Marie 7439 - 18/02/2012 20:47:32 modifié le 18/02/2012 20:49:30 La minute culturelle du we : Lors de la fête des fous, au Moyen-Âge, l'une des pratiques les plus appréciées consistait à fesser les jeunes filles que l'on trouvait au lit. (plus si affinités). Cette pratique avait lieu le 28 décembre, jour de la fête des Innocents. Le Prince Vaillant est...euh vaillant... Voici un épigramme évocateur. Clément Marot avait adressé ce texte, à Marguerite de Navarre, la sœur de François Ier. Très chère soeur, si je sçavoye où couche Vostre personne au jour des Innocents De bon matin j'yrois à vostre couche Veoir ce gent corps, que j'ayme entre cinq cents : Adonc ma main (veu l'ardeur que je sens) Ne pourroit bonnement contenter Sans vous toucher, tenir, taster, tenter : Et si quelqu'un survenoit d'adventure, Semblant feroys de vous innocenter : Seroit-ce pas honneste couverture ? Bon, bon, faut suivre mais on comprend non ?
mikesp 7441 - 19/02/2012 09:05:43 Bravo pour ta culture Marie. Tu ferais une excelente professeure (ça se dit professeure ?) Disons professeuse (oui c'est mieux professeuse) donc je disais que tu ferais une excellente professeuse d'histoire de la fessée.
Marie 7443 - 19/02/2012 17:54:41 modifié le 19/02/2012 17:58:03 F comme fantasme E comme émoi S comme sexe S comme soulagement E comme excitation E comme envie Si vous avez plus d'inspiration, je vous passe la main...
Marie 7445 - 20/02/2012 19:20:37 En ces temps froids..il faut penser à économiser l'électricité. pensez à la planète !!!
petit canaillou 7446 - 20/02/2012 19:39:07 Tiens çà c'est une sacrée idée en ces temps de pénurie économique!
petit-chaperon-vert 7447 - 20/02/2012 23:57:26 modifié le 21/02/2012 00:18:47 Cumul - Us et coutumes ! C’est dégoutant, je dois vous écrire cette histoire sous peine d’être châtiée plus sévèrement, la prochaine fois... Il était une fois, une fille qui était allée se faire fesser chez son cher fesseur d’une bonne grosse fessée de derrière les fagots ! Cette fille, ayant une résistance tout à fait honnête, avait l’habitude de se gausser gentiment, de blagouner tendrement et de planquer le matériel dès que le dos poilu du loup lui faisait face. Elle n’aimait pas trop ces fichus instruments qui lui faisait un peu peur et souvent mal aussi, mais elle avait un faible pour cette peur et ce mal, peut être parce qu’après, revenir à la main était comme un cadeau enveloppant et rassurant, dans lequel elle se prélassait. Hors donc voila qu’un jour, il y eu deux jours de suite. Comme souvent, elle arriva, ne se laissa pas vraiment attraper tout de suite, mais finit très vite allongée, jupe retroussée, cul déballé. Et c’est alors que son cher fesseur s’aperçu que sa punie piaillait déjà en mode préchauffage, nul besoin de tourner le thermostat sur grillade ! En clair, Mesdames, Messieurs, le message que je devais impérativement vous faire passer, c’est que si vous souffrez du syndrome du « même pas peur même pas mal », que vous ne comprenez pas comment certaines peuvent sembler si affolées, si implorantes au moment crucial, et même que secrètement vous les enviez un peu d’entrer si parfaitement dans la peau du personnage, prenez la fessée du lendemain !
mikesp 7448 - 21/02/2012 00:07:38 Le loup'gare'où ses instruments ? C'est loup'che, c'est qu'il y a un loup qu'a loup'é sa fessée due tant qu'il prend la loup'rde le loup'stic.