petit chaperon vert 525 - 1/04/2010 07:19:19 modifié le 1/04/2010 09:07:50 Comme Mister Bee en est d'accord et qu’Agramant a bien travaillé, je vais tacher de vous donner un exemple de fessée virtuelle à quatre mains, avant que ne sonnent les cloches... Ps - Ce post n'est pas un poisson d'avril ! :)
petit chaperon vert 527 - 5/04/2010 17:23:02 modifié le 5/04/2010 17:44:47 HISTOIRE À QUATRE MAINS Mister Bee a un nouveau super téléphone portable qui fait tout sauf le café. Il m’écrit et me tient informé de ses progrès quand à son utilisation, mais ses apostrophes s’affichent toujours &%39; (Si quelqu’un sait régler ce petit problème, merci pour moi…). Pour le confort du lecteur, j’ai remplacé tous les &%39; ;) Mister Bee – […] Ps : J&%39;ai modifie la langue du dictionnaire de référence, ce qui explique l&%39;apparition de certains accents, mais pas de tous… :) Elle - C&%39;est super ! :D Mister Bee - Allez au coin, petite insolente ! Elle - C’est vraiment trop injuste ! Je disais cela, juste pour vous éviter de vous ridiculiser avec votre petit joujou… Mister Bee - N’en rajoutez pas, vous avez besoin de discipline. Allez chercher le martinet dans le placard et apportez le moi ! Elle – J’ouvre le placard, me tourne vers lui et dit - Vraiment je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler, il n’y a pas de martinet dans ce placard. Et je referme la porte… Mister Bee - Son impertinence stimule mon imagination. Je vais m occuper de son cas - Vous avez mal du regarder, il est au fond du placard, lui dis-je en me rapprochant d’elle. Et avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, je la soulève et la dépose au fonds du placard, puis je ferme immédiatement la porte. Elle - Il m’arrive dessus rapidement, me soulève, m’enfourne dans le placard. J’ai beau protester, il m’enferme. Je me laisse glisser sur le dos et m’assoie par terre. J’écoute, aucun bruit, si cela se trouve il est parti et va me laisser me morfondre toute seule. Je tâtonne et trouve le martinet. Je commence à taper doucement sur la porte du placard avec le manche : 3 coups rapprochés, 3 coups espacés et comme cela, sans discontinuer… Mister Bee - Je m absente un temps et espère la retrouver amadouer. Quand je reviens dans la chambre, j’entends des coups frappés régulièrement et reconnais le SOS en morse - C’est vous qui vous mettez dans une situation difficile. Je vous laisserai sortir quand vous serez sage. Pour l’instant, je vais aller déjeuner. Quand je reviendrai, j’espère vous retrouver douce comme un agneau pour recevoir la punition que vous avez méritée. A plus tard, Mademoiselle ... ! Elle - Hein, mais ça va pas non ? Moi aussi j'ai faim, je ne veux plus que vous me laissiez enfermée dans ce trou ! Ouvrez moi ou j'enfonce cette foutue porte. Vous vous ferez virer par la direction de l'hôtel et vous pourrez toujours aller dormir sous un pont. Ne comptez pas sur moi pour vous apporter des couvertures. Et pour bien lui montrer que son placard en bois massif ne m'impressionne pas, je défais la crémaillère intérieure et repousse un peu la double porte qui s'entrouvre et ne tient plus fermée que sur la targette du verrou. A votre avis en combien de coups de pied je fais sauter tout ce frichtis ? Mister Bee - Elle trifouille dans le placard pour tenter de l’ouvrir de l’intérieur. Quelle peste ! Je ne me sens pas tranquille d’aller déjeuner maintenant et j’imagine à mon retour la porte du placard enfoncée et d’autres bêtises dans la chambre, comme dans la chanson de Paturel : j’ai tout fumé les craven A. J’ouvre donc la porte, je la soulève et en deux temps trois mouvements la retourne sur mes genoux. Je la tiens solidement et ne lui laisse aucune marge de manœuvre pour se débattre. Je retrousse rapidement sa jupe et ne prête attention ni à ses bas, ni à sa culotte que je laisse en place. Je suis bien trop pressé de lui administrer une copieuse fessée, sans ménagement. Je lui claque les fesses de façon appuyée, en ne laissant aucun répit entre chaque claque. Elle - Quand je l'entends s'activer sur la serrure, j'ai un petit pincement au cœur. Comme je me redresse, il me saisi et me soulève, tandis que tout à fait paniquée par l'incertitude de sa réaction devant mon petit coup de calgon, je pédale dans l'air en criant - pardon, pardon ! Deux secondes plus tard, il m'a calé serré sur ses genoux et après m'avoir troussée me fesse à tour de bras, façon 'giboulée sur un vélux' pendant qu'immobilisée, je subis en piaillant.... Mister Bee - Je l’aide à se relever et lui enlève sa jupe. Allez chercher votre compagnon de placard. Vous me le remettrez et irez vous positionner contre l’arrière du dossier du fauteuil, penchée en avant, les mains sur les accoudoirs. Ne me faites pas attendre ... Elle – Ouf, il me relève, Mince, il m’enlève ma jupe et flûte, il n’a pas oublié son petit jouet ! Malgré son ‘Ne me faites pas attendre’ Je mets le plus de temps que je peux sans avoir l’air d’abuser, pour aller jusqu’au placard, cela me permet d’imaginer dans quelle position il exige que je m’exhibe dans quelques instants. Cette vision me fait bougonner pendant que j’attrape le martinet. Le manche dans la main droite, les lanières dans la gauche, je tire un coup sec de dépit et voila que deux lanières me restent dans la main. Un peu embarrassée je me retourne, sans oser m’approcher et lui dit qu’à mon avis, il s’est légèrement fait gruger sur la qualité…
petit chaperon vert 528 - 5/04/2010 17:23:40 Mister Bee - Je m approche d’elle et l’attrape par l’oreille. Je la dirige vers le fauteuil et la contrains à se plier en deux pour poser ses avant-bras sur les accoudoirs. Elle a toujours les deux lanières dans sa main gauche, que j’utilise pour lui nouer les poignets sur les accoudoirs. Vous voulez jouer à la plus maligne, vous allez voir ce que cela va vous couter. J’avais prévu de vous administrer 10 coups de martinet, vous en recevrez 20. Votre espièglerie, votre impertinence de collégienne doivent être sévèrement punie et je vais m y appliquer, pour votre bien. Je lui reprends le martinet qu’elle a toujours dans sa main droite. J’aurais voulu qu’elle se déculotte elle même pour en rajouter à l’humiliation de sa position mais ses poignets liés ne le lui permettent pas. Je glisse le manche du martinet sous l’élastique et m’applique à lui faire descendre ainsi le long de ses cuisses. Je sais le trouble qu’elle ressent dans cette position, subtil mélange de honte et d’appréhension, teinté d’excitation. Je souhaite que ce trouble soit à son comble et je lui fais écarter les jambes de manière à ce que ses pieds soient de part et d’autre du fauteuil. Non seulement la position l’oblige à se cambrer en offrant une vue imprenable sur son postérieur, mais son intimité se trouve aussi exposée. Elle est ainsi complètement offerte et c’est comme cela qu’elle va être corrigée ; que son beau corps de femme recevra le martinet comme le recevrait une collégienne. Vous allez bien distinctement compter les coups. N’est ce pas mademoiselle ? Elle - Il a un truc comme ça, pour s’approcher de vous sans faire de bruit, sans parler, en trois enjambées, vous vous demandez toujours ce qui va vous arriver. Il m’attrape par l’oreille, bien obligée de suivre et m’embarque devant son satané fauteuil. Il se met à me gronder et à me menacer tout en me courbant et en me ligotant, comble du comble avec les deux lanières que j’ai malencontreusement arrachées. J’ai le cœur qui accélère, je me sens particulièrement à sa merci ; Merci ! Je ne suis pas tranquille du tout. Il me prévient que le compteur est passé de dix à vingt coups, je blêmie un peu, je regrette beaucoup… Il me dénude et écarte mes jambes, ce qui est assez difficile à supporter tant les sensations, que cela déclenche, se télescopent. Comment puis je supporter, sans m’évanouir, de laisser voir cette partie privée de mon corps, qui je le sais, trahit mon secret intime en dévoilant jouir de sa honte et de sa frayeur. J’essaye au maximum de contrer la cambrure qui me viendrait, si naturellement, si je n’avais, si je n’étais… enfin, si je ne luttais de tout mon être contre le plaisir qui s’insinue contre mon gré… Et puis, il y a beaucoup trop de lumière dans la chambre, alors comme l’autruche je ferme les yeux à double tour pour éteindre, me mettre à l’abri dans ma petite cabane sombre. Sans pitié devant mon trouble, il veut m’oblige à rester présente au réel en comptant les coups. S’il vous plaît pas ça… Mister Bee - Je plaque ma main gauche sur ses hanches pour la faire se cambrer mieux. A la vue de ses fesses offertes, soulignées par le porte jarretelle, la bosse bien distincte au niveau de mon pantalon se marque un peu plus. Je lui porte le premier coup ... Elle - Il appuie sur mes reins de sa main gauche et commence. Je suis pétrifié, il frappe court et sec, ça va être long vingt coups. J’appréhende crispée en attente... Mister Bee - La petite peste ne compte pas. Je vais vous faire plier mademoiselle. Vous serez bientôt complètement soumise à ma discipline et intérieurement heureuse de compter et de sentir que vous avancez vers votre rédemption. J’applique un deuxième et troisième premier coup, cinglant, sur le haut de ses cuisses, que je sais beaucoup plus sensible. Elle ne résistera pas longtemps ... Elle - Tout à coup… Un véritable miracle : Je retrouve ma voix - 1, 2, 3 ! Mister Bee - Non, c’était le premier lui dis-je sèchement. Je lui applique le même coup au même endroit. Vous allez maintenant pouvoir compter 2. Je vois qu’il faut vous mener à la baguette… Elle - Deuuuuux, S'il vous plait, Pas les cuisses ! Je sens que je suis très mal barré là, je piétine comme si j'avais une envie pressante... J'irai bien faire un petit stage au coin, ou un stage au petit coin, au choix... Mister Bee - Pour être certain qu’elle comprenne bien, je lui en applique un troisième sur les cuisses. Puis 4, 5, 6, 7 cinglants sur les fesses en prenant soin de frapper uniformément. Je suis trop bon ... Elle - 3, 4, 5, 6, 7, Il est trop bon… je suis dans une posture désespérée. Impossible de lui échapper. J’aimerai tellement arriver à me détacher, mais les liens de cuir sont trop serrés. Tout en continuant à compter furieuse, je m’agite, j’essaye de me protéger en remontant alternativement un pied sur mes fesses …
petit chaperon vert 529 - 5/04/2010 17:26:12 Mister Bee - Elle gigote, je la sermonne : Vous ne pouvez donc pas réussir à tenir en place ? Je vais vous y aider. Je défais deux taies des oreillers posés sur le lit et lui attache fermement les chevilles. Ces entraves lui imposent une soumission sans recours. Cela vous aidera à rester plus calme, lui dis-je en lui appliquant un 8eme coup, sur les cuisses. Puis de nouveau sur les fesses, 9, 10, 11 12, 13, 14. Elle - Je me fais de nouveau gronder parce que je ne tiens pas en place, c’est difficile de garder, de bon cœur, une position aussi humiliante… Il s’est éloigné, en disant qu’il allait m’aider, ah oui ? Je me retourne, que diable fait-il avec ses taies d’oreillers ? Oh non, il m’attache aussi les chevilles. Je me sens comme une étoile de mer offerte sur un rocher. Il me punit de nouveau en me claquant les cuisses puis les fesses. 10, 11, 12, elles seront toutes rouges, 13, 14, 15, je commence à gémir… Mister Bee - Je constate que ses gémissements sous le martinet sont difficilement distinguables de ceux du plaisir. Elle a aussi subrepticement décalé d’un le comptage. Un coup sur les cuisses, 15. Puis je termine la série, sèchement, en appuyant bien ma main gauche sur ses hanches pour maintenir sa cambrure. 16, 17, 18, 19, 20... Elle - Il m’accompagne, il me surveille, il ne me lâche pas dans ce parcours des émotions. J’ai beau compter toujours, c’est moi, sans être moi. Doucement, je lâche prise, je subis, j’ai atténué l’image que je pouvais donner, je me laisse porter, je ne suis plus que dans la surprise et l’accueil des sensations différentes et renouvelées. 18, 19, je souffle le 20… Mister Bee - Je pose le martinet sur le fauteuil, juste sous ses yeux. Je passe ma main droite sur toute la surface de ses fesses endolories. Je les masse doucement, puis descends plus bas, sur ses cuisses, à la limite de ses bas. Impossible de contenir mon émotion devant l’;harmonie de ses jambes, à la fois dénudées et gracieusement recouvertes. Je remonte ma main entre ses cuisses en prenant bien soin de ne pas effleurer son sexe, qui est pourtant présenté comme une invitation. Je continue de passer ma main, doucement. Elle - Quand il me touche doucement avec sa main, c’est mon cœur qui repart en tambour. J’ouvre les yeux. Pour le coup je suis vraiment réveillée et ne peux m’empêcher de sourire en lui demandant si il compte tirer un bon prix de ma peau, maintenant qu’il l’a bien tannée ... Mister Bee - Sa remarque m amuse intérieurement, mais je me dis surtout qu’elle retrouve bien vite son aplomb naturel. Je la détache. Allez au coin maintenant, vous pourrez ainsi méditer ce qu’il en coute d’agir comme une sale gamine. Vous garderez les bras croises dans le dos et il est bien sur hors de question de remonter votre culotte. Elle - Je me redresse et jette un regard attristé sur ma jupe au sol mais n’ose pas lui demander si je peux la remettre. Je me refugie au coin et y appuie mon front. Mister Bee - Je m assois sur la chaise près de la fenêtre pour griller une cigarette. Ses fesses sont d’un rouge intense qui contraste avec le blanc de ses cuisses. Je la regarde attentivement et me demande quelle sensation elle peut bien ressentir en ce moment. Appréhende-t-elle la suite ou profite-t-elle du répit que je lui laisse. Ressent-elle toujours de la colère, l’humiliation d’être ainsi exposée s’apaise-t-elle ? Elle - Alors, qu’elle sensation elle ressent à ce moment là ? Et bien, je vais vous le dire moi ! Ce qu’il ne précise pas, c’est que la fenêtre, il l’a ouverte pour la fumer sa cigarette… devinez qui se caille les miches et le reste parce que quelqu’un à eu l’indélicatesse de l’exhiber ainsi ? Le répit se transforme en dépit. ATCHOUM… ! Mister Bee - Vous avez froid ? ca tombe bien, je n’ai pas fini de vous réchauffer. Je la laisse ainsi encore 10 minutes pour qu’elle est le temps de bien réfléchir à la question… Elle - L’inquiétude me gagne, une suite ? Je danse d’un pied sur l’autre… Mister Bee – Au bout d'un certain temps, toujours assis, je vous vois passer d'un pied sur l'autre, comme si vous ne teniez plus en place. Je sens que vous êtes prête. Je ferme la fenêtre. Remontez votre petite culotte. Je vous réserve quelque chose de plus personnel. Je vais vous fesser comme l'on fesse les vilaines petites filles, en travers des genoux, une bonne fessée cul nu, pour votre bien. J'estime en effet que vous avez besoin d'être solidement reprise en main. Venez donc vous allonger en travers des genoux. Il ne s'agira plus de compter les coups mais de vous abandonner complètement à ma discipline. J'arrêterai donc quand j'estimerai que vous vous êtes parfaitement soumise. J'attends ...
petit chaperon vert 530 - 5/04/2010 17:29:28 Elle - C’étaient dix minutes sacrement longues, pourtant quand s’élève sa voix, je sursaute et m’empresse de remonter ma culotte, trop heureuse de me soustraire à son regard. Je l’écoute attentivement. Quand il me décrit en détail tout ce qu’il compte me faire subir et de quelle manière, je rougis jusqu'à la pointe des oreilles. Je m’approche doucement sans le regarder. Je suis maintenant tout à coté, hypnotisée par ses genoux qui attendent que je me couche. Je sens son regard qui soupèse mes hésitations, mon indécision. Je sais qu’il se demande si je vais caller. Je lui jette un regard, gonfle mes narines et m’allonge… Mister Bee - Le fait d'être exposée ainsi lui pèse et elle n'attend pas pour remonter sa culotte. Puis elle se conforme en tout point à ma demande et vient s'allonger en travers de mes genoux, après néanmoins un instant d'hésitation. J'apprécie de la sentir ainsi, docilement pliée sur mes cuisses, dans l'attente de ce que je lui réserve. De la main gauche, sans lui baisser la culotte, j'attrape le tissu qui recouvre ses fesses et le tire vers le haut comme un string pour découvrir ses rougeurs. En récompense de son obéissance, je recommence à la fesser, mais doucement ... Elle - J’ai honte de m’être mise ainsi à sa merci et quand il découvre à nouveau mes fesses rougies je ne peux empêcher un petit soubresaut qui trahi ma gêne. Comment va-t-il me fesser ? A quelle sauce va-t-il me consommer ? La réponse arrive très vite sous forme de claques sonores mais tout à fait supportable et même douces et même agréables … Je suis en pleine confusion, désemparée, quand mes fesses se tendent d’elles même à la rencontre de sa main. Je m’alanguie – Si c’est comme cela que vous fessez les vilaines petites filles, alors je choisis sans hésiter de rester, toute ma vie, une vilaine petite fille… Mister Bee - Ses fesses semblent accompagner ma main, comme une invitation. Je me laisse captiver par ce mouvement hypnotique, pendant un long moment. Les douces fessées que je lui administre ne semblent pas lui déplaire. Elles sont comme une récompense en comparaison du martinet. Mais point trop n’en faut, je risque de la gâter. Alors qu’elle semble quasiment s’assoupir, je la réveille par une première claque bien franche qui claque dans le silence de la pièce. Immédiatement suivie d’une deuxième, d’une troisième, d’une ...Elle croyait la partie terminée et pensait s’en tirer à bon compte. Je la surprends en lui montrant que ce n’est pas fini... Elle - 1, 2, 3, Ailleuuu, qu’elle mouche l’a piqué ? 4, 5, 6, je commence à onduler. 7, 8, 9, je commence à protester.10, 11, 12, je commence à battre des pieds. 13, 14, 15, voulez vous bien immédiatement cesser !!! Mister bee - Je me doutais bien qu’il vous serait difficile de rester cinq minutes en place. Pensez-vous êtes dans une situation ou vous pouvez me donner des ordres ? Elle cherche à s’agiter mais ne le peut pas. Elle est fermement maintenue et n’a d’autre choix que de subir. Ma main glisse dans sa culotte, très lentement fait glisser l'élastique jusqu'au haut de ses cuisses, marquent une pause, puis continuent de faire glisser la dentelle un peu plus bas sur ses jambes. Je suis ému. Je remonte ensuite lentement ma main vers ses monticules pommelés, en laissant mes doigts effleurer sa peau, lentement, comme si j'étais en train de réaliser une calligraphie ésotérique. Ma main gauche passe sous son chemisier pour venir prendre appui sur ses reins, à l'endroit ou la taille est la plus fine. La vision de ses fesses nues me stimule pour continuer de lui administrer, cette bonne grosse fessée. Ma main me chauffe, mais probablement pas autant que ses rotondités qui prennent une intense couleur rouge. Je change de main et continue cette punition de jeune fille déculottée, jusqu’ à ce qu’elle crie grâce, ou pouce ... Elle - Mon dieu ça chauffe terrible. Quand il se décide à me baisser la culotte mes jambes se tendent pour tenter de contrôler la secousse des frissons qui me parcourent comme une onde jusqu’a ce qu’il me saisisse par la taille. Alors à nouveau, le balai des claques reprend. Un regain d'énergie l’anime. Désespérée je m'embrase de plus en plus sous la chaleur de sa fessée. Et voila qu'il change maintenant de main, tout en me retenant les jambes de sa main droite toute chaude. Oui, mais le problème c'est que moi je n'ai pas une paire de fesses de rechange. Je le supplie d'arrêter ça tout de suite, tout en essayant d'aller me glisser sous le lit à force de tortillements... (Il peut toujours cavaler pour que je dise pouce ...!) Mister Bee - Elle me supplie d’arrêter et commence à se tortiller. Pas question de d’accéder à sa requête qui montre que la fessée commence justement à porter ses fruits. Je vais au contraire la tenir encore plus bride serrée. J’attrape ses poignets de ma main gauche et de la droite, je défais la boucle de ma ceinture… Elle - Au secours, C’est la panique ! Il vient de m’attraper les poignets et maintenant il enlève sa ceinture – s’il vous plaît, gardez votre ceinture, je vous en prie ! Comme il continu et qu’après le petit tintement de la boucle, j’entends le cuir glisser sous les passants, j’essaye a tout prix de descendre de ses genoux en me contorsionnant submergée par la panique…
petit chaperon vert 531 - 5/04/2010 17:31:41 modifié le 5/04/2010 17:32:18 Mister Bee - Ah mais je vais devoir vous dompter, lui dis-je en lui tenant bien fermement les poignets. Je la fais reposer sur un seul genou et me sers de la deuxième jambe pour lui coincer fermement les cuisses et l'empêcher de gesticuler. Je replie la ceinture en deux pour plus de commodité et lui administre une série bien sentie qui claque sèchement. Puis je lui attache les poignets dans le dos avec la ceinture, espèce de couteau suisse de la fessée. J’ai maintenant les deux mains libres. Je pose la gauche sur sa nuque et la droite reprend la correction interrompue. Je vais vous passer l’;envie de vous comporter comme une petite peste. Je vous préviens, plus vous bougerez, plus fortes seront les claques. Il est plus que nécessaire que vous soyez sévèrement reprise en main et je vais m'y appliquer. Je la fesse sur toute la surface de sa partie charnue, quelques fessées atterrissent même en haut des cuisses qu'elle a si sensibles ... Ses fesses dénudées, fort rouges, encadrées par le haut de ses bas et son porte jarretelles m’envoutent et stimulent vivement, contre mon gré, mon désir d’homme. Je sais que dans sa position allongée sur mes genoux, elle ne peut l’ignorer. Je tente de calmer mon émoi en reprenant de plus belle la fessée, pour obtenir sa rédemption et la mienne ... Elle - Ooooh non, En deux coups de cuillère à pot, il me maitrise. Les jambes puissamment enserrées, les deux poignets serrés. Aye, Aye il me frappe avec la ceinture et m’attache. Dans toute cette agitation je me heurte à la lecture de son émotion, étendard de la franchise masculine. La fessée reprend de plus belle comme pour se venger. Il m’appuie sur la nuque m’empêchant ainsi d’arquer, m’obligeant au contraire à exposer mes fesses sans défense à son implacable sévérité. Il a beau me prévenir que plus je me débattrais plus ses claques seront fortes, sous la douleur cuisante, les yeux brouillés, je me tortille comme une sirène manchote… Mister Bee - Elle cherche à se débattre mais ne le peut plus. Elle doit donc, bon gré, mal gré, recevoir cette grosse fessée. Elle semble juste oublier qu’elle l’a complètement méritée. Je ne m’apitoie donc pas sur son sort et continue de la corriger. L’expiation et le pardon, voila de quoi il retourne. Elle - La fessée continue toujours aussi forte depuis 8 mn ou bien 8 jours je ne sais plus. Petit à petit je lâche, je laisse filer, j’abandonne mes résistances fatiguées. Je comprends qu’il m’aide en me maintenant aussi fermement à passer un cap difficile. Je me laisse porter par la danse de ses mains qui claquent et chauffent et mon corps déjà renonce à se débattre et semble accepter le bien fondé de cette punition… Mister Bee - Je la sens lâcher prise progressivement. Je ne m arrête pas pour autant, mais je baisse graduellement l’intensité. Elle a maintenant arrêté de chercher à s’extraire à la pression. Je la tiens toujours sur une jambe mais je n ai plus besoin de la contraindre. Ses mains sont encore liées dans son dos par la ceinture. Mes fessées se font plus souples... Ellie - Je laisse mon corps s’en aller sous sa fessée qui plus souple me cuit encore. Je soupire doucement pour accompagner la découverte de cette nouvelle imprégnation fascinante presque désirée, et qui pourtant affole tout à la fois… Miser Bee - Je continue de baisser l’intensité, mais lui lâche de temps en temps une claque plus appuyée, pour la maintenir attentive et éveillée. Je défais la ceinture qui lui entrave les poignets. Je la plie en deux et lui passe doucement sur les fesses ... Ellie - Il devient plus doux, me délie et me réinstalle sur ses genoux à sa convenance, les fesses bien en évidence. Je sursaute tout à coup. Sur la peau de mes rondeurs devenues si sensible, je sens une matière souple qui me frôle et me fait frissonner Ma respiration s’alourdit, je me redresse et jette un petit coup d’œil rapide en arrière … c’est bien la ceinture, il s’est immobilisé et me regarde silencieusement l’air contrarié. Surprise, je me détourne prestement Mister Bee - Alors que je frôle ses rondeurs rougies avec ma ceinture, je sens sa respiration devenir plus ample. Plutôt que de gouter la volupté, teintée de crainte du moment, elle se retourne vers moi. Vous-ai je autorisée à bouger ? Elle rebaisse immédiatement la tête. Je lui envoie trois petites claques vives et sonores avec la langue de cuir que je tiens à la main. Puis je laisse glisser de nouveau sur ses rotondités enflammées. La ceinture glisse plus bas, sur le haut de ses cuisses, puis remonte pour venir lui claquer doucement le bas du dos. Puis je laisse la ceinture redescendre, elle lui effleure la périphérie de son intimité. Puis la ceinture remonte de nouveau et lui claque les fesses avec retenues. Je continue cette alternance de voluptueuse douceur et de claques retenues ... Elle - Il me gronde pour avoir bougé et me punit instantanément en me fouettant. Je sens la douleur cuisante, les bleus qui se forment en profondeur et qui écloront demain en surface. Puis, sans transition, il reprend son petit jeu de caresse et de coups doux. Ce type va me rendre complètement marteau … Surement à cause de la suroxygénation que je pratique depuis quelques minutes, mes cuisses se mettent à trembler et malgré le fait que je sois plutôt découverte, j’ai de plus en plus chaud… Mister Bee - Sa respiration est profonde et je sens la chaleur de son ventre sur mes jambes. Ma ceinture lui caresse l’arrière de ses jambes tremblantes, jusqu’aux genoux que je lui fais écarter légèrement, puis remonte par l’intérieur des cuisses. La lanière de cuir, sur toute sa longueur, remonte encore en lui effleurant son intimité exposée ... Elle – submergée, je fissure, m’ouvre et m’abandonne en sanglotant, comme échouée… Mister Bee - S’en est trop pour elle. Après les tremblements viennent les sanglots. Pas un pleur d’énervement ou de douleur. Quelque chose de plus profond, qui semble remonter directement de l’enfance. De gros sanglots, chauds, émouvants, qui me touchent. Après l’avoir punie, grondée, fouettée, puis fessée encore, humiliée au travers de sa nudité imposée, j’ai maintenant envie de la consoler, de la bercer comme un gros bébé. Je l’aide à se relever. Je l’assieds sur mes genoux et la prends dans mes bras. Après l’expiation, la rédemption ... Merci, Mister Bee ... ! :)
petit chaperon vert 532 - 8/04/2010 09:06:43 modifié le 8/04/2010 09:14:08 Poufffff..., tout ça par dessus les chocolats de pâques, y en a qui sont morts d'indigestion, dites donc ! :D
Agramant 533 - 8/04/2010 12:13:21 Superbe récit, on s'y croirait ! Merci Petit chaperon rouge et Mr Bee !
petit chaperon vert 534 - 8/04/2010 12:23:40 modifié le 8/04/2010 12:25:43 Nonnnn, petit chaperon rouge, c'est l'autre ! Il ne se souvient même plus de ma couleur... Le chocolat c'est vraiment terrible ! ;)