Allons-y gaiement!!!

Maiiiiiis, tous les goûts sont dans la nature et vive la diversité ! :-P

Bibi Fricotin : Disons que vos mots me font friser le poil des jambes...(expression québécoise)


"La séduction très souvent, c’est la biche qui croit qu’elle peut choisir son chasseur. Mauvais calcul : elle finit la plupart du temps dans la marmite."

Erreur! Le chasseur ici c'est moi... et c'est mon lapin qui finira dans la marmite... :)

"elles se fichent complètement de ce que tu racontes car normalement, elles savent déjà ce qu’elles veulent avant que tu causes."

OUI! Je sais très bien ce que je veux... Mais loin de moi d'être impolie et de ne pas écouter le besoin de mon partenaire, qui à mon avis est aussi important que le mien... L'égalité des sexes... Je le respecte! Ceci dit... Je ne partirais pas avec le premier venu pour simple raison d'assouvir mon besoin de fessée!

"700 messages, je trouve que c’est quand on hésite vraiment à se lancer, non ?"
NON! 700 messages prouvent seulement que le monde à de quoi à dire sur un sujet qui nous relie tous ici(en général)... LA FESSÉE! entre adultes consentants et non sur l'érotisme... quoi qu'elle en fait partie également très certainement.

"Le blogue (quand même un peu bavard, mais c’est pas sa faute à lui)" Franchement! Ça sert à quoi un blogue, si ce n'est pas pour causer... Ya des fessées qui se perdent ICI aussi...

Élorie!

A Bibi Fricotin :
Bien-sûr qu'il ne faut pas casser le jeu en poussant par exemple un grand discours métaphysique à un Monsieur important qui ne demande qu'une chose, c'est qu'on le lange après lui avoir longuement lubrifié les fesses et les avoir soigneusement talquées - ce que ça m'a fait rire... ! - mais c'est un peu court à mon humble avis pour que le moment vécu ensemble devienne véritablement une fête et que le fantasme soit pleinement assouvi de part et d'autre...! Pour que cet objectif soit atteint et que chacun y trouve son compte - et là je rejoins totalement mes petites camarades du blog - quand bien même mon propre plaisir rejoindrait le sien, à ce Monsieur, et donc ... serait de lubrifier copieusement et voluptueusement les fesses des messieurs importants ou vice versa ( RIRES ), il est nécessaire qu'il y ait non seulement entente préalable... - ça, c'est un minimum - mais aussi et surtout qu'il existe complicité, connivences, empathie...Alors, pour tous les deux - le Monsieur important et moi -, ce serait véritablement la fête... !

A Bibi Fricotin encore et à Agramant cette fois :
C'est vrai qu'Agramant, il mène parfois son monde à la baguette ... et qu'il n'a pas toujours bon caractère, pas vrai ? Allez Agramant, faites votre examen de conscience, mon enfant ...!
Mais vous, Bibi Fricotin, si j'ai bonne mémoire, ça vous est arrivé de quitter la classe sans aucune autorisation et même, sous le coup de la colère, de tout emporter avec vous sous le bras, tout, tout, tout, vos livres, vos cahiers, alors est-ce que ça se fait cela ?
Que cette confrontation de points de vue entre vous - au demeurant fort intéressante pour tous - ait de surcroît le mérite de permettre que soient enterrées définitivement les armes de guerre et toutes les vieilles affaires...,! Alors, comme dit un autre personnage de BD que j'affectionne, Gaston Lagaffe : " Cette fois, on fait ami-ami, hein !"... Promis ? Vraiment promis ?

A Jacques : vous avez commis un lapsus difficilement pardonnable, cher enfant ! S'il a pu transparaître, de par mes paroles sur le blog, que j'étais d'une gourmandise légendaire et bien consciente des conséquences possibles de celle-ci sur mon adorable fessier, en revanche ce n'est nullement par mail que je vous ai donné le moindre indice à ce sujet ...Je ne me le serais pas permis et d'ailleurs vous n'avez pas eu la hardiesse de me le demander, pudeur et éducation obligent...
Quant au Bon Dieu, oui je le tutoie, C'est mon ami depuis l'enfance, même si nous avons eu quelques périodes d'éloignement, Il s'amuse bien de nos jeux de fessées et, chaque matin, si je sais être attentive à Sa voix, c'est bien Lui qui ne se lasse de me redire : " Aime-les tous !"...

[...Mon « toutes et tous » me fait réfléchir que les tous y sont plus nombreux que les toutes à s’inscrire sur le site alors qu’il y a bien plus de toutes que de tous à causer sur le blogue...]

Eh oui, Tonton Bibi ! Et vous savez pourquoi ? Parce que les femmes tricotent. Parfaitement… ! Et quand on tricote, on papote…

Un rang à l’endroit, un rang à l’envers, une augmentation par ci, une diminution par là, ah flûte, une maille qui s’échappe, changement de pelote, changement de couleur … ainsi monte le tricot de leurs fantasmes. Elles y travaillent, jour après jour. Parties d’un model, il faut bien partir de qq chose, elles brodent, elles essayent, elles adaptent, elles remettent en question, parfois…

Alors que les hommes, bien souvent, ils savent ! Ne me demandez pas comment, ni pourquoi, mais eux, ils savent ! En tout les cas, ils en sont persuadés. Pas la peine d’échanger, pourquoi faire? Moi je sais ! Je me connais, je sais ce que je veux, je sais ce que j’aime…

Heureusement, nous sommes la pour les titiller avec nos aiguilles ! :D

De temps en temps, quelques uns viennent faire les coqs dans la bassecour pour animer nos séances tricot. Parfois, entre eux, ils aiment jouer au jeu de – C’est moi qui ai la plus grosse – c’est très amusant… [Vulg… , quoi vulgaire ? On n’a pas dit qu’on balançait les convenances par-dessus les moulins… ?]

PS - J’aime beaucoup cette idée de - s’affranchir des convenances - mais séduire, Oncle Fricotin, ce n’est pas une convenance. Séduire, c’est donner envie… :)

[...et raisonneuse avec ça !...]

Jacques, Frère Jacques, n'avez- vous pas compris qu'en châtiant et corrigeant les plus gâtés d'entre vous, l'un pour son insolence, l'autre pour son mauvais caractère, tel autre encore pour son outrecuidance ou sa condescendance, je ne fais que vous choyer et agir en bonne mère dont le coeur est habité par le seul souci du bien de ses enfants ...

Ah, si le Ciel pouvait m'accorder le don de bilocation...Alors je voyagerais de nuit pour rejoindre tout à la fois chacun de vous où qu'il se trouve et penétrerais par effraction divine dans l'intimité de vos maisons, de votre lourd sommeil je vous tirerais et, d'une main chauffée par le feu divin, vous infligerais des fessées aux couleurs de l'arc-en-ciel, bien cinglantes et retentissantes, dont la sonorité claire et céleste ne serait perçue que de vous seuls...
Puis je disparaîtrais aussi silencieusement que je suis entrée, laissant sur mon passage des effluves célestes et un doux parfum d'iris ...Seulement alors vous me reconnaîtriez et diriez avec surprise : "C'était donc elle, Iris !"
A tel autre que je surprendrais bougonnant et maugréant jusque dans ses rêves : " Ces femmes qui parlotent et qui ergotent, toutes des têtes de linotte...!", je dirais : " Mon fils, dépossédez-vous de vos certitudes, comment pouvez-vous penser être seul à avoir toujours raison contre tous et toutes ? Pour vous point de fessées ..., mais abstinence, jeûne et pénitence jusqu'à ce que vous ayez perdu toute trace d'outrecuidance !" Et je disparaîtrais tel un éclair sous ses yeux ébahis, laissant derrière moi un puissant parfum d'iris ...
Alors il nous reviendrait, le bougon, éclairé de ce feu divin qui réduit en cendres toute parcelle d'outrecuidance, mais tout en bougonnant encore, il finirait par les aimer nos chères têtes de linotte, celles qui tricotent et qui papotent, qui zozotent et qui ergotent ...

Bonjour aux beaucoup de toutes et aux un peu de tous.
Bibi Fricotin interviendra plus beaucoup sur le blogue pour trois raisons :
Il aime pas beaucoup causer, il a toujours préféré faire. Mais ça, il l’a déjà dit.
Il trouve que chacun ses goûts et que la polémique pour le plaisir de polémiquer, ça n’a pas beaucoup de sens.
Et puis, à prolonger le canular, on court le risque de l’imposture et ça, même Bibi Fricotin, y trouve que c’est vraiment pas bien.
Lors de ma première intervention, dont la forme pouvait sembler déconcertante mais qui ne m’apparaissait pas pour autant complètement infondée, la phrase « même si elles se fichent complètement de ce qu’on peut leur raconter » a déclenché l’ire de nombreuses lectrices et notamment celle de Charlotte. A lire la dernière intervention de Chaperon sur laquelle d’ailleurs je reviendrai, il semblerait pourtant que mon propos n’était pas si éloigné que cela de la vérité. Nougaro, dans sa chanson « Les Don Juan » exprime aussi cette nécessité – vaine selon moi mais n’en parlons plus – de « dire des fadaises, pour voir enfin du fond d’son lit, un soutien-gorge sur un’chaise, un’pair’ de bas sur un tapis… ». Je pense – et persiste – que c’est tant mieux si la femme n’est pas dupe de ces fadaises-là.
En vérité, il y a un tel poids de malentendu dans les relations humaines et une telle charge de susceptibilité chez la femme, que tout propos non socialement codifié peut apparaître comme déplacé, voire offensant. Ce n’était pas le but, j’espère m’en être expliqué.
Un tel poids de malentendu… tentons d’y voir un peu plus clair.
Depuis la nuit des temps, au lieu de constater que Adam n’existerait pas s’il n’était animé (aimé ?) par Eve, leur relation a été vécue en terme de pêché et/ou de conflit; Iris ne me contredira pas.
Je ne comprendrai jamais pourquoi on n'a jamais tenté de vivre heureux dans l'union des deux. L’homme et la femme se considèrent chacun comme un individu propre, chacun comme un sujet ayant l’autre pour objet, sans songer un seul instant que leur rapport aurait pu être d’une nature radicalement différente. La femme n’est pas l’objet de l’homme pas plus que l’homme n’est objet de la femme, ils sont ensemble le sujet d'un être qui les contient tous les deux.
Hélas, entre les voilées et les dévoilées que j’évoquais précédemment, en y ajoutant les machos satisfaits que cite Chaperon, je crains que l'harmonie à laquelle j'aspire ne soit pas pour demain.
Bon. J’espère que je ne vous ai pas trop barbés, mais cette mise au point m’a semblé assez indispensable et j’espère faire plus court dans ce qui va suivre.
Donc oui, je suis sincère lorsque je rêve au temps où la femme, enfin libérée du carcan des bienséances, pourra de sa propre et libre volonté, assumer crânement ses désirs. Alors Petit Chaperon, j’aime assez votre formule « séduire, c’est donner envie ». Mais pour une femme, avoir sa propre envie et la vivre avec un homme (ou plusieurs selon son bon vouloir) librement choisi en en supportant paritairement la responsabilité, ce n’est pas mal non plus.
Ce n’est pas mal non plus de rêver à se libérer aussi du vieux binôme « chasseur-chassée » et j’écris « chassée » au féminin car si je note bien que Elorie chasse quant à elle le lapin, elle admettra avec moi que ce cas d’espèce de la femme chasseresse et de l’homme gibier n’est pas le plus courant (et j’en profite pour souligner que j’avais évoqué les biches et non pas les lapines de crainte de me faire arracher les yeux – ou pire – par nos féministes blogueuses).
Alors, bien sûr, nous sommes loin du compte. Plus loin encore que je ne l’imaginais et en lisant Charlotte « si tu voyais les trucs qu’on peut recevoir quant on fait cette recherche, je te jure, ça fait peur des fois », je comprends mieux toutes les précautions nécessaires, même si je continue à prétendre – mais timidement cette fois – que tous les hommes ne sont pas des pervers tordus.
Un dernier mot (si, si, je jure : le dernier !) :
Les femmes, Charlotte, Elorie, Chaperon, Iris, ont plaidé en faveur de « l’écoute du partenaire » et cette attention est indiscutablement louable. Je souhaite nuancer toutefois leur scrupule. Dans les jeux érotiques, l’homme - sauf souci mécanique toujours possible et seuls les vantards « petits m’as-tu vu quand je baise (dixit Brassens) » prétendront le contraire - trouvera à coup sûr son plaisir. Celui de la femme n’est jamais gagné. Je prétends donc que, dans la fessée aussi, seul importe vraiment le désir féminin puisque c’est cette satisfaction-là qu’il faut chercher d’abord à atteindre, celle de l’homme dans ce type de jeu me paraissant à peu près acquise, n’importent les circonstances.
Voilà tout.
Bonne continuation aux chères toutes et aux estimés tous sur ce site dont il faut apprécier l’excellence (mes derniers compliments n’étaient pas feints). Une mise en garde toutefois : entre le prof et la mère supérieure, vous riksez d’avoir bientôt sur le blogue ce genre de compo:
« Vous dégagerez ce qu’il y a d’érotiquement et fessablement torride dans les œuvres croisées de Paul Claudel et de Pierre Teilhard de Chardin. Relevé des copies dans deux heures, sanctions pour les celles et les ceux qu’auront pas su trouver. Les plaisantins seront virés. »
De crainte d’être catalogué dans la dernière catégorie, je m’éclipse discrètement.

PS : Je vois absolument pas de quoi-t-est-ce que Petit Chaperon (ron ron) elle veut causer quand elle dit tonton Fricotin.

Et vous dites (sans rire) que vous n'aimez pas causer et qu'on est compliqués ?...

Fichtre...

ouf,
en tout cas,
tout cas c'est trop compliqué pour moi!
je passe mon tour ;-p