Il serait, en effet, intéressant de savoir qui avait de l'ascendant sur l'autre.

Après tout...

L'idée d'un amour fou serait une bonne explication quant à l'acceptation de la fessée.

Il doit s'agir d'ailleurs un peu de cela pour rester et jouer le jeu des consignations pendant la semaine.

A cette question, je pense que chacun et chacune aura sa réponse à titre de perception personnelle.

Pour ma part je pense que la limite est proportionnelle à l'excitation.

Plus les rapports et la complicité sont homogènes entre la fesseuse, le fesseur et la fessée ou le fessé, plus les limites du consentement sont poussées.

Je pense néanmoins que la personne est prédisposée.

Même si la complicité est à son paroxysme, tout dépend quand même de la personne en elle même.
Elle a ses probablement ses limites comme chacun.
Et il faut aussi prendre en compte son caractère.

Enfin, c'est ce que je pense.

Pour ne pas risquer de dépasser les limites, cette frontière ou la douleur cesse de se transformer en plaisir, il y a le "mot magique" d'arrêt. Mais dans la pratique il est rare d'avoir à l'utiliser car comme j'ai du déjà l'écrire, un fesseur digne de ce nom avec un tant soit peu d'expérience voit très bien quand il s'approche de cette limite, le "langage du corps" est assez éloquent ! Mais pour un fesseur encore peu expérimenté ou avec une partenaire qu'il ne connait pas ou mal, il est quand même vivement recommandé d'avoir ce "mot magique" en réserve...

Mais le problème de la "limite de l'acceptation" peut devenir très complexe, quand la "victime" veut vivre une "vraie" punition, pouvant aller (et même en général allant) franchement au delà de cette limite. Quand son fantasme est que son fesseur continue jusqu'à ce qu'il le décide même quand elle n'en peut plus, même quand sur l'instant elle ne veut plus...

Oui j'ai déjà vécu ça.

Quand c'est la fessée ou le fessé qui laisse poursuivre parce que son envie, son excitation ou tout simplemnt sa volonté de... Ok, dans ce cas c'est la fesseuse ou le fesseur qui risque de fatiguer mais dans le sens inverse, alors là c'est beaucoup moins drôle.

Je pense que quand les limites sont dépassées ce qui devrait être du plaisir se traduit en souffrance inutile.

C'est bien dans ce sens que je le voyais en effet.

Les limites sont franchies...et les conséquences...n'en parlons pas...