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Le site rose: AGRAMANT
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Le but du blog est de permettre à tous d'échanger nos points de vues, expériences, interrogations, remarques, etc. sur le fantasme qui nous est cher.

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Agramant avatar plus
11102 - 30/10/2014 22:27:41

Bienvenue parmi nous poussinette, de toute évidence vous y avez votre place toute trouvée !

Je suis particulièrement heureux et fier que ce soit la lecture de ce site qui vous ait permis de "sauter le pas" et de découvrir -cerise sur le gateau !- que votre conjoint avait le même fantasme en lui...

J'espère que nous aurons souvent l'occasion de vous lire ici et que nous pourrons profiter des récits de vos fessées les plus mémorables... Peut-être même celle qui vous pend déjà aux fesses ? Plus que quelques heures avant le moment fatidique, songez-y !

poussinette avatar plus
11103 - 30/10/2014 23:14:00

comment ne pas y songer? ce serait d'ailleurs très regrettable voire absurde puisque c'est le délice du "supplice exquis" de l'attente qui alimente en grande partie (à ce stade du passage à l'acte) ma conception du vécu du fantasme de la fessée...

délicieuse la première fois, cette attent,e mais très différente aussi car s'inscrivant dans un jeu de rôles bien particulier: il s'agissait de faire "porter la culotte" (ou de la lui laisser porter) à mon fiancé (oui, terme désuet mais j'affectionne l'anachronisme et avec ma future belle-famille je suis servie) au moins dans les limites de notre sphère privée, du plus intime de notre couple.
Nous nous épaulons mutuellement pour tout le reste (et il y a bien des choses demandant de se tenir les coudes ces temps-ci, raison de plus pour être heureux maintenant, ne pas attendre et même trouver des dérivatifs) et je donne même une apparence (pas forcément trompeuse il est vrai, voire réelle et même indispensable au travail) un peu "dirigiste": je voulais à la fois rééquilibrer notre couple (il ne demandait pas mieux, pas vis à vis des autres: qu'ils aillent au diable! mais entre nous, lui aussi en ressentais le besoin) et "lâcher prise" ou (ne soyons pas si ambitieuse en une fois alors que je pratique le "contrôle permanent" depuis plus de 30 ans) de le "voir" (et sentir certes )en position de domination (et moi de dominée): je n'ai et n'aurais jamais accepté cela de quiconque mais avec lui, oui, enfin! enfin, je voulais me sentir réellement (hypocritement avec un safeword mais enfin tout de même éprouver en imaginant sans safeword) sa propre supériorité sur le plan physique mais aussi (et surtout) psychologique; j'adore sa patience et sa façon de désamorcer les conflits mais je le voulais une fois autoritaire et il s'en est donné à coeur joie, cela nous a fait beaucoup de bien!

donc première attente focalisée (hélas) surtout sur "ira-t-il jusqu'au bout?" "peut-il continuer à s'imposer,à être sévère, à me tanner les fesses et me réduire au silence malgré sa propre sensibilité"? (à ne pas confondre avec sensiblerie)et alors que j'ai vraiment poussé le bouchon en refusant de rentrer dans le rôle de la punie qui accepte la punition mais en m'acharnant à le défier
...un peu aussi (tout de même) de l'attente de la situation doublement humiliante: se coucher sur ses genoux, se retrouver déculottée", pimentée par quelques échanges d'emails délicieusement provocateurs de ma part (jeune fille très sage et responsable mais aussi...très très taquine) et de plus en plus sévères de la sienne (il s'est très bien pris au jeu, rentrant dans son rôle de fesseur punitif bien davantage que je ne l'aurais espéré: pas pu compter mais nous avons dépassé les 20 claques, une bone centaine ou le double, tout est devenu irréel à la fin

cette fois attente différente:
1/pas de "peur" à proprement parler:ce n'est pas un inconnu et quoique j'ai tâté de la force de ses mains de rugbyman-miam- je résiste malencontreusement terriblement à la douleur, d'où d'ailleurs une première séance un peu...bleutée les jours suivants si vous voyez ce que je veux dire (quelle était l'expression: les culottes gaussiennes ou quelque chose de ce genre?): en tous cas pas celle de la douleur (oui une fessée ça fait mal sinon ce n'est pas de jeu mais il ne veut pas me laisser de nouveau des traces, je ne peux me le permettre et il ne le supporte pas, hors ma peau est bien fragile donc ce sera en douceur: même pas peur!
cette fois je pourrai quitter la position "sur le ventre" en moins de 5h (si, si) ce qui nous permettra d'assouvir l'incroyable désir qui est monté s'il se représente immédiatement sans attendre si longtemps

2/ mais une honte vertigineuse, délicieuse: nous avons convenu d'oublier les scénarios (celui de la semaine dernière a été rempli et a rempli son rôle d'épisode "pilote", même si pour le lâcher prise des progrès sont encore possibles), cette fois je voudrais savourer la mise en position (voire profiter visuellement de celle-ci: miroir prévu, pour les premières secondes) et le déculottage (nous passons des contrats précis!) et ceci dans ma tenue de la journée, celle de la brillante jeune femme autoritaire qui s'impose dans le monde (trop gentille mais capable de pousser de bons coups de g.... quand certaines bornes sont dépassées et assumant de lourdes responsabilités): je vais savourer cette honte dans ces mêmes vêtements et dans ce rôle (car nous en jouons plus ou moins un en permanence et cela est au moins vrai pour moi et dans le cadre de mon travail)

3/une phase de "préchauffage" ayant été convenue (suivie d'une "montée en puissance"), impatience de découvrir de nouvelles sensations tout en me disant que tout de même mouiller ma petite culotte en attendant de sentir sur mon postérieur (et de comparer au bruit) les claques en badmington plutôt qu'en tennis (j'ai adoré cette métaphore du petit chaperon vert et monsieur maitrise très bien les 2 sports, il y réfléchit, s'interroge sur la souplesse du poignet: votre blog est truffé de renseignements précieux!), enfin voyons, raisonnons-nous ma fille.... mais tout de même comment les fesses vont-elles me cuire? raisonnable ou pas, la question est là et mon vagin se réchauffe en y pensant tandis que mes fesses ne peuvent s'empêcher de se serrer

donc oui, j'y songe, j'y songe, je ne veux pas cesser d'y songer (hors obligations professionnelles mais la tentation de la déconcentration et l'obilgation de ne pas y céder sont un "supplice exquis" de plus), c'est si bon, je vais rentrer à la maison demain soir, me coucher sur les genoux de mon futur mari, me faire déculotter et fesser et transgresser tous les "interdits non-dits" de ma bonne éducation à la barbe de tous ceux qui pensent me connaitre: j'en rougis et c'est déja si bon!!

petit canaillou avatar plus
11104 - 31/10/2014 08:04:06

Bienvenue Poussinette.

Et,oui il y a heureusement un jour où ce dont nous rêvons fini par se produire

L'existence de ce site vous a aidé à franchir le pas.
Grâces lui en soient rendues.

Et vous lire est un régal.

poussinette avatar plus
11105 - 31/10/2014 13:55:44

Merci Agramant et Petit Canaillou de me souhaiter si chaleureusement la bienvenue!!

Décompte des heures et ô surprise...je me sens moins encline à jouer les petites malines en mode "même pas peur", la cuisante brûlure de la semaine dernière qui me valut de rester allongée les fesses en l'air plusieurs heures est probablement restée inscrite au fond de mon inconscient( au point d'en avoir rêvé cette nuit et m'être réveillée le coeur battant quelques secondes)..je ne puis même pas dire que je ne l'avais pas cherché puisque c'était l'idée de ce 1er (et dernier) scénario, d'éprouver la détermination de monsieur et ses capacités de fesseur: c'est chose faite et me voila avec ce fichu mal de ventre des jours de rentrée/examens/concours

Nous avons pourtant dit "en douceur" eu égard aux hématomes laissés toute une semaine par un enthousiasme mal contrôlé assorti à une peau particulièrement fragile et un léger problème géographique (les claques sur le côté des fesses marquent bien plus que celles sur le sommet ou dans le pli entre les fesses et les cuisses), donc achat d'arnica programmé cette fois certes (zéro pommade sous la main: une erreur de débutante, fatalité de l'expérimentation mais espérons en faire de moins cuisantes à l'avenir) mais tout de même...

Injustice du sort: je travaille avec acharnement ce matin, réussit à me concentrer et être efficace (malgré la sensation -erronée d'après le miroir- d'avoir les joues rouges, une légère tacchycardie, le mal de ventre qui n'en finit pas, les fesses qui se contractent bien involontairement et une chaleur en bas du ventre assez explicite quant à l'aspect excitant sur la libido!)...et je me découvre un emploi du temps quasi vide pour l'après-midi à venir! Qui m'a fichu ce planning? A quoi en suis-je réduite à penser...que dis-je, je ne pense plus, je mijote dans mon jus, cuisson à point pour monsieur d'ici ce soir!!!
Il y a bien sûr toujours de la paperasse en retard (qui n'en n'a pas? ou suis-je la seule à choisir perpétuellement de remettre au lendemain jusqu'au moment critique pour phobie/paresse administrative caractérisée?) mais ça n'occupe guère que les mains, quand je dis paperasse, ce ne sont vraiment que des signatures et des tampons, tout ce qu'il y a de bêtement machinal...

Donc je songe, je cuis et je re-cuis et pour faire passer les dernières heures d'attente, je m'avise de la discussion récente concernant le "lâcher prise", à propos duquel je m'interroge beaucoup
Je n'ai pas dit le "safeword" la semaine dernière malgré une "déculottée maison" (les fesses me cuisaient vraiment, au moins je sais ce que l'on ressent, curiosité de petite fille anciennement trop sage, mais j'ai surtout laissé monsieur décider de l'arrêt pour cause raisonnable devant la coloration de mon fessier)
je n'ai pas versé une larmichette (je trouve les larmes très importantes dans la vie, elles me viennent facilement devant un film ou un livre et sont libératrices mais seule, pas devant les autres): fichue fierté de gamine aggravée par une (dé?)formation professionnelle qui interdisait la moindre larme publique
Malgré une libido déchaînée toute la nuit qui suivit mon corps n'a pas montré un signe d'excitation sexuelle immédiate (sûrement trop occupée par des pensées parasites pour ressentir la jouissance mais enfin..)
Je médite sur les pistes des uns et des autres, l'idée du relâchement musculaire ou du regard noyé/shooté me parait plus à ma portée que celles précédemment citée mais la fessée relève du strict érotisme et je la place même comme un acte sexuel à part entière, donc une légère humidité vaginale est la moindre des choses pour ne pas verser dans le SM (éternelle appréhension des néophytes, non?): et si je n'y arrive pas? j'ai parfaitement senti l'excitation de mon partenaire de jeu mais je voudrais tant qu'il profite de la mienne (disons qu'elle soit perceptible "sur le coup" si je puis dire et pas à retardement) sans quoi je ne redoute qu'il finisse pas croire que je ne recherche que la douleur pour la douleur (si moi-même la question m'effraie...) et ne rechigne à poursuivre: donc je mijote mais j'espère bien ne pas en rester à ce soir, ô contradictions humaines...

Agramant avatar plus
11106 - 31/10/2014 16:59:22 modifié le 31/10/2014 17:01:26

Pas de panique poussinette, ce fantasme est en lui même un tissus de contradictions : comment peut-on raisonnablement trouver du plaisir à ce qui est basiquement une punition, un châtiment, quelque chose de conçu pour être dissuasif ? Rationnellement on ne devrait pas pouvoir, c'est contradictoire. Et pourtant il en est ainsi. Nous sommes des humains, pas des robots donc nos pulsions et nos envies échappent au rationnel et en matière de fantasme c'est comme les trous noirs en astrophysique : on laisse son "bon sens" basique au vestiaire ! La seule chose à ne pas perdre de vue est qu'on doit rester entre adultes consentants et qu'on ne doit pas nuire à autrui. Pour le reste tout est permis !

Ne vous préoccupez pas de savoir si ou comment vous allez "lacher prise", si vous allez "mouiller" ou non, ni rien de ce genre ! Laissez vous aller et profitez à fond de ces moments. Croyez-en mon expérience, votre fesseur sentira très bien vos émotions et votre excitation !

poussinette avatar plus
11107 - 1/11/2014 00:44:43

Merci de vos encouragements agramant, ce que vous écrivez est très rassurant, réconfortant même

Je vous lis en post-fessée mais celle-ci fut une petite perle, à garder en mémoire tout aussi précieusement que la première fois (oui, tout de même, la première ne sera pas oubliée ni reniée, elle avait son utilité propre et sa valeur de "première" restera): je me sens si bien, si.... "apaisée", nous avons ensuite passé une soirée délicieuse en toute complicité, avec beaucoup de tendresse et d'humour! à l'image de la fessée elle-même
le temps s'est arrêté chez nous l'espace de quelques heures et tout ce qui est si difficile en ce moment dans nos vies (en dehors de notre couple) a disparu: je vais dormir comme je ne l'ai pas fait depuis longtemps

En effet (et oui, l'expérience -la vôtre- parle..et a bien raison), il suffisait surtout de se laisser aller, de vivre le moment....de chasser les pensées parasites et d'essayer enfin de ne pas TOUT contrôler; je n'avais pas lu votre message mais c'est venu tout seul ou plutôt grâce à un sentiment d'amour très fort
Nette progression aussi des "modalités" également (plus besoin de scénario après le 1er où nous nous sommes testés mutuellement "tu es bien sûr(e) que c'est ce que tu veux? chiche!"), mode badmington décidément préférable au tennis (la métaphore a beaucoup inspiré monsieur, merci encore au petit chaperon vert), résultat: pas d'arnica (oublié dans l'émotion de l'attente, oups!) et pas de marques (merveilleux massage manuel et bain chaud), et surtout, surtout une telle osmose...après beaucoup de réflexions et de discussions et... une bonne dose d'humour

Je ne dis pas qu'une fessée aussi "féroce" (mais toujours manuelle et avec un bon échauffage préalable, ainsi qu'une provision d'arnica) que la précédente ne nous tenterait pas à nouveau (à l'occasion..mais rarement, à garder pour la bonne bouche, en dégustation)
la version plus focalisée sur les étapes préparatoires était divine: je n'ai plus peur de la dérive SM puisque cela me convenait sans la tentation du "toujours plus pour voir"(pas de malentendu: mes fesses étaient uniformément rouges, très chaudes, cuisantes: une vraie fessée, mais je puis m'asseoir et n'aurai pas à me soucier de marques: principes de la bonne vieille fessée manuelle!)
nous entrevoyons à peine qu'il y a autant de fessées possibles ou presque que d'occasions qui se présenteront, et sommes prêts à les déguster une par une en déclinant tous les modes: que de perspectives alléchantes que j'aurai à coeur de partager ici

encore une fois, je rends hommage à votre expérience: malgré son statut de "fesseur débutant", mon fesseur me connait si exactement qu'il a su nous procurer à tous les 2 ce que nous attendions et se régaler (parait-il) de tout ce que j'exprimais sans effectivement "mouiller ou rien de ce genre"!
ouiiiiiiiiiii.....vite, la prochaine!

mikesp avatar plus
11108 - 1/11/2014 10:46:31

Mister Agramant à dit : : on laisse son "bon sens" basique au vestiaire !


Ha oui même que je n'ai pas tout mis, je n'avais pas assez de portemanteaux.

Titi avatar plus
11109 - 1/11/2014 12:28:29 modifié le 1/11/2014 13:51:21

Mister Agramant à dit : on laisse son "bon sens" basique au vestiaire !

Comme le dit justement Mike, il y a tellement de choses a y laisser...
En particulier, notre plus mauvais compagnon:


car en ces lieux, il sera soumis à de rudes épreuves!

Qu'on se le dise...

Dundee avatar plus
11110 - 1/11/2014 16:49:51

Chère Poussinette,
Bienvenue et félicitations pour votre témoignage touchant et toutes les contributions qu'il a généré en moins de 36 heures. Un record Bravo !
Si j'ai bien vu apparaitre votre profil jeudi, je n'ai découvert vos écrits sur le blog que ce matin et c'est passionnant.
Grâce à vous j'ai revécu mes début de fesseur avec ma chérie, j'ai ressenti les doutes et hésitations que j'avais eu il y a près de 20 ans. Je ne connaissais pas encore Agramant et c'est la lecture d'un dossier sur les livres sur la fessée dans VSD, la découverte par ces livres (je peux vous retrouver les titres si cela vous intéresse) de ces vies de couples qui avaient été transformées, puis une petite annonce dans l'Obs d'une femme voulant être durement punie, qui m'ont fait réaliser que je ne devais pas être le seul à fantasmer de la sorte et que je pouvais proposer une fessée même à ma chérie.
Autre époque, autres moyens de communication, mais mêmes émotions, mêmes hésitations, envies, enthousiasme, et je suis passé à l'acte à votre âge avec ma petite amie.
Depuis le net a contribué à relancer mon insatiable imagination. J'ai connu toutes les étapes d'Agramant en lecture seule. Sa consultation a contribué à me décomplexer et à provoquer de nouvelles rencontres autour de moi.
D'ailleurs, le niveau des contributions en terme d'humour et de vécu est bien meilleur qu'ailleurs. Il m'aura fallu une nouvelle partenaire de fessée cette été pour me conseiller de m'inscrire, ce que j'ai fait sans regret. Depuis j'ai contribué sur le Forum, mais c'est aujourd'hui la première fois sur le blog. Donc une grande première, grâce à vous. Merci.
Je conclurai en vous encourageant sur le fait qu'il n'y a pas mieux de concilier une vie de couple équilibrée avec la fessée. Le plaisir est grandissant entre deux personnes qui s'aiment, s'écoutent et se respectent.
De mon temps, nous regardions Dream On sur Jimmy tous les vendredis soirs à 22h, cela nous mettait en joie pour le reste de la nuit, et pour la fessée. Autre époque, autres moyens de communication… Bons vendredis soirs à vous deux et continuez à nous faire rêver.
Bien à vous,
Bryant

poussinette avatar plus
11111 - 2/11/2014 11:20:01

Mince, un record, déja: ça ne va pas aider mon ego, comme rude épreuve on fait mieux!!

très heureuse de contribuer à ce blog qui en ce qui me concerne m'a beaucoup apporté avant même d'y être inscrite: ravie que cela vous ait incité à y contribuer à votre tour, Bryant

Bonjour à Mike et Titi: oui, il y a bien des choses à laisser au vestiaire avant de s'allonger sur les genoux de quelqu'un pour se faire rosir les fesses, mais hélas il va falloir de très nombreuses et très rudes épreuves pour cet ego-là, en acier trempé et sur-entraîné: peut-être une peu ébranlé pendant la fessée (quoique..) mais toujours aussi costaud ensuite
Je précise qu'en général il n'est pas nuisible aux autres mais plutôt à moi-même: il s'accompagne, comme c'est souvent le cas (?), d'une très faible confiance en moi (que je dissimule très bien, certes) et d'une très haute exigeance vis à vis de moi-même: je ne me passe rien!!
J'attends beaucoup des autres comme amis ou sur le plan amoureux mais je leur en demande bien moi qu'à moi. Par contre, si je leur demande moins, cela va de pair avec un réflexe de type "je veux et dois tout contrôler sinon ce sera moins bien", donc espérons que cet ego en voit de toutes les couleurs (pour l'instant la gamme des rose/rouge/violet lui est passée sous le nez sans grand effet, mais la répétition comme en toutes choses, peut-être...)

Peut-être est-ce là la source de ce fantasme me concernant? Pas simplement dégonfler cet ego mais me sentir moins "responsable" et donc plus "légère" (il m'a fallu avoir 30 ans pour me sentir des envies d'être une sale gamine et me découvrir très très taquine, avec une petite tendance à l'insolence en couple, surtout à cette époque de ma vie avec un amant bien plus âgé)
Je ne ressens pas vraiment de "culpabilité" inconsciente et n'ai aucun référentiel enfantin ne matière de fessées (jamais copié une seule ligne, un cas désespéré), mais le côté honteux me permet de me sentir très petite fille quelques instants et n'est-ce pas là la magie de l'enfance: savoir que d'autres s'occupent de nous, nous prennent en charge, assument les responsabilités...
Et puis le côté transgressif est véritablement délicieux, en imaginant la tête de mes collègues et du "gratin de notables" qui sévit encore dans ma toute petite ville de province: je ne la citerai pas mais elle n'a pas changé d'un pouce depuis les romans de Simenon; j'en fais partie malgré moi de ce "gratin" (qui ne l'est que dans la définition de ses membres auto-proclamés qui me font comprendre qu'étant désormais de la deuxième génération avec une profession libérale etc...)si cela les amuse de m'élire membre du club, cela m'amuse bien plus de ne pas entrer dans leur jeu pour de bon .... (mes parents étaient moins bien vus, "cadre sup dans une grosse boite", pfff pas glorieux!! que dire d'une femme qui travaillait pour vivre et non dans des associations de charité -tout à fait respectables par ailleurs, les assos- comme ma mère dans les années 1980 et 1990 mais bon on les tolérait comme voisins, le côte première de la classe vient de là, nécessaire pour s'affirmer, l'ego itou) et comme je suis restée irréprochable, comment imagineraient-ils que je me fasse fesser pour mon simple plaisir, sans idée quelconque de "discipline domestique" (berk!), il faudrait alors imaginer que potentiellement leurs propres enfants prendraient du plaisir à "ces choses-là", my godnesse, shocking!

Je m'étais demandé où se trouvaient les membres du blog depuis quelques jours: en vacances? et découvre certains sur le forum hier même.
je découvre en même temps le forum lui-même puisqu'il fallait réussir à s'identifier et renseigner son profil pour y avoir accès (je pense que le rectorat de Clocher Les bécasses peut compter sur une nouvelle élève, vu mes compétences informatiques) et la rubrique "c'est pas mieux si chacun se présente?": en effet, c'est bien mieux et j'y vais de ce pas, après un petit déjeuner quelque peu décalé par la sacro-sainte grasse mat' du dimanche

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