Agramant 479 - 6/03/2010 18:19:17 Comme déjà dit sur la messagerie interne, bienvenue parmi nous Jacques ! Et on vous pardonnera d'écrire "à la concurrence" si nous pouvons aussi vous lire ici !
Jacques 480 - 7/03/2010 08:54:44 modifié le 7/03/2010 08:55:14 J'espère ne pas recevoir la fessée en public pour collaboration ! Encore que l'idée ne me serait pas déplaisante...
481 - 7/03/2010 11:35:39 Dites donc, La fessée en public, ça a vraiment l’air d’être le summum, à vous lire ces derniers temps, Messieurs… Pour ma part, j’ai encore quelques petits trucs pimentés à gouter, avant d’être tentée par ce gros dessert. Évitons l’indigestion et le supplice de la diète ! ;)
Agramant 482 - 7/03/2010 12:58:01 Petit Chaperon Vert vous verrez si vous en arrivez la un jour (ce qui ne m'étonnerait guère d'ailleurs), que c'est en effet assez décoiffant ! Mais vous avez absolument raison de ne pas vouloir brûler les étapes, qui veut voyager loin ménage sa monture...
Jacques 483 - 7/03/2010 16:32:16 modifié le 7/03/2010 16:33:05 J'aurais dit la "croupe" de Petit Chaperon Vert..point d'application naturel de la fessée ! Imaginez vous ce petit chaperon relevé laissant apparaître une culotte ne demandant qu'à être baissée, sous le regard d'un public édifié !! !;) Mais il y a encore loin de la croupe aux verges !
484 - 7/03/2010 17:52:11 Hummm! La fessée en public, celà fait encore partie de mes fantasmes... Mais quand le moment viendra : Je vous raconterai... Promis! (rire) Bisous de ma ville rose, Lilou
485 - 7/03/2010 18:52:04 Vous me mélangez là, c'est la monture, ou la croupe que je dois ménager ? … Pour la monture, je peux toujours en avoir plusieurs, remarquez !
Jacques 486 - 8/03/2010 09:18:09 Personnellement, c'est votre croupe que je ne ménagerais pas, PCV ! Et je puis vous dire que je vous fesserais de la belle manière !;) Quant aux verges, je ne sais pas si vous y avez goûté, aussi je ne m'y risquerais pas... Pour revenir sur la fessée en public, Lilou, ça me rappelle, quand j'étais étudiant, un couple de nos amis qui pratiquait - ou tentait de pratiquer - ça...Une fois, ils sont venus chez nous et le copain, à un moment, a pris la copine sur ses genoux, lui a retroussé la robe et a essayé de lui baisser collant et culotte pour lui tanner les fesses. Malheureusement, tout ça a été interrompu à la première claque par ma copine à moi qui n'a pas du tout apprécié...Quel dommage ! Mais quelle image, quel fantasme persistant !
petit chaperon vert 487 - 8/03/2010 09:53:13 modifié le 8/03/2010 18:18:47 ‘PCV’..., c’est la première fois qu’on me l’a fait, celle là ! Chez France télécom, PCV est l’abréviation de « à percevoir »… Eh bien, mon cher Jacques, je peux vous certifier que vous n’êtes pas prêt de m’« à percevoir » ! :D « Malheureusement, tout ça a été interrompu à la première claque par ma copine à moi qui n'a pas du tout apprécié » Je me demande, vraiment, comment je réagirai, maintenant, devant une fessée donnée à un tiers (outre la jalousie bien sur… héhé) Quand j’étais enfant, je détestais qu’on m’impose ce spectacle. Je me souviens d’un gars en cinquième qui se balançait toujours sur sa chaise, au grand dam de la prof. Évidement, un jour, il a fini par partir en arrière et badaboum, les quatre fers en l’air ! La prof était hystérique. Elle réclamait, à grands cris, le chef de classe pour emmener tout de suite ce délinquant chez le surveillant général. Et moi, j’avais le nez dans ma case parce que ‘le chef de classe’, c’était votre servante et je savais très bien comment tout cela risquait se terminer. Bref, il a bien fallu que je lève le doigt, avant d’être punie aussi et nous voila dans le couloir. Mais voila, moi, je ne voulais toujours pas y aller (je ne l’ai pas dit ? je suis contre les punitions corporelles…). Alors je lui propose qu’on fasse semblant, un petit tour à l’infirmerie et le tour est joué. Soyez déçus, il n’a pas voulu et m’a emmené chez le Surgé. Nous voila devant l’animal, c’est vrai qu’il a une vrai tête de goupil. Je me lance dans le plaidoyer du siècle ! Je le vois, l’œil qui brille, le sourire qui s’agrandit au fur et à mesure que je déballe ma camelote. Il m’interrompt et me demande quel est le prof qui nous envoie. C’est là que ça se corse. Si c’est Monsieur Trucmuche, le prof de musique, qui est capable d’envoyer tous les élèves de sa classe en l’espace d’une heure, on colle des timbres sur des enveloppes jusqu’au cours suivant. Si c’est Madame Machinchouette, c’est une autre paire de manches et justement… c’est Madame Machinchouette ! Je murmure son nom et ni une ni deux, il courbe l’élève sous son bras et se met à le fesser d’importance. Abasourdie, je regarde ça comme si j’étais tombée chez les dégénérés. Le vent de Mai 68 n’a jamais soufflé au dessus de ce collège de la France profonde. Je tourne les talons et les laisse à leurs petites affaires… J’attends le puni devant la porte de la classe, car on n’a pas le droit de se balader tout seul dans les couloirs. Je frappe, nous entrons, je vais m’asseoir mais la prof me coince au passage, me prends par le menton et me demande, dans les yeux, si nous avons bien été voir le surveillant général (mais, pourquoi tant de méfiance… ? :). Évidement, je suis rouge comme une langoustine et je regarde par terre en bas à gauche, mais je confirme. Très sceptique, elle dit que de toute façon, elle vérifiera. Alors, tout en m’asseyant, je regarde le garçon et nous nous sourions. Ça y est, j’ai fait une touche ! Non, ce n’est pas ça la morale de l’histoire. La morale de l’histoire c’est que je ne serai jamais plus chef de classe, c'est trop risqué ! ;)
Archibald 488 - 10/03/2010 17:51:16 modifié le 10/03/2010 17:52:48 Dans une précédente intervention, j'avais évoqué la fessée publique, ainsi que le "non consentement consenti" comme un aboutissement, de même que j'avais dit tenir la fessée émoustillante et rigolarde pour le degré zéro de l'érotisme. Je maintiens cette position. Toutefois, il ne s'agit pas non plus de s'ériger en obsédé du tout ou rien. Il s'agirait plutôt de commencer par le commencement, c'est à dire de donner le début d'une réalité à ce qui, au fil de ces pages, m'apparaît comme une conversation de salon gentillette et propre à donner aux interlocutrices (et teurs) le délicat frisson de la possible transgression sans prendre finalement aucun risque d'y parvenir un jour. Je pose donc la question fondamentale: qui veut vraiment jouer? S'il y a des amatrices (et teurs) qui veulent pour tout de bon prendre ce risque, allons-y. Quelqu'une avait, il n'y a pas si longtemps, parlé des fautes d'orthographe (n'est-ce pas, Petit Chaperon Vert?). Cela pourrait servir de prétexte. Capital: 20 points. Chaque faute dans une contribution du blog (orthographe ou grammaire): moins 2 points. Arrivé à la note fatidique de zéro (et cela rappellera quelques souvenirs à quelques unes (et uns) d'entre nous), eh oui, parbleu, vous l'avez deviné: la fessée. Le mode d'application demeure à définir, mais chaque participant(e) au blog intéressé(e) par cette proposition peut y apporter sa contribution. Qu'en pensez-vous?