En ce qui me concerne, je suis plutôt du style "Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse" ! J'aime bien la lingerie féminine pour ce qu'elle évoque, certes, mais c'est d'avantage son contenu qui m'intéresse, en fait !
Pour moi la lingerie c'est un peu comme l'emballage du cadeau de noël : c'est très joli, mais ce n'est qu'un détail...

Je me souviens avoir un jour répondu en mail à une internaute que j'allais initier et qui s'inquiétait de savoir comment elle devait s'habiller pour la cérémonie : "mettez vous comme bon vous semble, ça m'est bien égal : je l'enlèverai de toutes façons !"

Ceci étant, je reconnais que, toutes choses égales par ailleurs, une femme mal fagotée est moins attirante que lorsqu'elle est bien habillée...

Vous n’aimez, Iris, ni le noir ni les porte-jarretelles… Il est vrai que chacune et chacun s’habille comme bon lui semble… et cette évidence doit être énoncée en principe intangible. De plus, je n’éprouve pas de fétichisme à l’égard des dessous féminins.
J’aime pas les collants, c’est tout.
En revanche j’aime bien les rituels et l’habillement en fait partie. Sans avoir à ce sujet non plus de manie et de façon donc très générale, une recherche d’élégance dans certaines circonstances me plaît bien. Pour l’homme autant que pour la femme d’ailleurs : éviter d’aller au théâtre en gros pull me semble constituer une marque de savoir-vivre. Et, goûtant les rituels, je goûte tout particulièrement le cérémonial de la fessée. Et là, évidemment, les dessus et les dessous ont leur importance. Ainsi, pour en revenir à votre propos, si je pars toujours du principe qu’une femme s’habille dessus-dessous comme elle le désire, et cela ne regarde qu’elle, j’avoue qu’il est beaucoup plus émouvant pour un homme de déculotter une vraie culotte (une culotte en coton certes mais un boxer en soie : pas mal non plus…) qu’un string qui n’est, c’est vrai, qu’un succédané de culotte. Dans le premier cas, on découvre véritablement les fesses tandis que dans le second, le déculottage est affadi par l’absence précisément de la découverte. Quant au porte-jarretelles… je m’en tiendrai pour ma part à ma première phrase : chacune et chacun etc. Je dois reconnaître cependant que le porte-jarretelles aura enchanté mon adolescence : lorsque les doigts arrivaient à la lisière du bas, quelle émotion ! (quelle émotion aussi ressentions-nous à nour dire que la partie pouvait peut-être être gagnée). Il a ensuite à peu près disparu à la fin des années 60 : sic transit !
Mais une résurgence de temps à autre, dans une occasion exceptionnelle, pourquoi pas ?

Il m'est arrivé qu’une fois on me demande de porter une tenue particulière : Une robe sans dessous. Très pratique, pas la peine d’arpenter le Bon Marché, ni de faire chauffer la carte gold. C’était juste histoire de me mettre, je suppose, sans dessus dessous. N’empêche qu’au moment du 'troussage', je me suis dit, tant pis pour toi mon coco ! A mon avis, c’est beaucoup plus jouissif de déculotter soi même quand on aime donner la fessée… Pour le consoler, la prochaine fois je mettrai un pantalon ! :)

Chère Iris,

Permettez-moi de vous dire que tout se qui commence par un " F ", est, sous une certaine Forme, très Fine, puisque nous parlons dans ce contexte au Féminin...

La Féminité commence par la Femme, la lingerie Féminine et ensuite la Fessée car si tu Fais le mal, Fait le bien, car le mal bien Fait, Fait bien moins mal... Faut Faire attention et mettre cette phrase de côté lorsqu'on nous dit Faites pas aux autres se que vous n'aimeriez pas qu'on vous Fasse...

Il est beaucoup plus agréable de Faire sa révérence à son Fesseur que de se le Faire Faire...

La Femme, voir la Fessée, Fait se qu'il y a Faire pour Faire en sorte de plaire et Faire plaisir à son Fesseur; Fesses Flamboyantes, Foufounes Fermes mais parfois Fatiguées mais Faut le Faire !

Fa f'est fur ! :)

Poussée par le vent de l'Esprit en ce lendemain de Pentecôte, je reviens vers vous qui m'avez interpellée, Mon Regard, ( au fait ne préfèreriez-vous pas qu'on vous appelle "Foufounet", puisque vous avez clairement exprimé votre goût pour les foufounes bien fraîches...) me sentant appelée à vous rassurer au cas où vous soyez encore inquiet ... et non persuadé que les Françaises, amateurs de fessées, ont le souci de leur féminité ! Si, au hasard de vos pérégrinations, vous vous décidiez à traverser l'Atlantique et à venir jusqu'à nous, je vous dirai: "Venez et voyez !..." La dentelle qui orne le coton blanc de la plus modeste petite culotte, qu'elle soit confectionnée par "Petit Bateau" version féminine ou créée par les plus grands couturiers- Christian Dior en a fait de très belles...- est tout en finesse et en délicatesse...
Mais arrêtons de parler chiffons, pour ne pas risquer d'indisposer Maître Agramant, lui qui a résumé sa pensée en une formule lapidaire aux beaux accents baudelairiens: " Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !"

Pour répondre cependant à votre question sur l'importance des couleurs, Elorie, je pense pour ma part qu'elles ont une valeur symbolique selon la représentation que l'on a de la fessée et qu'il n'était pas fortuit de la part de votre fesseur de vous avoir demandé la 1ère fois d'arborer une culotte aux teintes pastel - requête qui ne me paraît pas nécessaire, mais qui néanmoins répond à une certaine logique, la fessée étant fondamentalement la punition de l'enfance et trouvant le plus souvent sa racine profonde dans cette période de notre vie ! Imagine-t-on les personnages de la Comtesse de Ségur avec un string, un porte-jarretelles ou des sous-vêtements de couleur noire ? Impensable et complètement anachronique ! Or il est tout à fait possible que votre fesseur vous ait voulue pour cette circonstance ingénue, candide, rebelle peut-être, mais le plus proche de l'enfance en tout cas ...

Il y a une autre question que je me pose personnellement en voyant si souvent revenir les mots "rituel" et "cérémonial"...Il est clair que certains d'entr'eux ont leur importance : on n'imagine pas servir un St.Emilion ou un Nuit St.Georges dans des gobelets en plastique, ce serait une vraie profanation ...
Mais pour le sujet qui nous concerne, n'est-ce pas beaucoup plus complexe ?
Faut-il nécessairement avoir un scénario bien précis dans la tête et avoir tout programmé d'avance pour que l'expérience soit réussie, je n'en suis pas certaine si je me réfère à ma propre expérience ! Parfois tout est affaire de longueur d'ondes, d'affinités en profondeur, d'accord des sensibilités plus que de programmation, me semble-t-il ! Cette fessée-plaisir qui fut la 1ère de ma vie d'adulte, totalement non préméditée alors que l'autre ignorait tout de mon fantasme bien ancré depuis l'adolescence, cette fessée qui m'a laissé un souvenir si fort que les moindres détails sont gravés dans ma mémoire comme si c'était hier alors qu'il y a plus de 20 ans, je la raconterai peut-être une prochaine fois si cela s'y prête ! Ce sera "la fessée au clair de lune"...

J'aimerais apporter une précision sur le mot foufoune, qui a une signification différente entre le Québec et la France. Au Québec les foufounes, c'est les fesses et non le sexe féminin comme vous en France... On peut dire à un enfant masculin: Cache tes foufounes, donc cache tes fesses. Si MON REGARD voulait dire le sexe féminin ou les fesses (?) Lui seul pourrait répondre à la question?

Le scénario! Il était important à ma première fessée... Maintenant il n'est aucunement obligatoire. L'improvisation donne des résultats assez surprenant parfois... Laisser libre cour à votre fesseur. Donner lui un espace de créativité, tout en respectant les règles bien établies au départ. Il sait très bien qu'il ne peut les franchir sans votre approbation, car elles peuvent changer... Comme on dit chez nous: Il y a seulement les fous qui ne changent pas d'idées... :)

Je suis d'accord IRIS pour le sous-vêtement blanc ou de couleur pastel pour représenter l'enfance. Ces rêves, désirs de fessées remontent d'aussi loin pour moi. Je ne voudrais seulement pas que mon fesseur soit déçu par une culotte noire, si cette fessée n'était nullement prévue au programme.... :)