Pour ce soir je me cantonnerai seulement à une toute petite partie d'entre elles. Le lieu le plus séduisant ou le plus émoustillant ? Au diable les endroits sophistiqués... Dans l'idéal vive la fessée bucolique en pleine nature, par exemple telle que je l'ai vécue jadis sur une plage désertée avec pour seuls témoins les oiseaux de mer, le mugissement des vagues, l'air vif et iodé qui vous fouette les fesses, la houle marine qui en apaise le feu; ou l'abri d'un sous-bois d'où ne parvient que le bruissement des arbres et des feuillages qui font écho à votre voix avec en prime la peur au ventre que ne surgisse au tournant du chemin la silhouette du garde-champêtre... Toutefois l'expérience m'a montré que ce n'est pas tant le lieu où se joue le scénario qui importe le plus que la personne avec qui on le joue... En tout cas sûrement pas le no man's land d'une chambre d'hôtel anonyme ni l'incongruité d'une église, encore que cela me soit arrivé par surprise il y a quelques années dans le cadre d'un beau presbytère, encore moins le côté ritualisé, sombre et quelque peu lugubre qui caractérise dans mes souvenirs un donjon; plutôt un lieu intime et chaleureux empreint de ma personnalité ou de celle du partenaire comme un salon cosy avec un feu de bois qui crépite, un sofa confortable, de petites lumières, un lieu où je me sente en confiance, encore qu'il convienne de ne pas confondre le décor qui sied à un dîner aux chandelles et celui qui émoustille pour une fessée... Pas de confusion, Iris ! Pourtant l'idéal n'est-il pas parfois que les deux puissent se conjuguer...? Des témoins auditifs parmi le voisinage immédiat ? Personnellement je ne pense ni utile ni particulièrement émoustillant d'avoir à affronter les regards curieux ou inquisiteurs, voire amusés de ceux que je croise occasionnellement dans l'ascenseur ou sur le trottoir mis au courant de mes pratiques fantasmatiques par des bruits intempestifs, que ce soit celui des claques, des gémissements ou des supplications éventuelles qui traverseraient les murs. Pas plus d'ailleurs que je ne cherche à connaître l'univers fantasmatique qui pourrait habiter la psyché de mes voisins. Non pas parce que ce sont des pratiques qu'une certaine morale traditionnelle réprouve, pas tant non plus une histoire de "qu'en dira-t-on" qu'une volonté légitime de garder secret ce qui doit le rester. Mon fantasme et moi-même avons parfaitement droit de demeurer nimbés de mystère.... Si je vocalise ? Je l'ignore, étant parfois à cette occasion dans un état second qui anesthésie ma conscience pleine et entière de la situation... Mais peut-être m'est-il déjà arrivé sous le feu de la fessée et pour tenter d'exorciser la douleur de pousser une sorte de tyrolienne... hola hol olle aille ouille aille ouyouyouye Ho-la-la-holle ouille ouille ouille
Agramant 10394 - 26/01/2014 07:43:30 "si ça se trouve la femme de ménage est juste rentrée pour voir si vous aviez libéré la chambre... font ça souvent dans les hôtels ! " Certes... Mais plus rarement pour une chambre louée (en théorie) jusqu'au lendemain matin...
Obstiné 10396 - 27/01/2014 10:42:23 modifié le 28/01/2014 08:06:05 La femme de ménage a sans doute entendu "l'appel" de la fessée ! Une excitation soudaine ...Raaaah ! j'en veux une ! pensait elle ! Peut-être espèrait-elle en prendre une, en entrant "inopinément" dans la chambre.
Titi 10397 - 27/01/2014 11:10:15 modifié le 27/01/2014 11:14:35 "La femme de ménage a sans doute entendu "l'appel" de la fessée " N'était t-elle pas déguisée en tenue de soubrette à cet instant précis? L'hypothèse d'Obstiné me semble, en effet, la plus crédible. épi céssa kejve croire !
Iris 10398 - 27/01/2014 22:40:54 modifié le 28/01/2014 00:09:00 Ah voilà ces messieurs surpris en train de gamberger avec ravissement sur la femme de ménage. Le fantasme de la soubrette... un fantasme purement masculin, non ? J'en connais même qui ne rêvent que d'arborer la coiffe et le tablier pour s'y adonner eux-mêmes avec un certain délice...
Ellie C. 10399 - 28/01/2014 08:03:18 Je vous prête mon costume les garçons, allez, contre une photo. Et vous me faites correctement le ménage chez Iris sans RIEN casser s'il vous plait !
Obstiné 10400 - 28/01/2014 08:33:50 modifié le 28/01/2014 08:46:24 Houla ! ce serait trés drôle ! c'est trés gentil, mais pour ma part non merci ! Tu as un costume de soubrette (on veut la photo!) Ellie ? Donc c'est à toi de faire le ménage chez Iris. Bonjour la casse ! Qui est la reine de la casse de la vaisselle et autres ...Qui ? hé hé...ah ah ah ! Je pense que Iris te punira trés trés sévèrement le jour où tu feras le ménage chez elle.