petit chaperon vert 555 - 6/05/2010 14:45:23 modifié le 6/05/2010 17:55:33 Cher Archibald, vous ne me rasez pas du tout. Vos ‘ronchonneries’ sur ‘le rire’ m’ont bien manquées depuis deux mois que vous nous avez laissé tomber comme de vieilles chaussettes. C’est sur que l’érotisme et l’humour ne sont pas un couple facile à assortir. Mais quand vous dites que le rire cache l’émotion, je m’inscris en faux. A la rigueur le rire peut masquer une gêne, mais le rire est surtout, comme les larmes, une expression humaine de l’émotion. J’ai bien noté que vous doutiez d’un rapport quelconque entre l’érotisme et le rire ou la tristesse (et pourtant il existe de beaux dessins érotiques et humoristiques). Et la joie et les larmes, qu’en dites-vous ? Il faut bien que la pierre précieuse qu’est l’érotisme soit enchâssée dans une monture. Par ailleurs, j’avoue avoir ri deux fois pendant la fessée (sacrilège !), je vous rassure, je n’ai pas ri très longtemps… et puis j’ai aussi pleuré deux fois et là, plus longtemps... Vous dites aussi que « …l’imaginaire autorise des rêveries délectables. Sans risques. ». « Sans risques » de concrétiser quoi que ce soit, je suppose ? Mais les rêveries sont les graines de nos actions futures…A chacun de se donner les moyens et le temps de les cultiver, non ?
Agramant 557 - 7/05/2010 22:00:12 Je suis désolé Thierry, mais comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises... et comme j'aimerai bien ne plus avoir à le répéter... Le blog n'est pas la pour inviter tel ou telle à correspondre avec vous ni pour draguer ouvertement. Vous avez l'Email, ou la messagerie interne pour cela... --- Si je puis me permettre de mettre mon grain de sel dans l'intéressante discussion entre Archibald et notre petit chaperon vert, je dirais volontiers que le rire est souvent un moyen élégant de cacher son émotion... Mais de la à dire qu'il inhibe l'érotisme, il y a un monde. Il est au contraire un marqueur de l'émotion puisque justement il y a matière à cacher quelquechose ! Archibald, vous connaissez certainement le dicton "femme qui rit, à moitié dans son lit" et avec l'expérience que je vous devine, je suis persuadé que vous savez bien qu'il est loin d'être faux... même si l'autre moitié ne vient pas toujours aussi facilement qu'on voudrait ! Et puis le rire crée une connivence, une complicité, un bien être... qui ne peuvent qu'être de bon augure. Et puis zut, c'est bon de rire ! D'ailleurs sur un sujet comme le fantasme qui nous est cher, imaginez vous vraiment des discussions ou des échanges sans un minimum de légèreté et de second degré ? Bien sur, chacun a son point de vue et sa sensibilité, mais quand à moi je regretterai de ne plus vous lire ici...
IRIS 558 - 8/05/2010 05:38:19 modifié le 8/05/2010 11:30:07 Que d'animation soudaine sur le blog ! Cela est un plaisir d'écouter à la fois les nouveaux arrivants- dont je fais partie - et de retrouver ceux qui, alertés ou non par la trompette, reviennent sur la scène, pour l'enrichissement et l'agrément de tous... Merci, Archibald, d'avoir accepté avec un brin d'humour et sans trop bougonner... ma petite taquinerie à votre égard qui, d'ailleurs, rendait sincèrement hommage à votre art de formuler les concepts et d'exposer avec clarté votre point de vue - que nous savons entendre ( j'insiste là-dessus )-, même si chacun se doit d'y apporter, à la lumière de son expérience et de sa sensibilité, d'autres nuances ou même des différences ! Rassurez-vous, cela ne me serait pas venu à l'esprit, sous prétexte que vous avez déserté le blog pendant un certain temps - ce qui relève de votre entière liberté - de vous faire passer pour "un Achille réfugié sous sa tente à qui on aurait volé sa Briseis"...Et, en écrivant ces mots qui sont les vôtres, je ne puis m'empêcher de rire - un rire salutaire que vous me pardonnerez, Archibald, d'autant plus qu'il me permet de rebondir sur le sujet du jour ! Le blog ayant à mon avis pour première vocation d'être un espace d'échanges avant même d'être un espace érotique ( ce qu'il n'est que pendant le temps des récits de fessées ) , il me semble à moi aussi que le rire et l'humour y ont parfaitement leur place, signes de bonne humeur et de vitalité, échange discret de clins d'oeil et de petites connivences... Moyen aussi de ne pas trop se prendre au sérieux (il n'est pas sans importance que le mot "humour" ait la même racine que "humilité") et surtout de vivre avec plus de légèreté un fantasme très particulier qui, à certaines heures de la vie , si je me réfère à ma propre expérience, n'est pas pas si simple à assumer ! D'autre part, cela n'empêche en rien la concrétisation éventuelle de projets à venir, car, comme l'exprime si bien Petit Chaperon Vert, " nos rêveries sont les graines de nos actions futures. A chacun de se donner les moyens et le temps de les cultiver !" Bien- sûr chacun selon ses affinités et ses possibilités . Ceci exprimé, il est vrai aussi que l'érotisme est d'un ordre sacré et que la fessée - qui en fait partie - ne saurait être confondue avec un acte comique ou encore moins rigolard, car, comme le dit Charlotte, c'est une chose sérieuse et, pour ma part, je serais même tentée d'ajouter : la fessée, c'est sacré ! Toutefois je ne considère absolument pas le rire qui l'accompagne comme sacrilège ! En écrivant cela, il me revient en mémoire le spectacle d'une fessée improvisée à laquelle il m'a été donné d'assister il y a quelques années dans mon milieu de travail. Une vraie fessée, publique par surcroît, en plein air, infligée à l'une de mes collègues lors d'un méchoui bien arrosé qui clôturait l'année scolaire et où nous étions passablement éméchés , donc beaucoup plus désinhibés... A l'exception de Mme le Proviseur,( complètement affolée en assistant au déculottage et en pensant à la réputation de son établissement si ça s'ébruitait...), tout le monde a ri, même si ce rire n'a pas eu la même signification pour les uns et les autres et, pour ma part, même si je n'ai pas ressenti ce jour-là le summum de l'émotion, j' ai quand même été érotiquement troublée ! Enfin, comme le dit très bien Agramant, il y a un rire plus profond encore qui est comme un "marqueur de l'émotion " - rire parfois mêlé de larmes où s'exprime, dans cet échange complice qui relie deux êtres durant le temps privilégié de la fessée, un surcroît d'émotion, oui.. une émotion qui déborde !
thierry 559 - 8/05/2010 16:26:08 Désolé Cher Webmaster, j'ai manqué de tact. Cepandant lorsqu'un profil m'interresse et qui parle de chercher un partenaire et ne met pas son mail, j'essaye par tous les moyens d'entrer en relation. J'ai compris, pardonnez mon erreur. Bonne continuation : thierry Lafond - 68720 Hochstatt (pour moi, je suis transparent, je n'ai rien à cacher !)
Archibald 560 - 8/05/2010 17:11:39 Ouch ! Entre mes « ronchoneries » pour l’une et mes « bougonneries » pour l’autre, si j’avais la certitude que je pourrais faire suivre d’effet mes menaces, je dirais bien que je me tiens dès à présent en embuscade, prêt aussitôt que l’occasion s’en présentera à exercer les représailles dues. Je l’ai dit, redit, tridit presque : chacun éprouve ce qu’il peut comme il peut. Mais Petit Chaperon (qui aura du bâton ronron) : rire pendant une fessée se peut dans votre contexte bien précis de fessée conjugale. Imaginons un seul instant (juste pour étayer mon raisonnement, pas pour me laisser aller à des rêveries délectables) que je prenne la place de votre compagnon, je ne pense pas – sauf ratage complet de ma part – que vous auriez le moins du monde envie de vous laisser aller à la rigolade. Mais vous pouvez bien entendu laisser germer la vérification de cette hypothèse comme « une graine pour nos actions futures ». Cher Agramant, votre manière de jouer du paradoxe m’enchante. Ainsi, un seau d’eau est-il un marqueur de l’incendie. Pourquoi pas ? Mais vous ne récuserez pas, je l’espère, ce mot de Cocteau à qui l’on demandait ce qu’il sauverait tout d’abord si sa maison était en flamme et qui répondit : le feu ! Sinon, s’il a pu m’arriver parfois d’avoir eu le bonheur de retenir une attention féminine, je ne crois pas – sauf bien involontairement alors – que mes histoires drôles y aient joué une grande part. (Au fait, votre autre pseudo, est-ce bien de JMD qu’il s’agit ?) Iris, vous frôlez vous aussi le paradoxe : si pour vous « la fessée est sacrée » (et pour ce qu’elle suppose de consentement, de don de la part de la femme qui la reçoit, je ne suis pas loin de souscrire à cette qualification), je ne vois pas où est le rire. La fessée à laquelle vous faites allusion est plutôt profane (un peu d’ivresse, un brin de défi, une conjoncture favorable). Le rire intervient alors pour re-situer l’extravagance de l’acte dans un contexte plausible, socialement supportable. Comment ? par le rire qui en atténue la portée, c’est ce que je me tue à vous dire (alors laissez-moi mourir, je sais…). Cela dit, si vous organisez encore une petite partie dans ce genre, ne manquez pas de m’y inviter, je tenterai de faire un convive tout à fait attentionné. Bref. Nous n’allons pas non plus rédiger une thèse sur la fessée et le rire et pour ce qui est de la bonne humeur sur le blog, il est bien évident qu’elle doit être la règle. Autrement plus importante est la graine du Petit Chaperon (qui a tort de ne pas se faire de mouron, ronron) et qui m’amène à vous poser la question de confiance : ce blog peut-il permettre qu’une telle graine soit plantée ? Comment ? Par qui ? Les copies seront relevées la semaine prochaine. Ps : une strophe d’Apollinaire pour vous faire sourire : « Il la fouettait avec des branches De laurier-sauce ou d’olivier La bougresse branlait des hanches N’ayant plus rien à envier En faveur de ses fesses blanches » Bon week-end. A.
IRIS 561 - 8/05/2010 20:15:04 modifié le 8/05/2010 20:21:30 Si je vous lis bien, cher Archibald, vous vous tenez en embuscade, prêt à exercer vos représailles, mais muni de quoi ? D'une badine, de verges, de branches d'olivier , d'un martinet aux 20 lanières , de votre ceinture ? Faut préciser, car souvenez- vous que , pour ma part, je n'ai pas de goût particulier pour la pratique instrumentale ... Et puis, si je comprends bien tout, avec vous on n'a pas le droit de rire, ni de pleurer ...Alors qu'est-ce qui se passe si on le fait quand même ? Vous n'allez quand même pas dire que, dans ce cas, vous doublez le traitement ?? AU SECOURS Petit Chaperon Vert, AU SECOURS Docteur Agramant ! J'ai peur ...! Ce n'est pas de ma faute si je ne suis qu'une petite fleur bleue...
Agramant 562 - 9/05/2010 07:40:43 Je comprend votre point de vue Thierry, et c'est précisément pour ce cas de figure de personnes exprimant une recherche mais ne voulant pas divulguer leur Email que j'ai implémenté sur ce site une messagerie interne. Mais pour ce qui est du blog, je préfère vraiment qu'il reste un espace convivial de discussions et d'échange d'idées et pas un terrain de chasse pour dragueurs pros. Dans un autre ordre d'idée, je souhaiterai aussi que ne soient pas données publiquement (sur le blog, dans les profils, dans les PA), des informations comme un nom, une adresse ou un numéro de téléphone. Je ne l'ai pas censuré pour cette fois ci car je ne voudrais pas que vous pensiez que je vous en veut, mais j'aimerais que cela ne constitue pas un précédent... Archibald, ne faites pas semblant de ne pas comprendre ! Ma grand-mère appelait ça "faire l'âne pour avoir du son" ! Bien sur que vous n'avez pas séduit vos conquêtes en leur récitant l'almanach Vermot (au fait, ça existe encore ?). Mais je gage que vous avez su vous montrer spirituel et enjoué et non guindé comme un bonnet de nuit ! Mais je vous rejoint sur un point, c'est que la fessée -telle que je la conçoit, en tout cas- doit être administrée sérieusement, presque avec gravité. J'avoue qu'il m'est arrivé avec ma partenaire de partager une crise de fou-rire pendant une fessée, mais nous avons alors dérivé sur d'autres jeux. Ce n'était plus l'ambiance d'une fessée. Mais si, le temps de la fessée (et celui qui la précède de peu) le rire n'est pas de mise, en dehors de ces périodes moi je le trouve bien agréable. Dans les relations BDSM, pour ce que j'en ai compris en tout cas, le "maître" garde son rôle en permanence et donc ne rit jamais avec sa "soumise", et c'est précisément pour ce genre d'esprit que je trouve que la fessée entre adultes -encore une fois, telle que, moi, je la conçois- est différente du BDSM. Et au fait, oui, c'était bien JMD, bravo !
petit chaperon vert 563 - 10/05/2010 12:49:32 modifié le 10/05/2010 18:23:45 REDDITION Bon d’accord Archibald, pendant la fessée et même juste avant comme le précise Agramant, le rire de la plaisanterie ne devrait pas être. Seulement voila, et je sais très bien que ce soit avec mon conjoint ou non…(non, non, cela ne me gène pas le moins du monde de profiter d’une rêverie délectable pour m’imaginer sur vos genoux surtout que si vous séduisez sans humour, alors surement, c’est vous le jumeaux caché de Sean Connery), le rire est une façon d’essayer de m’échapper quand l’émotion me met en danger de ne plus rien contrôler. Alors, avant de plonger, de lâcher prise, oui mon cerveau clignote à la recherche de n’importe quoi, vite, vite, quelque chose à quoi me raccrocher. Si le fesseur a le tort de laisse la moindre faille je m’y engouffre sans réfléchir. Exemple : Quand couchées sur vos genoux vous bénéficiez d’une vue ‘intéressante’, nous n’y voyions pas grand-chose. Le panorama se réduit souvent à la vue de vos pieds. Aussi, afin de capturer, au mieux, cette papillonnante attention née de l’affolement qui envahit certaines dont je fais partie, ne négligez aucun détail. Messieurs…, vérifiez que vos chaussettes sont assorties ! Si le Monsieur est assez costaud, qu’il ne se laisse pas déstabiliser, il reprendra la main sinon je le croque tout cru, pas de quartier ! En fait, ce rire là n’est pas non plus de la ‘rigolade’, mais bien plutôt les sirènes de la reddition… «… ce blog peut-il permettre qu’une telle graine soit plantée ? Comment ? Par qui ? Les copies seront relevées la semaine prochaine. » S’il vous plait, Professeur Archibald, on a déjà eu 0 /20 sur cette interro, il y a deux mois et vous ne nous avez jamais donné le corrigé. Soyez sympa filez nous un exemple, une piste, le début d’une solution et ron et ron à petits pas tapons …
Archibald 564 - 11/05/2010 13:48:13 Ah ! Iris ! Quel bonheur de vous lire ! Voici qu’à l’espièglerie, voire à l’insolence, vous ajoutez la mauvaise foi de vos appels au secours! Mais ainsi, vous réjouissez le vieux « bougon » qui prend des notes… Et encore heureuse que je n’ai pas cité l’Héautontimorouménos. Sourire (puisque nous sommes sur le blog). Mais l’étymologie même du titre baudelairien pourrait donner matière à réflexion… Petit Chaperon, bravo pour le « à petits pas tapons » ! Reddition pour reddition, je consens aussi à la mienne : vive le rire pourvu qu’il ne soit pas pour dénier la possible réalisation de la menace. Reddition aussi pour le rire féminin. J’admets que la femme puisse assumer comme elle peut cette situation à l’évidence pour elle inconfortable y compris pourquoi pas par le rire. Détestation absolue en revanche du rire de l’homme, pour ce qu’il pourrait contenir de possible moquerie (comme ceux-là qui rient en se poussant du coude quand passe une femme dans la rue). Pour les graines, que faire ? Ce blog trouverait sa pleine utilité si la discussion permettait d’envisager des solutions pour les faire germer. J’inclinerais pour ma part vers une première rencontre en terrain neutre entre quelques un(e)s qui s’entendent, les modalités pouvant en être définies dans la messagerie privée. Deux critères me paraissent indispensables : la courtoisie… et la parité ! Je n’ai aucune certitude sur la probabilité ou pas du plantage pas plus que je n’éprouve l’obsession de « conclure ». Ce qui est passionnant dans le jeu, ce n’est pas tant de gagner que de courir le risque de gagner ou de perdre. Mais même si aucune rencontre n’est jamais acquise à l’avance, il faut pour que le jeu soit intéressant qu’elle s’inscrive malgré tout dans le domaine du possible. A chacun(e) de donner son avis là-dessus. Pour les chaussettes, (« Il n’avait plus que ses chaussettes, des belles jaunes avec des raies bleues… » Boris Vian) l’élégance minimum relève ce me semble de la courtoisie minimum (mais il en va de même pour la culotte : j’assume un militantisme collantophobe déterminé). Pour la force : si je tombe sur une catcheuse… vous avez encore raison : il vaut mieux se connaître avant ! A.
IRIS 565 - 12/05/2010 00:43:18 modifié le 12/05/2010 22:48:04 Après le "rire et la fessée" , entre le nécessaire assortiment des chaussettes clairement revendiqué par l'une et la collantophobie résolument affichée par l'autre, voilà qu'est tout trouvé le nouveau thème du mois de mai : LA LINGERIE FEMININE ET LA FESSEE ! Que ces messieurs s'expriment ! Ils ont sûrement beaucoup de choses à dire... Pour ma part, quitte à apporter quelque déconvenue et à marquer ma différence féminine, j'avoue ne pas aimer le string ! Ni la couleur noire ni le porte-jarretelles ... La fessée étant, me semble t-il, la punition de l'enfance par excellence, revécue bien-sûr à l'âge adulte avec un corps qui en raffole et non plus qui subit, la virginale petite culotte en coton blanc, tout juste agrémentée de quelques dentelles féminines, me paraît davantage de nature à susciter quelques rêveries ou nostalgies et à nourrir l'imaginaire...non ? Tenez, ça tombe bien, justement par Google je viens d'apprendre que l'intemporelle "Petit Bateau" venait de souffler ses quatre- vingt- dix bougies ! Et la symbolique en avait même été évoquée précédemment par Lacan dans un de ses séminaires... Importante contribution d'une insomniaque qui, à l'heure où chacun a la tête sur l'oreiller , continue à gamberger sur la fessée ... PS : Un bon souvenir quand même avec le porte-jarretelles, très en vogue chez les ados à une certaine époque . Quand le cours de musique nous semblait trop long, nous nous amusions avec ma voisine de table, jupes à moitié relevées, à tirer mutuellement sur nos jarretelles pour que le prof rougisse et finisse presque toujours par nous mettre dehors , ce qui était le but espéré ...!