Élorie 449 - 17/02/2010 17:42:00 Attention! Lilou, une simple faute d'orthographe comme celle-ci, serait une raison suffisante pour vous valoir une grosse fessée... Peut-être que c'est inconsciemment ce que vous vouliez engendrer... :) * J'ai bien hâte d'avoir les impressions de Saphira sur les témoignages des filles. Gwenaëlle; Je suis curieuse de savoir comment le fantasme se définissait pour toi dans l'enfance...
450 - 17/02/2010 18:08:33 Élorie : "Attention! Lilou, une simple faute d'orthographe comme celle-ci, serait une raison suffisante pour vous valoir une grosse fessée... Peut-être que c'est inconsciemment ce que vous vouliez engendrer... :)" ... qui sait? (rire) Lilou
ptit chapron vert 452 - 18/02/2010 08:16:09 Oulla, Elorie ! Si Agramant ‘se déclenche’ aussi pour les fautes d’orthographe, il va lui falloir des caractéristiques physiques particulières genre….Agramant - le mille pattes ! ;D
453 - 18/02/2010 09:37:42 Que veux tu dire par comment le fantasme se définissait pour moi Elorie ? Comme je l'ai déjà écrit ici, il m'est venu en pleine adolescence en voyant ma plus jeune soeur subir une magistrale fessée déculottée de notre père. Nos parents étaient et sont toujours aimants et attentionnés , mais ils avaient à coeur de bien nous élever et il se sont toujours montrés assez fermes sur certains principes. Sauf peut-être juste sur le moment, je ne me rappelle pas avoir jamais été révoltée contres les fessées que nous avons du subir, car elle étaient heureusement assez rares et toujours largement justifiées. Comme pour Saphira, pour respecter notre pudeur je suppose, nos parents ont cessé de nous punir ainsi à l'approche de l'adolescence vers 10/12 ans. Je me souviens encore du torrent d'émotion que j'ai ressenti quand j'ai vu mon père coucher ma soeur sur ses genoux, retrousser sa jupe et baisser sa culotte, et la fesser d'importance. J'étais comme hypnotisée par les petites fesses de ma soeur qui se trémoussaient sur les genoux de notre père et rougissaient à vue d'oeil. Et la j'ai réalisé avec stupeur que j'avais terriblement envie d'être a sa place. Le sentiment était si fort qu'aujourd'hui encore en écrivant ses lignes, j'en suis toute troublée. Et depuis cette date, pour autant que je me souvienne, toutes mes rêveries érotiques ont tourné autour de cette scène. Gwenaëlle
454 - 18/02/2010 10:31:37 Agramant : Tiens, c'est une idée, ça ! Venez donc un peu par ici Lilou !! J'arrive! (lol) Lilou
Élorie 455 - 19/02/2010 15:34:41 "Que veux tu dire par comment le fantasme se définissait pour moi Elorie ?" Merci pour ta réponse Gwenaëlle, Je voulais dire: Qu'est ce que le fantasme de la fessée te faisait vivre en toi? Tu as répondu promptement et correctement. Merci encore... Je m'imagine toujours que dans l'enfance le fantasme soit différent de quand on est adulte, je constate que pour toi il était sexuel déjà à cette époque. Tandis que pour moi, il ne l'était pas... C'est arrivé beaucoup plus tard... Mais déjà à l'enfance la fessée ne me laissait pas indifférente, mais c'est le côté crainte qui prônait... Je la définirais comme "La peur au ventre". Pour moi je fais une distinction entre la fessée érotique et la fessée punitive. Je considère la fessée érotique très sensuelle et sexuelle, mais je ne considère pas la fessée punitive comme telle. Y a-t-il pour vous une différence entre les deux? ou une fessée reste une fessée...
456 - 19/02/2010 15:58:56 Élorie "Y a-t-il pour vous une différence entre les deux? ou une fessée reste une fessée..." En ce qui me concerne, les deux ont leur importance. J'aime la fessée érotique, mais dans le jeu, j'aime etre puni sévèrement aussi, érotique et punitive l'une ne va pas sans l'autre. Bisous, Lilou
Archibald 457 - 19/02/2010 18:46:43 modifié le 20/02/2010 18:03:01 Fessée érotique ou fessée punitive ? Les deux ensemble bien entendu, mais avec des nuances, et "Lilou" a raison. Il ne me paraît pas absolument pas nécessaire de fesser la femme qu’on aime pour avoir une relation sexuelle avec elle comme il ne me semble pas du tout indispensable d’avoir une relation sexuelle avec une femme après qu’on l’a fessée. Tout cela ressortit donc à un jeu, mais à un jeu dont il convient, si on veut le rendre émouvant, de prendre quelques règles au sérieux. La fessée est nécessairement érotique, alors même qu’elle doit être punitive. En effet, s’il n’existe pas un lien érotique évident entre les participants, je me demande bien sous quel prétexte un homme peut s’arroger le droit de porter la main sur une femme. Sauf à procéder de la loi du plus fort, c’est à dire du machisme le plus exécrable, la fessée ne peut donc, ne doit donc en aucun cas être administrée en dehors d’un contexte érotique consenti. Oui mais… l’érotisme est un domaine singulièrement complexe dont l’atout le plus puissant est sans conteste la transgression. Or, si madame et monsieur sont bien d’accord sur tous leurs petits fantasmes dans le secret de leur chambre à coucher, le piment de la dite transgression perd l’essentiel de sa saveur. C’est donc là qu’intervient la notion de punition (il existe tout de même, depuis l’enfance, une relation de nécessité entre l’idée de fessée et celle de punition) la seule à mes yeux qui permette d’associer la nécessité de transgression, sans quoi l’érotisme n’est tout simplement pas, avec un comportement érotique consenti. En résumé, fesser une femme consentante sans aucun prétexte m’apparaît comme une érotomanie gentillette sans plus. Battre une femme non consentante sur les fesses (ou ailleurs) n’est tout simplement pas admissible. Que faire alors pour résoudre cette contradiction ? Je ne vois guère d’autre manière de fessée que celle dite « punitive », quel qu’en soit alors le prétexte puisqu’elle constitue une des pratiques érotiques qu’exercent entre eux des partenaires adultes et consentants. La règle impérative est que la fessée soit donnée dans le cadre d’une scénarisation suffisamment élaborée pour que le contexte (humaniste certes mais anti-érotique) du consentement soit évacué afin de décupler l’émotion de l’instant. Eh oui ! la pratique de l’érotisme requiert de l’exigence …
ptit chapron vert 458 - 20/02/2010 11:06:34 modifié le 20/02/2010 14:22:03 Nous ne sommes que des cerveaux entourés d’un grand organe sensuel (mais ou ai-je bien pu fourrer mon romantisme, ce matin…. ?). Je ne pense pas que l’on puisse poser côtes à côtes, fessée sexuelle et fessée punitive. La fessée punitive est profondément troublante. Tous les sens y sont sollicités - La vue, l’ouïe, le touché, l’odorat et même le goût, ne dit on pas déguster sa fessée (et sous la fessée aussi d’ailleurs ...) L’émotion qui en nait, s’appelle tout simplement le PLAISIR, qu’il soit déclenché par la peur (mon dieu, mon dieu, qu’est ce qui va m’arriver…) par la pudeur (non mais, il ne va tout de même pas baisser ma culotte, tout de même… !) par l’impression de n’être plus maitre de la situation ni de ses propres réactions (je vous laisse imaginer… :) La fessée punitive entre adultes consentants est en soit une pratique sexuelle, ne nous voilons plus la fesse ! ;)