Ton récit m'a fasciné Saphira, et m'a ramené à ma propre adolescence, car comme toi mes parents ont cessé d'utiliser la fessée vers une dizaine d'année, un peu avant la puberté en fait, et comme toi j'ai parfois regretté le coté "après c'est fini et on n'en parle plus".

Par contre je n'ai eu la "chance" comme toi d'en revivre une, sinon bien plus tard avec mon Monsieur et parceque je l'avais voulue et provoquée. Ce n'est pas complètement pareil. Il est vrai que toi tu ne semble pas vraiment considérer cela comme de la chance ! Mais tout de même, tes sentiments sont ambigus : tu parles de trouble, tu y repenses souvent, tu as éprouvé le besoin de venir le raconter ici, comme le dit Agramant cela n'est pas innocent !

D'après ce que j'ai compris tu as des soeurs, sont-elles plus jeunes ou plus agées que toi ? As-tu assisté depuis que tu es adolescente à une fessée donnée à une de tes soeurs ? Je te pose cette question, car moi cela m'est arrivé quand j'avais 14 ou 15 ans, que je n'étais donc plus fessée moi-même depuis plusieurs années et cela ... disons que cela m'a très fortement émue, et que j'ai eu une envie folle et soudaine d'être à sa place. C'est très clairement de la, pour moi, que date le fantasme au moins d'une manière consciente, car cette scène a maintes fois servi par la suite dans mes meilleures rêveries solitaires (je ne vais pas vous faire un dessin !)

Gwenaëlle

Ce sont les attouchements de la fin qui vous font réagir comme cela Petit Chaperon Vert ?

En tout cas, moi oui, c'est le point du récit (par ailleurs très bon) qui me dérange vraiment...

Bingo, Agramant ! :)

Maintenant que je me suis calmée… je complète :

Ii s’agit en plus dans ce récit, d’un accord sous la contrainte et sur mineur, d’un chantage et non d’un jeu entre adultes consentants.

En revanche, en tant que scénario, c’est extra !
Il y a tout les ingrédients pour faire grimper aux rideaux le plus tiède des ‘fantasmeurs’ - L’âge de la victime, la culotte aux chevilles, la description des claques et des caresses, les fesses cambrées ...
Bien que, les fesses cambrées quand on est sur le genoux du Monsieur… personnellement, je ne cambre que pour détourner son attention de l’envie de prendre un instrument, ou quand les claques sont délicieuses et que j’aimerai que cela ne finisse jamais !

Je me suis longtemps posé cette question et je me la pose encore parfois, mais non, je ne crois pas. Je crois que c'était juste quelques caresses qu'il a faite machinalement pour atténuer la fessée trop forte, car il a retiré précipitamment et spontanément sa main et cessé immédiatement lorsqu'elle s'est glissée entre mes cuisses (sans toucher mon sexe, je précise)

Et je dois dire aussi que je l'ai bien observé par la suite, jamais il n'a eu de geste ou de regard déplacés ni à mon égart, ni a celui de mes soeurs ni de mes cousines. Je n'ai pas l'impression que ce soit un pervers. Ca va vous paraitre curieux, mais pour ces caresses, je m'en veux plus a moi de les avoir acceptées passivement et presque avec plaisir qu'a lui de les avoir faites

Je suis l'avant derniere de 4 filles Gwenaelle, et ma plus jeune soeur a cessé d'être fessée peu de temps après moi. Donc quand il m'arrivait d'assister à la fessée d'une de mes soeur, pas souvent car en général les parents faisaient ça en privé, je n'ai pas éprouvé ce que tu dis car c'était à une époque ou je me la prenais aussi. Je ne sais pas pourquoi j'ai raconté cette histoire ici, j'avais besoin d'en parler surtout...

"je m'en veux plus a moi de les avoir acceptées passivement et presque avec plaisir qu'a lui de les avoir faites"

Chère Saphira, si cela peut vous aider, ce n'est jamais à l'enfant de se sentir coupable d'avoir été passif ni même d'avoir éprouvé du plaisir c'est à l'adulte de savoir se comporter vis à vis de l'enfant et cela même si il a 17 ans.

- PROVOCATION

Le week-end dernier nous étions chez des amis pour fêter, de nouveau, cette « bonne année bonne santé ». Tous le monde vautré dans les canapés un verre à la main (ne changeons pas les bonnes habitudes ;)), voila que ces messieurs se lancent sur le thème de leurs bobos respectifs que la pratique sportive engendre. De l’épaule luxée aux vertèbres brisée, c’est un véritable festival sans fin. Je regarde les filles qui légèrement comateuses récupèrent de leur samedi après midi de soldes et profite d’une respiration d’un des messieurs pour proposer qu’a notre tour nous leur racontions les affres de nos accouchements (ricanements des filles, seulement…). Le copain qui respirait, en reste bouche bée, devant mon mari qui prend alors sont air de Goupil et dit :

« Ne t’inquiète pas, dès qu’on rentre, elle va recevoir sa fessée ! »

Ce coup là, il me l’a déjà fait. La première fois, je suis restée, deux secondes, pétrifiée me demandant si mon cerveau avait bien traduit ce qui venait d’être dit par Monsieur qui ne daigne même pas se balader sur un site…Une copine était alors venue à ma rescousse, en lui demandant de ne pas dire n’importe quoi !

Cette fois si, je l’ai vu venir. J’ai déjà le nez dans mon verre, l’air absent et les oreilles grandes ouvertes. C’est le troisième larron qui enchaîne alors. L’air gourmant, il s’exclame :

« Ah ouiiii, une Bonne fessée ! » Et il englouti, d’un coup, le petit choux qu’il s’est empressé de saisir …

En fait, c’est très amusant les réactions des autres quand une petite phrase, comme celle là, est lâchée…. Et ce qui est encore plus amusant c’est :
- Devinez qui va finir par passer pour un véritable obsédé ? :D

« Ne t’inquiète pas, dès qu’on rentre, elle va recevoir sa fessée ! »

« Ah ouiiii, une Bonne fessée ! »

Oh! la magie des mots, le pouvoir qu'ils ont sur nous et nous paralysent de honte... de gêne... mais qui se transforment en petits papillons qui viennent inévitablement titiller notre bas ventre, qui explose dans le plaisir et nous emmène à la jouissance.

Un bisou de ma ville rose à Toutes et à Tous,
Lilou