Agramant 514 - 23/03/2010 22:22:33 Je n'ai pas l'intention de me défiler ! J'ai juste besoin d'un petit délai supplémentaire car je suis un peu charette en ce moment... PS petit chaperon vert, si jamais vos fesses ont la fâcheuse idée de passer a la portée de ma main, ça va être leur fête ! (et la votre par la même occasion :-)
Élorie 515 - 24/03/2010 02:38:31 Je ne suis pas sûre de comprendre cette expression de charrette, mais si c'est à quoi je pense. Je dirais cher ami de vous appropriez une Ferrari. :-)
Élorie 517 - 24/03/2010 13:00:49 Je croyais que ça voulais dire que vous étiez un peu "slow" lent... Je me disais que ça irais plus vite en Ferrari! En passant, ce n'est pas bien les retards... Une autre bonne raison de sévir! Bonne journée! :)
petit chaperon vert 518 - 24/03/2010 18:37:05 modifié le 24/03/2010 18:37:57 - interlude cul-turel Mon grand père me racontait que ayant leurs ateliers disséminés autour de l’école des beaux arts, les étudiants en architecture devaient descendre dans la rue leurs travaux présentés sur ‘pannet tendu’ (panneau de bois sur lequel on tendait toile ou papier), donc lourds et encombrants, et attendre le passage de la charrette à bras, qui faisait la tournée, pour rapatrier les susdits ‘pannets’ à l’école lors des rendus (présentation devant jury) – Pffffiou…, respireeeez, soufflez ! Évidement, quand la charrette arrivait devant l’atelier, c’était le branle bas de combat pour les retardataires car la charrette n’attendait pas, d’où l’expression - Être charrette ! NB - Il est à noter qu’une Ferrari, aussi rouge flamboyant soit elle, eut été moins pratique…
Élorie 519 - 24/03/2010 20:59:36 "NB - Il est à noter qu’une Ferrari, aussi rouge flamboyant soit elle, eut été moins pratique…" Petit chaperon vert! Vous n'avez pas apprécié ma figure de style... Dommage!!! Mais merci quand même pour le cours de cul-ture 101... :)
Agramant 520 - 26/03/2010 17:49:30 modifié le 26/03/2010 17:57:06 Chose promise, chose due, voici donc : C'était il y a... peu importe. C'est toujours gravé dans ma mémoire comme si c'était hier. Nous nous étions rencontrés après quelques échanges de mail prometteurs. Elle était vive, enjouée, cultivée et pleine d'humour. Quand je lui avait dit que j'étais ingénieur, elle m'a demandé par retour si j'étais rentré dans ce fantasme pour intégrer l'X ! J'ai eu un choc la première fois que je l'ai vue : non contente d'être drôle, cultivée et intelligente, elle était de surcroit ravissante. Elle m'avait dit pouvoir disposer tous les mercredis de l'appartement d'une amie. Nous pouvions nous y retrouver pour déjeuner car ce n'était pas loin de nos lieux de travails respectifs. Elle avait ce fantasme en elle depuis sa plus tendre enfance, mais ses tentatives pour le concrétiser avaient jusque la tourné court : l'un l'affolant complètement avec des photos excessives, l'autre avec un comportement difficile à comprendre, un troisième voulant l'emmener dans un club échangiste... Nous avions beaucoup de points communs et parmi ceux-la le fait d'être tous les deux mariés et de placer comme priorité numéro un la sauvegarde de nos conjoints et familles. Elle s'est laissée apprivoiser et m'a offert la joie d'être son initiateur. Mais elle voulait introduire un aléa : elle viendrait à nos rendez-vous hebdomadaires, mais sans savoir auquel de ces rendez-vous la fatidique fessée tomberait. Le premier rendez-vous, il était convenu qu'il ne se passerait rien. Nous avons juste bavardé longuement de tout et de rien, d'art, de littérature, de sciences... Sa culture était extraordinaire ! Au second rendez-vous, ne voulant pas me comporter comme un soudard, j'avais décidé de ne pas le faire non plus... mais de ne rien dire ! C'était très amusant de lire sur son visage cette interrogation muette, la montée de son angoisse, ses gestes involontairement nerveux... A chaque fois que je me levais, que j'esquissais un mouvement, que je parlais... je la voyais réprimer un sursaut ! J'ai joué ainsi au chat et à la souris jusqu'au dessert ou j'ai fini par lui dire, négligemment, que non, ce ne serait pas non plus pour cette fois la. J'ai lu immédiatement sur son visage un soulagement intense, mêlé à une petite pointe de déception ! Le mercredi suivant était mon anniversaire, je ne sais plus si elle le savait ou non à cette époque, mais moi j'avais trop attendu. Je voulais voir enfin ces jolies fesses que je n'avais fait que deviner sous sa jupe. Mais la encore, j'ai voulu garder le suspens, je n'ai rien dit. Elle a du le sentir, pourtant car l'ambiance du déjeuner était spéciale. Comme ces journées de juin ou malgré un soleil radieux on sent monter l'orage. Au moment du dessert, sans échanger un mot, je me suis levé, je l'ai prise dans mes bras en la portant comme un bébé (elle est mince, heureusement pour moi !) jusqu'à la chambre voisine. La, toujours sans un mot, je me suis assis sur le bord du lit, l'ai retournée à plat ventre sur mes genoux, puis j'ai retroussé sa jupe et ai lentement baissé la petite culotte dévoilant enfin les belles fesses tant convoitées... Et croyez-moi... l'envers valait l'endroit ! Voila comment a commencé une longue et belle histoire !
petit chaperon vert 522 - 27/03/2010 00:21:49 modifié le 27/03/2010 13:55:58 Wahouuuu ! Merci beaucoup Agramant, c’est vraiment un très beau souvenir, chaudement enveloppé de tendresse. C’est sur, ça va faire un tabac ! (surtout auprès des filles). Ça, je suis ravie que nous ayons toutes ‘délicatement’ insisté. Et maintenant que la malle est ouverte... :)
523 - 28/03/2010 22:06:28 Merci! Agramant, pour ce récit aux notes d'une douceur exquise et colorée. Comme dit si bien, Petit Chaperon Vert : "Et maintenant que la malle est ouverte... :)" faites nous encore profiter de vos souvenirs. Bisous de ma ville rose, Lilou
Agramant 524 - 29/03/2010 07:43:13 OK, je crois avoir compris le message ! Des que je serai un peu moins le nez dans le guidon je refouillerai dans la malle, promis. Et merci des compliments, au passage...