Marie 7475 - 23/02/2012 14:27:21 Selon le domaine oui sans conteste ! Aujourd'hui l’homme en est à entrevoir la possibilité de programmer et reprogrammer ce qui est vivant. Il crée. Les O.G.M., la biologie de synthèse,le clonage sont les signes. Dans le domaine de l'informatique, les informaticiens pensent que l'on créera des créatures artificielles biologiques douées de conscience...Ne conçoit-on pas les robots en se basant sur l’humain ? Ainsi la machine à fesser est née de cette machine à penser qu'est L'Homme...Sans doute un jour, un fesseur fatigué par tant d'efforts contraints face aux fesses d'une fessée endurante, se dit que rien de telle qu'une machine pour se substituer à lui et ainsi le soulager. Il y voyait des avantages car, il aurait aussi tout loisir d'assister à la séance et de se délecter. Fort de sa découverte, il se dit même qu'il pourrait inventer une machine à multiples fessés/ées...la machine à fesser en série... Bientôt le robot sapiens fesseur ?
petit-chaperon-vert 7477 - 23/02/2012 17:26:38 modifié le 23/02/2012 19:47:49 - Le Vert-mot du jeudisijveux... – Dispositions et plus Des positions pour fesser ou être fessé, il y en a des tas, des tas ! Pas moins que des instruments, un véritable Kâma-Sûtra… ! [Pour nos amis ‘les authentiques’, je mets cette parenthèse - La fessée façon vilaine fille sur les genoux ET à la main, est, et restera, ma petite chérie…] La position 'penchée sur une table' est celle de ma toute première (les fesseurs aussi ont leurs préférences et leur façon de jouer, pas forcement trop près du corps, tout de suite. Allongée sur le lit, les fesses moins tendues bougent plus et cela fait ‘peut-être’ un peu moins mal… J’aime les positions infantilisantes comme tout simplement être prise sous le bras, pas forcément soulevée. Mais j'aime aussi certaines positions plus exhibitionnistes, plus honteuses, que je m’empresse évidement d’essayer de rendre moins voyeuses… La déclinaison des positions, plus ou moins contraintes, à l’exposition plus ou moins forte, apportent ces petits grains d’ivraie dans la sensation, l’émotion, la déstabilisation, la révélation de soi même… Voici, en l’espèce, un extrait du Sortilège du Bois des Brumes de F. Bourgeon que j’aime beaucoup. D’abords il dessine magnifiquement bien. Ces histoires sont toujours pleines de mystères et d’aventures. Et, ‘icing on the cake’, il aime donner des rôles d’héroïnes à ses jolies donzelles. Hors donc, cette coquine de Mariotte vole la nuit dans les collets et vient de se faire prendre au piège du chevalier et de ce couard d’Annicet. La scène est tout ce qu’il y a de réjouissante, tant à l’œil, qu'à l’oreille. Prisonnière, attachée par les pieds, la tête en bas, robes et jupons renversés, très digne mais très embêtée, Mariotte cache son devant en ramenant les longs tissus mais ne peu en même temps empêcher l’exposition de son derrière aux yeux des deux hommes. Et sur sa réplique – Des juments mais pas des lapins, hein !? Le chevalier, du plat de son épée, fesse le cul tout rond, tout nu, de Mariotte… Et en plus, ça se passe dans un bois !
Iris 7480 - 24/02/2012 01:34:44 modifié le 24/02/2012 20:18:32 Qui n'aimerait être à la place du Docteur Kathy Fox et de son patient compulsif ...Une thérapie habilement et chaudement menée dans laquelle on ne sait pas très bien qui mène le jeu... En fait, on a beaucoup vanté à juste titre les mille bienfaits de la fessée, réchauffante, pacifiante, tonique, anidépressive, rajeunissante ! Toutefois, amis compulsifs et addicts, avez-vous réfléchi combien le fait de n'avoir plus dans la tête que mille aventures cuisantes, les nôtres ou celles des autres, n'est pas sans quelques conséquences ou effets secondaires dans la vie courante : nuits écourtées, travail bâclé, ménage pas fait, amis délaissés ... Alors il m'arrive parfois de penser : à quand une bonne fessée pour ne plus penser sans cesse à la fessée.... ? Traitement privilégié avec posologie adaptée à demander sans attendre à notre fessothérapeute préféré ...
nominoë 7482 - 24/02/2012 09:34:09 modifié le 24/02/2012 09:34:57 [effets secondaires dans la vie courante : nuits écourtées, travail bâclé, ménage pas fait, amis délaissés ...]IRIS Je pense qu'il y a du vrai dans ce qu'écrit Iris, ainsi pensez au temps passé par cet homme en 1900, pour concevoir et créer cette machine auto-fesseuse!!
Iris 7487 - 27/02/2012 13:56:49 Dans la photo "Fesse-moi", une taille de rêve qui fait si harmonieusement ressortir le galbé, l'arrondi et le rebondi des fesses ! A chaque fois que je la regarde, je me surprends à maudire mon pâtissier...
Marie 7488 - 27/02/2012 14:11:16 Toutefois, amis compulsifs et addicts, avez-vous réfléchi combien le fait de n'avoir plus dans la tête que mille aventures cuisantes, les nôtres ou celles des autres, n'est pas sans quelques conséquences ou effets secondaires dans la vie courante : nuits écourtées, travail bâclé, ménage pas fait, amis délaissés ... Alors il m'arrive parfois de penser : à quand une bonne fessée pour ne plus penser sans cesse à la fessée.... ? Traitement privilégié avec posologie adaptée à demander sans attendre à notre fessothérapeute préféré ... J’aimerai revenir sur le post 7480 où Iris fait part de quelques réflexions intéressantes. Tout d’abord ce côté addiction : Vivre dans et pour la fessée. Lorsque l’on débute, on est vite embarqué dans le tourbillon de la passion et de l’envie. Insidieusement, on ne se rend pas compte que l’on ne pense qu’à cela, que l’on ne vit que pour notre fantasme au détriment de notre vie. Et puis au bout de quelques mois pour certains, certaines, une prise de conscience se fait. On déchante un tantinet pour des raisons qui nous sont propres. On fait choix de prendre du recul. Cela ne veut pas dire que nous délaissons la fessée car la passion est toujours là. C’est juste un besoin de se retrouver en tant qu’individu afin de pouvoir concilier sa vie avec le fantasme. En plus, je crois qu’il ne faut pas trop espérer ou attendre en retour. La différence se fait au niveau des attentes de chacun, de sa propre recherche. Il est nécessaire de ne pas trop s’impliquer au risque d’en souffrir. Deuxième sujet : à quand une bonne fessée pour ne plus penser sans cesse à la fessée.... ? Traitement privilégié avec posologie adaptée à demander sans attendre à notre fessothérapeute préféré ... Iris, votre réflexion laisse sous-entendre des choses… Une fessée serait elle une solution pour se détacher du fantasme ou plutôt aurait-elle pour finalité de renforcer le désir ? Un fessothérapeute…aide à la correction de petit travers pas à l’entretien de ces derniers…
petit canaillou 7489 - 27/02/2012 14:27:12 modifié le 27/02/2012 16:16:38 Marie, ton message fait sans dpoute allusion à une désillusion personnelle ou, à ce qui peut advenir dans nos recherches et nous conduire à y consacrer moins de temps et ne pas se laisser "bouffer" littéralement par cette prégnante envie. Quelques fois aussi je ressens cette lassitude et cette envie de passer à autre chose. D'autant qe la fessée ne nourrit ni son homme, ni sa femme et qu'une trop lourde addiction nous coupe du monde réel. Par contre, je pense qu'un, ou, qu'une fessothérapeute aura bien à l'esprit que c'est un traitement de longue haleine qu'il entreprend et qu'il faudra de multiples séances pour que ce dernier s'avère efficace.
mikesp 7490 - 27/02/2012 17:06:29 Pour moi la fessée est un plaisir, un fantasme, une façon d'être de ma sexualité. Comme tout le monde je me suis posé des questions et j'ai surtout essayé les mauvaises réponses. Tout est accablant quand on est différent et le regard des autres devient un poids trop lourd à porter. C'est la vie et on ne fait pas toujours les bonnes expériences ou celles-ci n'apportent pas forcement ce qu'on en avait espéré. On ne peux refaire le chemin inverse alors, si une débutante, un débutant passioné et épris du fantasme de la fessée me demande un jour mon avis, je serais tenté de dire qu'il faut accepter ce que l'on est et les seules questions à se poser c'est comment on va vivre et se positionner par rapport au monde et au mode de vie qui nous entoure. Ce n'est pas le fantasme qu'il faut dissimuler ou tenter de le faire et le vivre plus ou moins clandestinement avec cette permanente culpabilité. Le fantasme, je pense qu'il faut uniquement le protéger des curieux mal intentionnés et le vivre pleinement. Le consommer sans modération parce qu'il fait du bien et celles et ceux qui jugeront qu'à travers une moralité de façade, excusez l'expression, mais je suis pour leur dire "je vous emmerde !" L'expérience vécue doit instruire servir à nos futurs de manière positive pour justement leur éviter de réduire leur plaisir et se masturber l'esprit de questions dont ils n'auront jamais de réponse. La sexualité de chacune et chacun, tant qu'elle est adulte et consentie, tant qu'elle ne verse pas dans le sordide et le crime doit être respecté et non sujet à de lassantes controverses.
petit-chaperon-vert 7491 - 27/02/2012 18:22:44 modifié le 27/02/2012 18:32:34 J'aime cette idée de cultiver nos petits jardins en les protégeant du regard des salisseurs de fantasmes. J'avoue ... J'avoue, devant vous tous, que cela me réjouit terriblement, parfois, d'avoir ce petit secret...
petit canaillou 7492 - 27/02/2012 18:25:24 Moi aussi j'aime à savoir cela. Le garder secret pour ceux qui ne l'admettraient pas ou le dénigreraient. pouvoir en parler cependant avec ceux qui partagent ce même "petit vélo"!