Et la Miss a bien raison d'être en colère! Ce dessin n'est pas bien retouché!
La tête semble séparée du corps, le cœur sur le tablier n'est pas centré, la perspective ne devrait pas permettre d'apercevoir ses fesses rouges (à moins d'avoir un GROS popotin...)
Enfin, je ne parlerai pas des pieds: n'importe qui hurlerait de douleur d'avoir de tels pieds compressés dans de tels talons...
Bref, Titi, j'ai pour principe de toujours louer l'effort; mais là, le résultat est déplorable!

Bon, sinon, j'ai loupé la discussion sur la honte et les sentiments précédant une fessée: honte à moi...

Pour le moment, je serais bien incapable de décrire ce que je ressens avec autant de détail que ne l'ont fait Iris et Ptit Chap, notamment. Toutefois, à la différence d'Iris, je ne ressens pas le besoin de retomber en enfance pour que la fessée soit crédible. Cela est sans doute dû au fait que je ne vois pas (ou si peu) la fessée entre adultes consentants comme une punition: même en sachant qu'il s'agit d'un jeu, je n'arrive pas à la voir comme ça.
Cependant, je reconnais qu'il est très drôle de se payer la tête du fesseur, même en pleine action, et je le fais de plus en plus (quitte à en payer le prix juste après).

En fait, de mon côté, la peur vient plutôt de la douleur elle-même: je redoute le fait d'être éventuellement poussé au-delà de mes limites avec une perte de tout plaisir.
Le reste est, pour moi, d'abord une source d'amusement; même le "noeud au ventre" dont parlait Marinette, qui s'accentue à mesure qu'approche l'échéance, est une sensation plutôt plaisante quand je pense à ce qui m'attend.

Je suis pudique mais, comme Mistinguette, pas au point d'être mortifié lors du déculottage. Quant à l'avant, le préambule, l'attente, il s'agit forcément d'un moment générateur de questions et/ou d'angoisses ("que vais-je subir cette fois ci?") mais cela dépend beaucoup des jours, de l'humeur et du contexte.

Pour faire court: sans pour autant retomber en enfance, j'aime le sentiment d'abandon que cela procure, se sentir "pris en charge", d'une drôle de façon.
Et, évidemment, on a le sentiment de perdre le contrôle, mais en le gardant (car on peut toujours dire stop) --> délicieux paradoxe...

Petit Canaillou alias Petit Coquin ailleurs souhaite une particulière bienvenue à Simon Pfeiffer et à sa copine Constance

Avec les félicitations du jury.

Ce que j'aime , pour en revenir à ce que disait Miss, c'est ne pas contrôler du tout la punition, ni dans sa durée, ni dans son intensité, mais plutôt pour le coté inéluctable qui fini par me faire rendre les armes, que pour la peur elle même.

Et puis sinon ça veut dire quoi tout ça ? Rien...

Un petit peu plus à gauche sur la fesse, oui, c'est ça. Un peu plus fort ! Ouh, Ouh, Ouh ! AH ! Non en fait, mais d’abord pas cet instrument et heuuu… ça t'embête si je garde ma culotte ? Et si au lieu d'être penchée sur cette chaise je suis plutôt couchée sur le bras du fauteuil ? Ah ! Stop, stop, mon téléphone... - Allo, Mike, oui ? pour L'Irish ? Mais c'est quand tu veux mon grand... Non, non, tu ne me déranges pas.

Comme je le disais tout le truc (pour moâ) c'est de pouvoir laisser carte blanche au fesseur.

Je me souviens (dans l'ancien temps ) d'un partenaire qui me disait - A partir du moment où vous décidez de passer cette porte, vous acceptez la punition !

Évidement, il s’agit pour le fesseur de rester attentif à des tas de petits détails… Comme le soulignait jeufc « Mieux vaut ne pas casser son jouet … » C’est assez bien vu, comme remarque, si j’en crois mes diverses pérégrinations forumesques.

Ps - Et Salut Simon

Je suis d'accord avec Petit Chaperon Vert et Mistinguette. Une fois les limites possibles données, tout est dit !

La fesseuse ou le fesseur décide et si elle est ou il est bon, il administrera la fessée qu'il convient.

Pas d'excuse à la noix sur le confort du canapé ou les genoux trop cagneux, la culotte ou le slip parce qu'on risque d'attraper un rhume de fesses ou le téléphone (sauf pour répondre à Petit Chaperon vert que je suis d'accord pour l'Irish Coffée)

C'est justement de ne pas savoir combien de claques, combien de temps et quelle sévérité (en restant dans les limites du raisonnable) qui est particulièrement générateur d'émotions.
Et puis, une fessée est une fessée et quand en plus on la mérite (je pense surtout aux chipies) ben on la boucle, sauf pour dire "Ouille !" ou Aïe !" suivant la langue qu'on choisit.

Depuis quand une fessée ou un fessé demanderait la carte et choisirait son menu ?

En tout cas, il ne faut pas faire ça avec moi parce que la fesseuse ou le fesseur a intérêt à avoir le frigo bien trempli et une bonne cave.

Il ne manquerait plus que ça!
Une fessée dont tous les détails sont paramétrés par la victime...
C'est le monde à l'envers!

- "dis papa, tu me la donnes pas fort hein?...."
- C'est ça.....VIENS ICI !!!

Généralement c'est le fesseur(se) qui exprime quelque chose quand il punit, et à la chipie (ou au chenapan) de décrypter la leçon qu'il reçoit!

- le Vert-Mot du jeudi - Détail

Très souvent, non mais très, très, souvent, on parle du physique de la "demoiselle". Des fois pour dire - Je veux fesser une jolie étudiante de 22 ans brune aux yeux bleus, taille 36, 38 accepté. Ou alors des trucs, mais alors des gros pipeaux, gros comme un fesseur, genre - Toutes les fesses sont pareilles, venez à moi les petites donzelles…

Mais alors quid du physique du fesseur (quid j'aime bien en ce moment)? Presque rien, en fait, comme si on s'asseyait dessus. ET même, on se couche dessus...

Un peu rembourré, c'est pas stupide, mais plutôt des cuisses que du ventre, ou faut s'agripper pour ne pas tomber. Mais sinon, un vrai vide, le quasi néant ! Nous les filles, on est pas difficile, faut croire... Moi la première je dirai - M'en fou du physique ce qui m’intéresse c'est son âââme !

Pourtant l'autre jour en tombant sur le bestiaire de Josep Baqué je m'suis dit - Ah non, là... ça va pas le faire.

Il est vraiment super ton vermot Petit Chap!

Oui au fond qu'importe son physique pour vu qu'il fesse très bien.

Par contre si on veut pouvoir le sentir il vaut mieux que son hygiène soit irréprochable!

Tout comme pour sa "victime' d'ailleurs!

Vous me faîtes tous un peu marrer en jouant les ceux qui n'ont peur de rien.
Tous les autres seraient de 'petits joueurs!

Bien moi j'assume mes craintes
Bien sur que le fesseur ou la fesseuse décide du degré ou de l'intensité de la correction qu'il ou qu'elle administre!
Mais s'il n'est tenu aucun compte des limites de la "victime" ou de son aversion pour certains instruments cela s'apparente à de la maltraitance!