439 - 3/02/2010 15:23:11 "et a un moment j'ai senti sa main qui caressait mes fesses et mes cuisses meurtries. J'aurais du etre choquée de sentir cet homme qui a l'age de mon pere me caresser comme ca, mais la tension nerveuse avait été tellement forte que la j'étais bien et j'aurai voulu qu'il continue. J'ai senti sa main effleurer l'intérieur de mes cuisses, puis comme s'il était inquiet de sa propre audace, il m'a relevée et m'a pris dans ses bras pour arreter mes pleurs en caressant mes cheveux et en répétant "C'est fini, c'est fini..." Je ne discerne pas dans le texte de Saphira, que les caresses de son oncle soient malsaines. Saphira précise bien, dans son récit qu'elle a bien perçu que les caresses de son oncle étaient juste un "effleurement" et non pas une insistance. Je ne me sens nullement mal à l'aise en lisant cet écrit et je ressent l'effleurement de la main de son oncle, plutot comme un geste instinctif de sa part, un apaisement pour la rassurer après cette fessée et non pas quelque chose comme une atteinte à la pudeur. Il ne faut pas toujours voir le mal là ou il n'est pas. "Je me suis longtemps posé cette question et je me la pose encore parfois, mais non, je ne crois pas. Je crois que c'était juste quelques caresses qu'il a faite machinalement pour atténuer la fessée trop forte, car il a retiré précipitamment et spontanément sa main et cessé immédiatement lorsqu'elle s'est glissée entre mes cuisses (sans toucher mon sexe, je précise)" Du moment que celà n'a pas traumatisé Saphira, c'est le principal et de plus maitenant qu'elle à 19 ans, donc une Adulte, elle analyse et exprime très bien son ressenti. Lilou
Agramant 440 - 7/02/2010 16:11:38 Vous avez sans doute raison Lilou peut-être sommes nous un peu trop parano en l'occurrence. Mais je crois que dans ce domaine il vaut mieux l'être un peu trop que risquer de ne pas l'être assez. J'ai souvent entendu dire -je ne sais si c'est justifié ou non, mais je crains bien que ça le soit- que les enfants (et pour moi les ados en font partie) victimes d'abus sexuels le sont très souvent par des proches (parents, oncles, tuteurs... bref "adultes ayant autorité") et qu'il est très rare qu'ils dénoncent leurs abuseurs. De ce fait il y en a probablement sensiblement plus qu'on ne se l'imagine, et c'est une bonne raison pour se montrer particulièrement vigilant. Il y a de quoi traumatiser profondément la victime. Il semblerait que ce ne soit pas le cas de Saphira même si le comportement de son oncle est un peu "border-line", et j'en suis heureux pour elle. Je tenais aussi a me joindre à ce qu'a dit notre petit chaperon vert (que je salue au passage !) : Saphira vous n'avez EN AUCUN CAS à éprouver la moindre honte du plaisir ou du bien être que vous avez pu ressentir. Vous n'étiez pas responsable de la situation, elle vous a été imposée. Et ce n'est pas "mal" ni "honteux" de ressentir un plaisir même s'il est d'origine sexuelle, qu'est-ce que c'est que ce Jansénisme moisi !
Saphira 441 - 8/02/2010 16:38:03 Merci a vous tous, ca m'a fait plus de bien que je ne l'aurai cru de me sentir écoutée comme ça. A Agramant : c'est vrai vous avez raison, mais les sentiments ne se commandent pas, et en analysant, je crois que ce qui me gêne le plus en fin de compte c'est l'idée que peut être il ait pu s'en rendre compte. Vous qui fessez des femmes pour leur plaisir, est ce que vous pouvez ressentir quand elles y prennent du plaisir ? Est ce que ca se voit ? Je voudrais poser aussi une question aux femmes qui se font fesser volontairement pour le fantasme : a quel age avez-vous eu conscience d'en avoir vraiment envie ? Et est ce que avant ça vous avez traversé une période ou vous étiez simplement fascinée par la fessée sans en avoir envie consciemment ?
Agramant 442 - 8/02/2010 19:35:46 Bonsoir Saphira Je ne vais pas vous mentir : oui, en général je le sais. Pas toujours, mais souvent. Cela se voit à mille détails qui ne trompent pas un oeil averti : la manière de se cambrer pour s'offrir à la fessée, la tonalité des gémissements, la manière de se tortiller sur les genoux ou au contraire l'abandon complet, parfois même des manifestations physiologiques encore plus évidentes (je ne vais pas vous faire un dessin !), et j'en passe... Mais il faut pondérer cela par le fait que je sais pertinemment que les femmes que je fesse ont le fantasme et aiment cela. Il est plus facile de repérer un symptôme quand on le guette et surtout quand on connait déjà le diagnostic ! Et puis j'ai aussi une certaine expérience dans le domaine... Compte tenu de ce que vous avez écrit, je doute sincèrement que votre oncle se soit aperçu de quoi que ce soit. Sinon il aurait soit arrêté plus tôt, soit continué et précisé ses caresses s'il était pervers. Et son attitude ultérieure avec vous aurait certainement changé quelque soit le cas de figure. Certes je n'y étais pas, mais après avoir relu votre témoignage et ce que vous avez rajouté par la suite, je pense que vous pouvez tenir pour acquis qu'il n'en a rien su et ôter ce souci de votre esprit.
Élorie 443 - 8/02/2010 21:30:06 Allo Saphira, Pour ma part, la fessée à commencer comme une fascination à un âge très jeune(10-12 ans). Par contre pas au point de dire que je désirais recevoir une fessée. C'est plutôt une crainte qu'elle suscitait en moi. La seule menace d'une fessée (même si elle ce n'était pas pour moi) recréait la même sensation. De même que de voir une fessée donnée ou encore seulement entendre le bruit des claques, les pleurs ou les supplications... Je voyais la fessée comme une perversion. Il n'était donc pas question d'avouer, même de m'avouer que ce pouvait être un fantasme "normal"... C'est seulement vers la mi-trentaine que j'ai voulût en savoir plus et de faire de ce fantasme une réalité. Ma curiosité l'a emporter et c'est là que pour ma part les tabous sont tombés. Je ne vois plus la fessée comme une perversion. C'est toujours un fantasme un peu hors normes pour la majorité du monde (qui n'ont pas le fantasme). Mais pour les gens qui ont le fantasme, c'est une sensation fort agréable aussi... Je sais maintenant que mon envie pour la fessée est bien réel et je ne me sens pas mal à l'aise de vouloir le réaliser, même si pour moi je dois faire appel à des fesseurs. Ne sois pas inquiète si tu as des doutes sur le fantasme... S'il t'habites vraiment, il refera surface un jour et peut-être qu'une situation surviendra et favorisera la réalisation de celui-ci. Qui sait, avec un petit ami peut-être... :) Pour ce qui est de ta fessée avec ton oncle... Je pense qu'il a eu une fraction de seconde d'égarement et qu'il s'est ravisé assez rapidement... Tu ne sembles pas perturbée non plus. C'est correct! Aucun remors de part et d'autre. Tu as reçue une fessée bien méritée et de plus, tu le dis toi même que la situation aurait été bien pire avec ton paternel... :)
ptit chapron vert 444 - 9/02/2010 08:36:07 Troublée très jeune par la fessée, mais littéralement ulcérée par tout ce qui peut ressembler, de près, ou de loin, à de la contrainte ou à de la violence, le phantasme de ‘jouer’ à la fessée entre adultes consentants ne s’est mis en place que tardivement… Heureusement, il n’est jamais trop tard pour prendre de l’avance ! ;-)
Charlotte 445 - 9/02/2010 10:58:57 Moi aussi j'étais fascinée enfant par la fessée, dès le début de l'adolescence je crois, ou peut etre juste un peu avant. Mes parents ne le faisaient pas, mais mon oncle et ma tante fessaient leurs enfants même ados, jusqu'a 16 ans. Je n'avais pas la moindre envie d'être à leur place, comme le pti chapron vert, j'étais même plutot révoltée par cette violence, mais ca me fascinait littéralement. Ce qui me troublait le plus, je crois, c'était le coté codifié, inéluctable, comme une sorte de cérémonial intangible. A part quelques rares exceptions, la punition était annoncée dans la journée et exécutée le soir avant le coucher, dans la chambre des parents, le ou la punie devait se présenter en pyjama ou en chemise de nuit. J'avais beau être révoltée pour eux, j'étais comme aimantée et je m'arrangeais pour être dans le couloir à ces moments la. La porte se refermait et quelques instants plus tard on entendait le bruit clair et régulier des claques sur les fesses puis les plaintes du ou de la punie... Une fois, sous prétexte de lui mettre de la pommade pour la soulager, j'ai vu les fesses de ma cousine juste après la fessée et c'était impressionnant !! Uniformément rouges avec quelques traces qui viraient au bleu, ca m'a fait froid dans le dos !! Je ne sais pas quand j'ai pris conscience que j'en avais envie, c'est venu progressivement vers la trentaine je dirais. Je me remémorais ces souvenirs d'enfance avec un trouble grandissant et j'ai fini par réaliser que j'en avais envie, que j'aurai donné n'importe quoi pour être a la place de ma cousine 15 ans plus tot. J'ai longtemps réprimé ce fantasme en me disant que j'étais anormale, mais grace au net et a des sites comme ici j'ai pu réaliser mon rêve !!!
446 - 10/02/2010 16:22:08 Si je lis bien, ce fantasme nous vient pour toutes de l'enfance ou de l'adolescence, mais j'ai l'impression d'être la seule pour laquelle il s'est exprimé à ce moment la... Gwenaëlle
447 - 17/02/2010 09:54:53 ptit chapron vert : "le phantasme de ‘jouer’ à la fessée entre adultes consentants ne s’est mis en place que tardivement… Heureusement, il n’est jamais trop tard pour prendre de l’avance ! ;-)" Tout a fait d'accord avec Toi, ptit chapron vert : ce fantasme, à débuter, pour moi, très jeune aussi (enfant) et c'est amplifié quand j'ai grandi et suis devenue une adulte. Je l'ai vraiment réalisé très tard : il y a pas si longtemps : 50 ans. Et oui! Mais alors, que du Bonheur et la seule chose que je regrette, c'est de ne pas avoir Osé le réaliser bien avant. Maintenant c'est fait et j'en suis tout ravie (Lol) et je ne m'en prive surtout pas, mais je reste prudente quand je rencontre quelqu'un, pour l'instant d'un jeu. Et j'ai toujours suivie les conseils d'Agrament dans sa rubrique : Les Règles d'une Bonne Fessée. Voilà, et gros bisous à Toutes et à Tous de ma ville rose, Lilou
448 - 17/02/2010 09:56:56 Oups! Désolée, Agramant, j'ai fait une faute à votre pseudo, je rectifie. Lilou