petit chapron vert 576 - 25/05/2010 15:31:40 modifié le 25/05/2010 17:35:57 Mille merci, Elorie, pour ce coup de projecteur ‘Culture 101’ :) Regardez ça, ce méchant contresens qui nous guettait tapis dans sa tanière. D’autant que quelqu’un a dit ici, fort récemment et très justement d’ailleurs, un truc du style, euh… ah oui : « Qu’importe le con, pourvu qu’on ait les fesses » !... Ou quelque chose de vraiment approchant, alors...
Mon Regard 578 - 25/05/2010 22:38:09 Bonsoir chères fessées, désolé de ce retard bien involontaire...pour répondre à Élorie et étant un ex nancéen qui a quitté la France à l'âge de 5 ans et d'après se que mes parents m'ont enseigné et inculqué " Les foufounes " sont vos jolis popotins mes très adorable fessées..... il n'est nullement question voir même de faire allusion au sexe féminin de la femme voyons....et si ça avait été le cas j'aurais opté pour le " con " qui en passant, bon nombre de femmes du Québec ne savent pas se que ça veut dire ou se que ça signifie...qui est le sexe de la femme ?? (corrigez moi chère Iris si je me trompe)...d'ou l'expression oh le con ! Ou sinon fa te faire f.... ( avec tout le respect que je vous dois ) P.S. Chères fessées, Félicitation pour votre qualité d'ortographe et soyez indulgente et pardonnez la mienne parfois :0( ...On ne peut pas être doué dans tout ;0))...Je veux bien être habile.....de mon doigté...mais pas sur un clavier :D Pour se qui est de vos petites culottes de couleurs, je préfère la jupe ou la robe versus le pantalon ou le jeans pour représenter l'enfance avant d'en arriver au sous-vêtement...
IRIS 579 - 26/05/2010 00:32:07 modifié le 26/05/2010 01:24:02 Dans mon esprit, il n'y avait aucune équivoque, le mot "foufounes" employé par Mon Regard - "foufounes bien fermes mais parfois fatiguées" - désignait bien les fesses ...et non le sexe ! En revanche, ce O répété m'intrigue : serait-il une allusion à Histoire d'O ?? Et, histoire d'assouvir notre curiosité, cher Foufounet, à qui ou à quoi se rapporte "Ou sinon fa te faire f..." ?? PS : C'est mignon, sur le blog, on avait déjà depuis peu une "Fantomette" et maintenant on a un "Foufounet"...
Mon Regard 580 - 26/05/2010 01:25:05 Pour le "O" Ça aurait pu Iris mais non, c'est simplement un clin d'oeil ou un sourire.. ...Dans ce contexte nous faisons allusion au sexe de la femme d'ou l'expression va te faire " foutre " ou " oh le con " ! :-)
TSM 581 - 26/05/2010 07:44:08 Bien de bonjour de TSM nouveau sur le site. Comme il est de noble tradition de se présenter, ci-dessous quelques mots sur nous. En couple, adepte et pratiquant les jeux dits "cuisants" nous apprécions la fessée, la cane anglaise, le fouet (le vrai), les entraves, les dispositifs de chasteté, le pony-play et autres plaisirs..... mais tout cela sans prise de tête car pour nous le BDSM est un jeu. Nous ne sommes absolument PAS échangistes mais très branchés soirées SM, DS et délires avec d'autres couples. La fessées au sens propre du terme nous nous la donnons mutuellement en fonction de nos statuts (domi ou soumis) ou aux ami(e)s. Ne rigolez pas avec ma perle d'Amour, il nous est arrivé de la jouer aux dès pour savoir qui serait le "Maître". Voilà en quelques mots la présentation des TSM, un couple un peu fou, mais heureux. Au plaisir de vous lire et encore MERCI de votre accueil.
petit chapron vert 582 - 26/05/2010 08:03:15 modifié le 26/05/2010 08:08:17 - Pseudo de pseudo J’ai signé « fantomette », Elorie, parce qu’il n’y a pas de ‘f’ dans petit chaperon vert… Si ça me reprend et que quelqu’un a un doute, il suffit de cliquer sur l’icône ‘voir toutes les contributions de cet utilisateur’ pour se rendre compte de la petite supercherie... Et puis d’ailleurs, ça ne m’aurait pas déplu de me faire accueillir une deuxième fois par notre webmaster préféré. Mais pas de pot, en ce moment, le secrétariat est fermé ! :D
Agramant 583 - 26/05/2010 09:04:06 modifié le 26/05/2010 09:08:38 Je profite d'un bref moment de tranquillité pour vous faire un petit coucou, et je constate avec plaisir que ce blog marche très bien même quand je ne suis pas la, et qu'il y en a encore qui sont content d'être ici... > Mais arrêtons de parler chiffons, pour ne pas risquer d'indisposer Maître > Agramant, lui qui a résumé sa pensée en une formule lapidaire aux beaux > accents baudelairiens: "Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !" Mais vous ne m'indisposez nullement chère Iris, ce n'était que mon point de vue (et un peu de la provocation aussi !), mais la richesse nait de la confrontation des idées, le blog est la pour cela. En passant du reste il me semble que la formule est plutôt de Musset que de Baudelaire... Par ailleurs, et même si je n'y accorde pas une importance exagérée, je partage votre point de vue (et celui d'Elorie aussi, semble-t-il) sur les culottes aux teints pastels ou disons "juvéniles" par opposition aux strings et aux portes-jarretelles. Vous avez comme moi et comme beaucoup j'imagine, un "rapport à l'enfance" très fort dans ce fantasme. Merci à Elorie pour cette précision de vocabulaire, car en effet en france "foufounne" désigne plutôt autre chose ! Je tenais aussi à souhaiter la bienvenue au couple TSM (que signifie ce sigle, au fait ?), même si je pense que notre fantasme demeure distinct du BDSM, il y a tout de même un certain cousinage et visiblement vous partagez aussi nos plaisir... > Et puis d’ailleurs, ça ne m’aurait pas déplu de me faire accueillir > une deuxième fois par notre webmaster préféré. Mais pas de pot, > en ce moment, le secrétariat est fermé ! :D Rires ! non, non, je veille toujours ! Et je suis très heureux d'accueillir une Fantomette en sus !
Élorie 584 - 27/05/2010 00:50:47 "J’ai signé « fantomette », Elorie, parce qu’il n’y a pas de ‘f’ dans petit chaperon vert…" Désolée ptit chapron vert, je crois que vous vouliez dire IRIS... Je savais très bien que c'était vous... Le truc de l'icône (la page minuscule) Je le savais... ;) Je prends une chance sur la signification de TSM... Même si je sais d'avance que je me gourre... :) Tandem-Sado-Maso
petit chapron vert 586 - 30/05/2010 14:10:18 modifié le 31/05/2010 18:12:25 C'était bien la peine que je mette un masque, tout le monde était au courant ! :D TSM - On dirait que ce ne serait pas un palindrome... ;) - Petite trouvaille à partager… Il y a encore en France ‘des bouts du monde ’ou il n’y a qu’en grimpant sur le clocher, la clef 3G a bout de bras que vous pouvez espérer capter quelque chose. J’emporte alors un gros tas de bouquins. Allongée dans l’herbe, je me niche dans un des derniers David Lodge, un écrivain universitaire obsédé sexuel, à l’humour sauce menthe. Le titre du roman - ‘La vie en sourdine’. Il était une fois, un universitaire à la retraite sourdingue qui accepte, sans avoir bien compris (because, sa surdité), d’aider une étudiante sur sa thèse. Hors, voila qu’en empruntant un livre à la bibliothèque afin de lui donner un coup de main, il s’aperçoit avec horreur que ce dernier est tout ‘fluotté’ en bleu. Quel est l’immonde personnage qui à fait cela ? C’est l’étudiante ! Furieux, il la plante Là, refusant de la revoir ! Alors, elle lui écrit : « Cher Desmond (il s’appelle ‘Desmond’) Vous avez raison d’être en colère, c’était un geste méprisable, un geste de paresse, un truc stupide, égoïste, crétin et je mérite d’être punie pour ça (ho, ho…). Je veux que vous me punissiez (dites moi que je rêve …). Venez à mon appartement à la même heure le même jour la semaine prochaine (chaud, chaud…). Si vous ne pouvez pas, dites moi par courriel quels sont vos après midi libres et j’en choisirai un. Venez à Wharfside Courtet, à exactement trois heures, appuyez trois fois sur ma sonnette. Je ne répondrai pas à l’interphone mais j’ouvrirai la porte du hall – Vous entendrez le déclic. Le pêne de ma porte d’entrée ne sera pas engagé, vous n’aurez qu’à pousser, la porte s’ouvrira. Fermez-la derrière vous et relâchez le pêne pour qu’il s’enclenche. N’appelez pas, Ne dites rien. Suspendez votre manteau dans le vestibule. Entrez dans le salon. Les stores seront fermés et la pièce sera plongée dans la pénombre (Gasp…). N’allumez pas le plafonnier. Il y aura une lampe avec une ampoule rouge allumée sur un guéridon. Vous verrez que je suis penchée sur la table, la tête sur un coussin. Je serai nue de la taille jusqu’aux pieds. Approchez- vous derrière moi et mettez vous en position pour me fesser (j’en-é-tais-sur !). Enlevez votre veste et retroussez vos manches de chemise si vous voulez (voulez le, j’adore…). N’essayez pas de me sauter. Ceci n’est absolument pas une invitation à me baiser, mais à me faire punir. N’utilisez que le plat de votre main, et non une baguette ou un quelconque instrument, mais frappez- moi aussi fort que vous voudrez, autant de fois que vous voudrez. Si je crie, si je sanglote dans le cousin, n’arrêtez pas. Chassez cette colère de votre système. Quand vous en aurez assez, que vous vous serez purgé, contentez vous de partir sans rien dire comme vous êtes venu. Refermez la porte de l’appartement derrière vous et quittez l’immeuble. La prochaine fois que nous nous rencontrerons, on ne dira rien de ce qui s’est passé, rien à propos de ce livre de bibliothèque. Le dossier sera clos. Nous pourrons continuer comme si rien ne s’était passé. C’est bon. Alex (elle s’appelle ‘Alex’) » Et voici la réaction de Desmond : « J’ai du relire le tout une demi-douzaine de fois et j’ai eu chaque fois une érection (moi aussi…). Je n’ai aucune intention de me rendre au rendez vous qu’elle propose (mince, pourquoi… ?), mais je n’arrive pas à chasser le scénario sadien de mon esprit. C’est si facile de m’imaginer arrivant, comme dans un film, à l’immeuble, consultant ma montre, appuyant trois fois sur le bouton de la sonnette de l’appartement 36 à trois heures précises, entendant le déclic tandis que la serrure du hall d’entrée s’ouvre, montant au deuxième étage, entrant en catimini dans l’appartement, refermant la porte derrière moi, enlevant mon manteau dans le vestibule presque obscur, éclairé seulement par la faible lueur rouge venant du salon. Quand j’entre dans la pièce, c’est exactement comme elle a dit : Les stores sont baissés, la pièce est éclairée par une lampe rouge dans un coin, et elle est là, penchée au-dessus de la table, la tête posée sur un coussin et tournée d’un coté mais pas du mien si bien que je ne peux pas voir son visage, un tee-shirt noir lui couvre le haut du corps alors qu’elle est nue à partir de la taille, mis à part ses souliers noirs et lustrés à talons hauts – détail ajouté par mon imagination – ses fesses roses bien en vue. J’enlève ma veste, retrousse ma manche de chemise droite (merci…), puis avec les doigts de mes deux mains, ajuste l’angle de ses hanches et caresse la courbe de ses fesses, à la manière d’un cynophile qui apaise son chien de race fébrile pour qu’il se montre à son avantage. Je ramène mon bras vers moi puis le lance vers l’avant, mettant ainsi ma paume ouverte en contact avec ses fesses (Ouch…) Le bruit et la sensation que me procure le contact de ma chair avec la sienne explosent dans ma tête. Je l’entends qui halète. Je laisse ma main trainer une seconde là ou elle s’est posée avant de la retirer et de frapper encore, encore et encore, m’arrêtent délibérément entre chaque coup, privilégiant tantôt une fesse, tantôt l’autre, à tour de rôle, laissant chaque fois ma main cuisante reposer un peu plus longtemps là ou elle s’est posée… Je ne m’étais jamais abandonné à un tel fantasme auparavant. Comment cette femme a-t-elle eu l’intuition que, quelque part dans ma psyché, il sommeillait sans que je le sache, n’attenant que d’être libéré ? » … Fin de cet extrait palpitant. (Remerciez-moi, j’ai tout tapé avec deux doigts avant d’aller rendre le bouquin à la bibli ! ;) Maintenant, on peut, à juste titre, se poser la question, même si ce n’est pas le plus important, David Lodge en est il ? … héhé !
Thierry de Hauteville 587 - 30/05/2010 19:24:36 Ces derniers jours, la météo maussade, etant en periode de "repos" je trainais sur les sites de fessée, je lisais le blog riche du Webmaster Agramant, vivant seul, l'envie me disais de pratiquer l'auto fessée. Je regardais la brosse à bain, fermais les volet me mettant nu j'appliquais des coups sur mes fesses à interval régulier. A mon âge, me dis-je, je suis pas normal. Au bout d'un certain temps, mes fesses imberbes et assez rebondies prennaient une couleur pourpre uniforme. Bizzarement le bas du ventre m'invita à m'allonger sur le lit. Le reflet de mes fesses dans le miroir de l'armoire en vieux noyer me troula. Je continuais cette auto fessée en m'assenant un coup plus fort, bizzarement l'alchimie du plaisir/douleur se fit. Je continuais cette fessée pudique et le frottement de ma verge sur l'oreiller la fit gonflée. J'avais mal, je cessais cette fessée, me carressant les fesses et n'en pouvant plus je pris ma min et je la soullais de ma semence. Après cette auto fessée, je retrouvais mon équilibre, pris une douche et j'allais refaire mon lit en regardant la télé. Suis-je normal ? Je me souviens toujours des rares occasions où j'ai donné une fessée à une femme. Car en fait rien de vaut le "réel"