Quand c'est un homme, il suffit d'imaginer que c'est une femme et quand c'est une femme que c'est un homme....

Je crois que celle-là personne ne va la prendre.

Non Mike, en tout cas moi je ne prends pas !!!

Bon fais mieux pour la prochaine hein ?

je crois que si il n'y a pas un moment de honte, que ce soit à l'annonce, à la mise en position, au déculottage, pendant la fessée ou aussi après lorsque la personne fessée doit croiser le regard du fesseur, si dans aucun moment il n'y a un ressenti de honte, il manque quelquechose

Pour ma part, je ne suis pas d'accord Jack...

Ce que dit Nominoë sur le ressenti de la honte est juste pour moi.

« Il est honteux d'être sans honte. »
Saint Augustin

« Le sentiment de honte est à la base de notre civilisation occidentale. »
Bruno Bettelheim

Petit coup de cœur pour cette citation :

« La honte empêche qu'on n'obtienne ce que l'on souhaite. »
Proverbe oriental

A chacun ses ressentis. Je conçois que la honte ne puisse être pour tous.

Tout dépend du jeu du fantasme, de la connaissance du fesseur ou de la fessée aussi...

J'espère garder cela tout au long de mon vécu de ce fantasme...car pour moi, cela signifie que je le vis comme tel...

La honte ressentie dépend du comportement de la ou du fesseur et de l'ascendant qu'elle ou qu'il opère sur la ou le fessé.
La réceptivité de la ou du fessé est tout aussi importante et même si elle est avant tout conduite par la ou le fesseur, cette réception doit être en accord.

Donc pas facile de créer une bonne atmosphère, d'autant que suivant le moment, les parties en présence ne sont pas toujours sur la même longueur d'onde.

Si le matin je désire une fessée maternelle d'une main féminine il n'est pas dit que quelques heures plus tard ou sinplement quelques minutes, mon souhait ne verse pas dans une fessée punitive d'une main masculine avec bien entendu le prétexte, les gestes et les propos qui s'imposent différement dans les deux cas. De cette alchimie, si elle est réussie, la honte perçue sera ce qu'elle doit être, sinon elle sera moindre ou complètement absente.

Quand je dis maternelle pour une main féminine et punitive pour une main masculine, c'est juste un exemple car il est entendu que les rôle peuvent être inversés. La main féminine peut être aussi punitive que la masculine et la main masculine aussi pévenante et érotique qu'une main féminine.

( tout le monde suit ou je recommence au début)

Pour moi, la fessée n'est pas simplement un jeu physique, il est également mental.

Mister Agramant à raison, du moins pour moi, les fesses féminines sont plus rondes et douces que les masculines et l'enssemble du corps de la femme est bien entendu sculpté plus harmonieusement. De plus, par nature, les hommes sont attiré par le sexe oposé.

Mais ce que relève Nominoë n'est pas faux non plus. Si des fesseurs sont attiré par les fesses masculines, il est évident que pour beaucoup il seront jugés comme avoir des tendances homosexuelles. Jugement souvent hatif émis dans le mauvais sens du terme car il est évident que si les fesses masculines attire un fesseur, ce dernier, même si elle n'est que visuel, à une attirance qu'on ne peut définir comme radicalement homosexuel.
Pour ma part, il faut se garder de conclusions étroites car dans ce cas, celles et ceux qui aiment regarder les chevaux ou les concours de chiens seraient alors rangés dans les zoophiles.

Nominoë à une façon brute de forme d'exprimer la crainte des fesseurs qui agissent indiférement sur des fesses féminines ou masculines mais, il reste vrai, et sur ce point je le rejoins mais en m'exprimant de manière moins rude, que la majorité jugerait deux hommes ensemble se donnant au jeu de la fessée comme un jeu à tendence homosexuel dans le sens péjoratif du terme.

C'est ainsi et il faudra encore beaucoup de temps pour que nos mentalités évoluent.

Eeeeeeeeeeeet ..., Attendez moi !


Je pense qu’il serait dommage de ramener la fessée juste à son émotion sexuelle, toute nue.

C'est d'ailleurs la fessée qu’on appelle la fessée érotique source d'un très grand plaisir mais qui n'est pas du tout forcément en conjugaison avec la honte, comme le suggérai petit Canaillou, surtout si les deux partenaires se connaissent intimement.

La fessée appelée punitive est à mon avis la fessée mère. Celle, ou l'idée de celle, par laquelle notre fantasme nait. Il s'agit en fait d'une émotion violente, soutenue par des symptômes physiques puissants, ressentie lors d'une scène lue, vue, vécue - Une scène d'humiliation !

Être déshabillé, nu devant d'autre, être fessé... L'humiliation crée par le pouvoir de l'autre. Le corps malgré notre esprit qui souvent essaye de s'en défendre nous trahit par ses symptômes d'humidités (pipi, transpiration, rosée de dessous les jupons) et ajoute à ce sentiment de prise de pouvoir subit ou déclenché.

C'est pour cela que certains fesseurs ou fessés n'ayant pas forcément d'attirance pour les gens du même sexe peuvent trouver un grand plaisir à 'jouer' ensemble.

Les phrases de Marie et Mike sont exactement ce que j'avais voulu écrire à propos des hommes qui fessent les hommes et ne le disent pas. Lorsqu'il y a disette de fesses féminines où vont ils chercher? Je ne cite pas le site mais je peux vous donner la clé
Logiquement dans une situation de fessée non érotique sans but sexuel,
le fesseur restera vêtu et le ou la receveur(se) se retrouvera au minimum les fesses nues au maximum entièrement nu(e). C'est le principe même du déclenchement de la honte, tous les services de renseignements, surtout une sinistre horde en 1940 appliquent ce principe premier: la mise à nue devant des personnes vêtues pour procurer un sentiment de honte.
Prenez une équipe de sportifs hommes ou femmes, sitôt la partie terminée c'est la douche commune et même parfois avec l'autre équipe, personne n'est gênée.
Prenez le même groupe avec un seul nu et tout les autres vêtus, celui qui est nu deviendra vite gêné, même si il s'agit de ses copains, surtout si ces derniers comment à se moquer de lui ou lui lancent des coups de serviettes sur ses fesses nues.
Marie avait posé une question sur le déculottage:
_se déculotter lorsqu'on en reçoit l'ordre
ou se laisser déculotter?
Les réponses avaient démontré que la plupart préfèraient être déculottés lorsqu'ils étaient déja en position et ce pour de bonnes raisons
_ ça évite d'obéir
_ on s'abandonne aux mains du fesseur
_ ça évite la honte de se dénuder devant le regard ironique d'un fesseur qui se délecte de l'action qui se déroule devant lui et ne perd pas une miette de tous les secrets qu'il peut entrevoir.
_ ça évite la honte de traverser fesses nues, l'espace séparant le lieu du déculottage et celui à plusieurs mètres où le fesseur a prit le soin de se reculer.
J'ai fessé plusieurs femmes plusieurs fois, elles m'ont toutes dit éprouver de la crainte et de l'appréhension quelques jours avant et durant le trajet pour se rendre aux rv et une honte jouissive car souvent recherchée pendant l'acte.
Je ne prétends pas que ce soit une règle absolue.
PS Mike peux tu recommencer depuis le début, merci