Élorie 847 - 9/10/2010 23:57:36 Pour vous démontrez que j'ai la fessée dans la peau... Ou que je suis en manque, comme vous voulez... Laisser-moi vous racontez un peu ma soirée de mercredi dernier... Je suis allé à Montréal et j'y ai pris le métro... moi étant assise et des gars debout devant moi, j’avais leur derrière à la hauteur des yeux. Il y avait un va et vient. Les portes s'ouvrent et de nouveaux spécimens prennent place... Je me suis surprise à imaginer de fesser une belle paire de fesse qui se trouvait devant moi... Et tantôt d'être fessé par la main d'un autre... Il y en avait un plus petit avec un manteau qui allait jusqu'au bas des fesses... J'aurais voulût lui soulever pour voir s'il avait un (spankable ass) un derrière fessable... Vilaine fille que je fais... ;) Je peux toujours continuer de rêver... Ça coûte rien... Il y a un dicton qui dit : Ce n'est pas parce qu'on est au régime qu'on ne peux pas regarder le menu... :) À bientôt! Élorie
Bulle 848 - 10/10/2010 11:58:23 modifié le 1/11/2010 16:28:55 Moi c'est clair que ce que je remarque le plus chez un gars que je connait pas, c'est ses fesses! Et je me gène pas pour m'imaginer fessant joyeusement... Et alors, quand un gars me fruste dans une autre dimension de ma vie, comme au travail, alors ho là là, s'il voyait un petit bout de tout ce que j'imagine, oups! ... en fait, je me demande si il se sentirait mal ou.... atisé!
Charlotte 850 - 12/10/2010 17:00:31 Mon addiction à la fessée commence a serieusement m'inquieter... J'avais déja demandé à mon fesseur de me donner une vraie grande fessée sans safeword donc sans possibilité pour moi de l'arreter... Un peu comme dans le recit over-limits de ce site... pas aussi extreme quand même mais en acceptant d'avance une vraie punition que je ne puisse pas controler. Je suis folle d'avoir des idées pareille !! Le pire est que j'en avais une trouille monstre mais en meme temps j'en avais trop envie. Il a commencé par refuser en disant qu'on ne se connaissait pas assez bien pour ça mais j'ai bcp insisté parceque j'ai totalement confiance en lui et que vraiment je voulais et il a fini par dire ok, mais quand il le sentirait lui. Et la semaine deniere il m'envoie un mail pour me donner rdv samedi en me disant que si je venais, ce serait LA vraie fessée punition sans safeword que je voulais... Je vous raconte pas l'état ou j'étais le reste de la semaine ... pire que la premiere fois, je croyais pas que c'était possible !! Dix fois par jour je me suis dit non j'y vais pas et j'ai failli pas y aller d'ailleurs parceque je suis devenue tellement nerveuse que mon compagnon l'a remarqué et s'en est inquiété !! Bref samedi je me rend au rdv dans un etat second, mais j'y vais quand meme. C'etait pas a l'hotel mais dans un appart innocupé et qui paraissait bien isolé. Il m'attendait et m'a demandé avec son sourire un peu moqueur si je voulais toujours ça, que c'était maintenant le dernier moment pour reculer après il serait trop tard. Je me suis entendue bafouiller que oui, et il m'a entrainé vers le séjour ou j'ai vu posé sur une table son martinet et l'espece de battoir en bois qui s'appelle un paddle. Sans un mot il s'est assis sur le canapé et m'a couchée sur ses genoux, a retroussé ma jupe, baissé ma culotte et a immédiatement commencé a me fesser sans attendre un peu et surtout sans progressivité comme il le faisait d'habitude. Ca a immédiatement été brulant et je n'ai pas pu retenir quelques gémissement et supplications d'y aller plus doucement mais cette fois ci il n'en a pas tenu compte. Il a juste consenti a s'arreter un instant pour me permettre de me reconcentrer, puis il a repris de plus belle. Je ne sais pas combien de temps ca a duré, j'ai tres vite perdu la notion du temps, mais quand il a cessé je ne sentais plus mes fesses ! Il m'a relevé avec douceur, a caressé un peu mes fesses en fusion, a saisi le martinet, et en me regardant droit dans les yeux m'a dit "maintenant tu va te déshabiller complètement". Il n'y avait rien d'agressif ni de méchant dans son attitude ni son ton, mais c'était dit avec une telle autorité que pas un instant je n'ai pensé à discuter. Je me suis exécutée en tremblant un peu, ce n'était pas la premiere fois qu'il me voyait nue mais il ne m'avait jamais fessée ainsi. Il m'a fait mettre a genoux sur le canapé, les mains sur le dossier, les fesses tendues vers lui et a commencé à me fouetter avec le martinet. Trés vite la morsure des lanières sur mes fesses à vif a eté insupportable et il a fallu plusieurs fois qu'il me remette en position. Il m'a aussi fouetté le dos et les cuisses mais plus modérément. Puis alors que je n'en pouvais plus il s'est arreté et m'a dis qu'il me laissait quelques instants avant le paddle. Je me suis pelotonnée en boule contre lui !! Puis il m'a fait mettre a quatre pattes par terre, toujours toute nue. J'ai un peu rougi en pensant au spectacle indécent que je devais offrir, mais dès qu'il a commencé à me fesser avec le paddle, je je pensait plus qu'à mes fesses tellement ça brulait !! A un moment j'ai craqué et j'ai fondu en larmes, je n'en pouvais plus... Il m'a relevé avec douceur et m'a allongée sur le canapé pour de tres doux calins consolateurs. J'ai eu ce que je voulais, et meme au dela... Je pensais que ca me calmerait et de fait ca m'a calmé, mais au fond de moi, je sais que j'en revoudrai un jour... Et ca m'affole !! J'ai peur de moi-même, peur de rechercher toujours encore un peu plus, peur que mon compagnon voit les marques sur mes fesses, car cette fois, il y en a, et meme beaucoup !! Est ce qu'il y a d'autres filles qui vivent ou qui ont vécu ce genre de choses ?
Agramant 851 - 13/10/2010 06:47:21 Il n'y a pas lieu de s'affoler Charlotte, pour l'expérience que j'en ai c'est une phase un peu extrême de ce fantasme (par laquelle tout le monde ne passe pas d'ailleurs), mais qui ne dure pas, et heureusement du reste. Mais pour les marques, il est clair qu'à ce niveau la elles sont impossible à éviter et que cela peut être un souci sérieux, soyez prudente...
852 - 13/10/2010 10:03:14 De lire votre blog ça m'a rappelé des souvenir d'enfance quand ma soeur et moi vivions chez un oncle qui nous a servi de tuteur après la mort de nos parents. Etant garçon, je n'interessais pas mon oncle qui ne m'a jamais puni qu'avec de grandes calottes, mais il avait des préjugés hypocrites du genre "les filles doivent être éduquées avec sévérité car leur nature est plus faible" et donc il en était tout autrement pour ma soeur qui était punie avec un cérémonial des plus pervers... Par exemple, quand elle devait être punie de 10 coups de badine pour une faute d'orthographe dans un devoir, elle se levait, pâle, reconnaissait la "justesse" de la sentence et devait se "préparer" c'est à dire qu'elle baissait sa culotte aux genoux et remontait sa jupe sur sa taille. Je voyais alors apparaitre sa grosse mappemonde fendue, puis dans cette tenue, en maintenant sa jupe relevée, elle devait aller chercher la badine suspendue à un clou d'une démarche rendue ridicule par sa culotte qui lui entravait les genoux. Ensuite elle tendait la badine à notre oncle, devait faire une sorte de reverence et lui demander de la punir sévérement pour qu'elle apprenne à ne plus faire de fautes, puis se retourner et se pencher en avant pour bien exposer ses fesses. L'oncle, sadiquement, prenait son temps, lui faisait rectifier la position, avant de frapper la grosse lune de ma soeur qui bien sur devait compter les coups en pleurnichant. Ensuite, elle devait le remercier, aller remettre la badine au clou, fesses à l'air rougies et balottantes toujours à cause de sa culotte aux genoux, et se mettre au coin dix minutes en exposant sa lune rougie. Il ne se passait pas de journée sans que ça n'arrive au moins une ou deux fois. Le soir dans notre chambre, elle me demandait de regarder si il y avait des traces sur ses fesses puis notre oncle arrivait pour la prière et la rituelle fessée du soir. En pleurnichant, ma soeur devait se mettre a genoux sur son lit, la tete sur l'orreiller, et hop trousser chemise et exposer ses montgolfières promises à la cuisson. Elle avait encore droit à 5 ou 10 coup de badine selon la journée passée, puis bon prince, il lui appliquait une pommade sur les fesses avant d'aller se coucher et surement se masturber... Et au fil des années, j'ai vu comme ça tous les jours rougir la "mappemonde" de ma soeur, de plus en plus grosse et de plus en plus émouvante jusqu'au jour ou elle a quitté la maison pour se marier. Depuis elle mène une existence normale, sans fouet, et le plus étonnant, c'est que si elle rougit quand je lui rappelle combien de fois j'ai pu contempler sa lune, elle n'en veut pas du tout à notre tuteur et considère qu'il l'a bien élevée alors que pour moi c'est évident que c'était un pervers sadique...
petit chaperon vert 853 - 13/10/2010 10:21:27 modifié le 16/10/2010 17:13:13 - Retour sur le post de Charlotte Comme dirai un bon ami à moi, tu es une vraie ‘spankee’, Charlotte ! Déjà, ‘sortir de chez soi’ pour ne pas renoncer à vivre son fantasme n’est pas un choix anodin. Deuxio, rechercher un vrai lâché prise c’est surement finalement abandonner son droit au mot de passe. Cela peut paraître un peu brusque, un peu extrême ou absolu, dit comme ça, mais une fessée, une vrai fessée, avec l’émotion qui va avec, ça ne se dirige pas, ni dans sa durée, ni dans son intensité. - je vous défie de me faire plier, mais je vous supplie d’y arriver afin que je lève toutes résistances et puisse m’en remettre entièrement à vous. .. Un jour, Monsieur me fessait à tour de bras, j’avais du être spécialement agréable, j’imagine, j’ai soufflé - pouce ! Et bien, je ne sais pas, son disque dur devait être saturé, il a continué comme si de rien était. Et je me suis mise à pleurer… enfiiiiin ! Je n’utilise plus mon mot de passe, je ne veux pas, c’est le moment ou je pourrai le dire qui est essentiel pour moi, actuellement. Non, je n’ai jamais spécifié clairement à un Monsieur B, C, D, E ou F de me donner une fessée sans recours. Surement cela rajoute en intensité que de donner concrètement carte blanche à un partenaire. Je pense que je ne jouerai à cela qu’avec ‘un’ qui connaitrait parfaitement ses instruments. Un qui en aurait testé sérieusement l’impacte sur ses propres arrières par exemple… Un bon vieux routard… sympa, quoi ! Chercher à aller de plus en plus loin dans son fantasme c’est se rechercher soit même. C’est toujours inquiétant. Mon Dieu, suis-je une petite perverse dépravée ?... Et quand bien même la réponse serait – Oui ! - … et alors ? Tout le monde s’en fou et la vie est courte… Nous avons tous nos limites, tu ne touches pas encore les tiennent, moi non plus, d’ailleurs, mais elles existent… Quand aux marques, auxquelles on peut aussi tenir, comme un rappel, les jours suivants, mais qui, quand on pratique hors couple, ou qu’on à rdv chez le gynéco, peuvent être plus qu’embarrassantes, à part les granules d’arnica &Co… le maquillage, le fond de teint, la poudre, est tout ce que j’ai trouvé comme astuce. Ps - Je me demande parfois si dans l’absolu… ne pas, non plus, ‘choisir’ son fesseur ne serai pas plus puriste, tiens… ?... Oulala,, ça risque de crier dans Landernau. Tous aux abris… !
IRIS 854 - 19/10/2010 22:04:46 C'est bizarre, à l'heure où le gouvernement de la France essaie en vain de lever tous les blocages, y aurait-il ici aussi pénurie de carburant ?
petit chaperon vert 856 - 20/10/2010 15:33:33 modifié le 20/10/2010 17:15:57 Léthargique, ça c'est sur. Tempête dans un blog rose, le jour d'une vraie mise à jour, hein, Agramant.... ? Pouf, pouf, pouf...