Ellie C. 10380 - 22/01/2014 09:17:13 modifié le 22/01/2014 12:34:19 Y en a qui ont regardé Sister Act l'autre soir, là ! Et d'abord, Obstiné, J'ai un chant fessale d'une rare justesse. Aaaaaah ouille ouille Aye Non pas ce truc la ! Pitié, pitié .... on s'endort là, fffffff ! AYAYAYE ! Alors la question du jour est : Vocalisez vous et aimez vous vocaliser pendant que vous êtes punis les vilains et les vilaines ? Et je retourne la questions aux "chatieurs" aimez vous qu'on vous les cassasses ? A part ça les sujets de petite souris étaient supers, il faudra qu'on les range dans le forum en attendant la magique inspiration.
Obstiné 10381 - 22/01/2014 11:13:18 modifié le 22/01/2014 16:58:16 J'imagine bien Ellie (sister), mais je vois qu'il y a une fausse note (on s'endort là, fffffff ). Il va falloir revoir vos gammes ! cassasse quoi ? Oui j'aime ces belles vocalises,ces gémissements...etc, un grand registre ! elles traduisent les émotions que ressentent les "chatiées". Pour moi un "chatieur", c'est être quelque part : un musicien (un subtil percussionniste), à la sensibilité trés développée capable de capter les émotions et de se mettre au diapason avec ces dernières. Je fais en sorte de respecter au mieux cette partition et être ainsi en parfaite harmonie avec ma "chatiée". Je ne cache pas qu'il peut y avoir parfois des petites improvisations..
Titi 10382 - 22/01/2014 12:25:18 modifié le 22/01/2014 16:04:31 Je reconnais qu’il y a fort longtemps, lorsque j’avais encore la taille d’un jockey et les joues rougissantes jusqu’aux oreilles, mes brillantes vocalises étaient censées impressionner suffisamment pour limiter les dégâts, ...mais ça c’était avant… Elles n’avaient d’effet, hélas, que d’amplifier la tension et les larmes sincères abondaient rapidement lorsque la bonne cadence commençait à détruire la partition préméditée. Mon chant dirigé glissait fort rapidement en récital A Cappella improvisé et dont l’inspiration, croyez-moi, surgissait du plus profond de mes entrailles, affranchi de toutes mesures. J’en suis sure, les murs en tremblent encore malgré toutes ces années… Aujourd’hui, la pudeur et la gêne génèrent encore une forme d’inhibition, mais je dois bien l’avouer, révéler cela (et j’en rougis à cet instant même) procure un effet libérateur. Mais pourquoi donc les architectes construisent-ils des appartements aussi mal insonorisés ? Si j'en chope un(e), ça va dérouiller jusqu'à ce que la prise de conscience opère
mikesp 10383 - 22/01/2014 15:49:21 modifié le 22/01/2014 15:49:49 " Mais pourquoi les architectes construisent-ils des appartements aussi mal insonorisés ?" Mais tout simplement pour que les voisins entendent distinctement la raclée administrée de l'autre côté de la cloison pardi. Sinon, effectivement je n'en voit pas l’intérêt.
Le-chou-rouge 10384 - 22/01/2014 19:34:03 modifié le 22/01/2014 19:34:16 "Mais tout simplement pour que les voisins entendent distinctement la raclée administrée de l'autre côté de la cloison pardi. Sinon, effectivement je n'en voit pas l’intérêt." Heu, je ne voudrais pas avoir l'air "esprit mal tourné", mais des murs épais comme du papier laissent passer toutes sortes de sons, pas seulement le bruit d'une fessée, si vous voyez ce que je veux dire... Et, malgré mes efforts, il m'est difficile de voir un intérêt là-dedans. Ni pour les occupants ni pour les voisins.
Ellie C. 10385 - 23/01/2014 09:32:21 modifié le 23/01/2014 09:34:36 J'aime beaucoup la comparaison instrumentale... Je me sens comme une guitare de jazz manouche sur les cuisses d'un virtuose (Ooooooooouh je m'emballe, je m'emballe). Je ne peux pas dire que l'idée qu'on m'entende me réjouisse. Heureusement souvent dans le délire, je ne me rends même plus compte de ma "raisonnance", c'est le musicien qui doit se débrouiller avec. Si on me la fait remarquer, j'ai plutôt honte. Je mets ma main sur ma bouche ou l'oreiller dans ma bouche (et pouf je m'endors, des fois ! L'effet libérateur ?)
Agramant 10386 - 23/01/2014 14:22:55 Le problème des "témoins auditifs" n'est pas simple : dans un sens ils sont générateurs d'adrénaline (puisqu'ils augmentent considérablement la "honte" de la "victime") au même titre que des témoins visuels, et même presque plus car les témoins visuels sont en général des adeptes du fantasme (ou sinon il faut vraiment être gonflé...) alors que les témoins auditifs ne le sont souvent pas... Mais à contrario et surtout si la "victime" gémit, supplie, pleure... en plus du bruit des claques, il y a le risque non négligeable qu'un "témoin auditif" croyant avoir affaire à une véritable scène de violence intervienne et/ou appelle la police... Et en plus on ne pourrait que l'en féliciter ! Bien sur le quiproquo finirait par être levé, mais que de scènes désagréables en attendant ! Personnellement je préfère éviter ce risque et n'opérer que dans des lieux suffisamment isolés ou insonorisés. Je me souviens qu'un jour une femme de ménage est rentrée "inopinément" dans la chambre d’hôtel ou ma partenaire et moi étions, je pense pour vérifier qu'il ne se passait rien de grave. Heureusement à ce moment la nous n'étions plus "en pleine action" et la voix de ma partenaire protestant contre son entrée a du la rassurer car elle est aussitôt ressortie. Ce jour la il m'a semblé que le personnel de l’hôtel nous regardait bizarrement quand nous sommes repartis !
nuclear 10389 - 24/01/2014 11:13:03 Rien que pour Mlle Ellie "j'ai la guitare qui me démange alors je tape un p'tit peu ça me soulage et ça l'arrange mais est-ce vraiment sérieux? Pardonnez lui, c'est très étrange ça la prend là ou ça veut c'est la guitare qui la démange alors je frappe un p'tit peu!"