Agramant 11145 - 7/11/2014 14:48:21 modifié par Délichieuse le 7/11/2014 14:51:07 Mlle Microbe, pour répondre on est supposé écrire dans un nouveau post, et non taguer les posts des autres... Ouai... La flemme ! Sorry, je recommencerai plus !
Agramant 11146 - 7/11/2014 18:22:23 modifié le 7/11/2014 18:23:41 J'avais promis de répondre à d'autres points du post de poussinette (ce qu'elle n'a pas manqué de me rappeler en MP dès le lendemain, l'impatiente !) alors ayant un peu de temps en cette veille de week-end, j'en profite pour revenir sur un autre sujet évoqué que je trouve intéressant, le risque d'escalade. Elle est perçue comme un véritable risque en effet pour ceux qui débutent dans la pratique de ce fantasme. Comme vous l'avez remarqué, elle peut avoir plusieurs aspects. Le premier est celui de l'intensité, le "plus fort, plus longtemps". Celui la est un classique du genre, bien naturel au demeurant, il est assez logique de vouloir tester ses limites pour voir jusqu'où l'on peut aller. Et effectivement, je ne crois pas qu'il y ait lieu de beaucoup s'en inquiéter, c'est une phase qui -pour l'expérience que j'en ai- ne dure qu'un temps. De même pour ce que j'appellerais les "fessées de l'extrême", ou la victime fantasme de recevoir une "vraie" fessée qu'elle ne puisse pas arrêter même en criant réellement grâce sur le moment (j'ai raconté une fessée de ce genre sur le site). Si le fesseur a une expérience raisonnable et surtout connait bien sa partenaire, cela ne pose pas de problème, et -toujours pour l'expérience que j'en ai- la surenchère ne va pas plus loin, et ces fessées restent l'exception. Un autre type d'escalade rencontré est celui de la modalité : au début c'est en tête à tête dans une chambre bien isolée, puis on en vient a rechercher de l'adrénaline en fessant à l'extérieur, puis devant un témoin, puis carrément en public devant des inconnus (il y a des "clubs privés" ou ce genre de chose peut se pratiquer sans risquer de finir au poste). En général, on finit par trouver son "point d'équilibre" et la surenchère n'a la aussi qu'un temps. Une variante plus pernicieuse de cette surenchère est la dérive vers le monde BDSM et D/s. Il y a des couples dont c'est le choix et qui sont parfaitement heureux ainsi, rien à redire à cela. Mais il y a aussi le cas -j'en ai connu- ou la "victime" se laisse entraîner vers ce monde la par un dominant manipulateur qui la fascine et l'amène progressivement et insidieusement à aller beaucoup plus loin qu'elle ne l'aurait voulu et à y perdre un peu son âme... Mais tel que vous décrivez votre partenaire, miss poussinette, je n'ai pas l'impression que vous courriez ce risque la ! Enfin quand au risque d'escalade vers "l'extra-conjugal", pour l'heure vous paraissez immunisée étant -à vous lire- très amoureuse de votre partenaire et allergique au mensonge. Mais prenez garde tout de même, cette immunité n'a parfois qu'un temps... Pour prendre une comparaison dans votre domaine, avec le temps les souches bactériennes résistantes aux antibiotiques finissent par voir le jour !
Iris 11148 - 8/11/2014 01:35:52 modifié le 8/11/2014 23:05:45 Avec quelque retard bienvenue à vous, Poussinette, et merci de ce que vous nous faites partager avec beaucoup d'enthousiasme ainsi que de votre questionnement qui est vaste et nous renvoie parfois à nos propres questions, contradictions et paradoxes avec lesquels nous apprenons à vivre au fil du temps. En ce qui vous concerne c'est un privilège et un bonheur de pouvoir intégrer ce fantasme à votre vie de couple. Oui, pour ce qui a trait à la fréquentation assidue de tels espaces dédiés à notre passion, les risques d'addiction existent bel et bien. La preuve : venir ici, même après des années, est en quelque sorte mon "café gourmand" de la nuit dont je me passe difficilement... Et même les fessées auxquelles j'ai parfois eu droit pour me délivrer de cette petite habitude nocturne ne m'en ont pas guérie !
mikesp 11149 - 8/11/2014 09:32:45 Ho Dame Iris, si la fessée engendre le plaisir, elle ne serait donc pas un remède efficace contre vos habitudes nocturnes. Ben oui, on veille les yeux sur l'écran, les doigts sur le clavier en se disant que ce n'est pas bien. On se fait punir de cette addiction en recevant une fessée certes méritée, mais voilà, c'est que celle-ci est délicieuse alors pour en avoir encore le goût on rallume l'écran à plus d'heure. Un cercle vicieux en quelque sorte. D'ailleurs, un vrai médicament ce n'est pas bon.
poussinette 11151 - 9/11/2014 02:07:16 modifié le 9/11/2014 02:16:27 Ouf, blog de nouveau disponible après des heures de "maintenance informatique": que fait le webmestre?? J'ai cru que mon ordinateur plantait et ai envisagé de le jeter parce que n'étant pas à jour dans l'historique de navigation avec un oncle toujours ravi de rendre service sur le plan informatique, là...j'avais les joues bien plus rouges en y pensant qu'en me faisant déculotter! Merci de votre bienvenue Iris, je suis très heureuse de communiquer avec vous: vos posts sont toujours très posés, réfléchis, ouverts et apaisants! Oui, après discussions très ouvertes, c'est un privilège de le vivre en couple: pour varier sur les modalités, on n'en finit pas de se surprendre l'un l'autre (soirée et journée très très remplies): c'est incroyable, j'ai l'impression d'une deuxième rencontre!! comme toujours, je voulais tout, tout de suite et en me faisant des "noeuds au cerveau" parce que ce n'était pas à ce point-là simple et rapide (en fait en 15 jours que de changements dans notre couple) mais ça commence à se calmer pour éviter les bactéries multirésistantes, il faut avant tout se méfier du sous-dosage des antibiotiques (le problème n'est pas la prescription trop fréquente mais la prescription à trop faibles doses ou l'arrêt intempestif du traitement): double dose de fessées pour renforcer l'immunité (voire triple: 3 en 3 jours....) bon là on va faire une pause, je suis rassasiée comme une gosse gourmande qui a forcé la dose, plutôt en raclette que sur les chocolats me concernant mais le résultat est le même, à ceci près que l'indigestion se manifeste dans un zone corporelle assez éloignée du tube digestif! surtout double/triple dose de dialogue, d'échanges, d'expérimentations et..d'amour; oui, il faut de l'amour pour fesser une femme quand on est déja dans une relation amoureuse avant la "relation fessée" et que l'on n'a aucune expérience de "fesseur", pour dépasser le stade de la fessée purement érotique.... et il faut beaucoup de confiance, non pas tellement pour abandonner ses fesse à son conjoint (qui en prend grand soin, vive l'arnica!) mais pour lui demander de les rougir: enfin un vaccin qui est bon (je n'ai pas dit sans douleur mais très agréable) J'ai aussi un petit problème de noctambulisme, mais le conjoint semble avoir compris la psychologie de sevrage: interdiction de blog en cas de posts tardifs en semaine, sinon installation d'un "contrôle parental" sur mon ordi: riez, heureux experts de l'informatique, mais moi qui ai envoyé ma première pièce jointe en 2006 (voui, voui) et qui n'ose plus me connecter au bureau (incident évité de justesse vendredi), je ne risque pas de débloquer le contrôle seule: aaaargh, mon rééducateur fonctionnel a trouvé un allié de poids pour ma santé, lui qui s'arrache régulièrement les cheveux avec celle de ses patientes la moins attentive à ses recommandations: non seulement privée de blog mais pas moyen d'enfreindre l'interdiction pour se faire punir de façon bien méritée (ce qui ajouterait une petite note délicieuse à la fessée: il ne s'agit pas de discipline domestique, ni de rapport D/s mais trouver pour la fessée un "vrai" motif qui joue soit sur la susceptibilité du fesseur soit sur une culpabilité réelle -plus ou moins importante- de la fessée ajoute beaucoup de piment ) Le risque de manipulation vers un rapport D/s ne m'inquiète pas, je l'ai connu et sans qu'il soit question de fessée ou de violences physiques, enfin si, mais pas dans la manipulation: seulement en quittant le manipulateur, ça a failli déraper, on croit que les violences conjugales et autres crimes passionnels n'arrivent qu'aux autres et un jour on se retrouve à 2mms du fait divers...on y laisse un peu de son âme en effet (au moins ça dissuade de pardonner et revenir), ce qui est mieux que sa peau mais demande une convalescence de qualité: c'est justement ce que m'a offert mon "fiancé" (car oui nous sommes un peu vieux jeu, on dira mari dans quelques mois): rien à voir avec la relation que nous vivons qui est toute en dialogue, ouverture d'esprit et respect de l'autre, j'ai un très sérieux point de comparaison Des clubs privés??? j'en ai cherché avant d'arriver sur ce site et de parvenir à en parler en couple et n'ai trouvé que la version "gay hommes" (au moins ils ont été super sympas dans leur façon de m'expliquer pourquoi il n'y avait pas de tarifs pour femme seule...j'ai dû les faire rigoler) ou franchement orientés BDSM Pour varier les modalités sortir doublement de l'alcôve (toujours dans la maison mais dans une pièce nettement moins dédiée à l'intimité) et de ses lumières tamisées (grand soleil ce matin) était une première expérience très réussie je reviens sur la question du lâcher prise (et non de l'origine du fantasme mais de ce qui peut amener à l'assumer): je pense que cette nouvelle addiction ne risque pas de disparaitre parce que les responsabilités professionnelles resteront et qu'elles sont le principal moteur de mon fantasme, n'ayant pas de référentiel enfantin mais je constate que le passage à l'acte est arrivé au terme d'une séries de frustrations très dures à encaisser et impossibles à admettre avec une personnalité qui tend au "contrôle permanent de tout" J'ai accumulé beaucoup de choses en 5 ans (pas de sécateur intempestif, je ne resterai pas dans le hors-sujet, j'essaie d'illustrer ce qui se passe dans ce passage à l'acte), des coups durs dont les répercussions ne sont pas finies pour les plus "anciens": fucking reconversion professionnelle (après des années de formation très dures, au moment où je touchais au but) pour un dérapage si court sur une fucking plaque de verglas, reconversion accompagnée d'un changement radical de mode de vie (finie l'hyperactivité, les nuits courtes et direction la salle de sport), puis le manipulateur et récemment la santé de ma (future)belle-mère: après cette série de fessées (depuis jeudi soir) je me retrouve à la salle de fitness-muscu (berk) tout à l'heure avec une énergie décuplée, soutenue par une colère phénoménale (qui m'a fait réaliser des performances dont je ne me serais pas cru capable) qui est venue croissante au fur et à mesure d'un effort plus important que d'habitude, ou plutôt une séries de colères qui sont parties les unes après les autres ayant enfin trouvé à s'exprimer dans l'espace de liberté offert par...la fessée (devrait vraiment être remboursée par la sécu la fessothérapie) et tout ce qu'elle implique de "mise à nu" bien au delà de la simple descente de petite culotte (bon là je parle pour moi parce que le déculottage quand on vit ensemble depuis un bon moment...) certainement pas fini d'accepter tout ça mais je ne me suis pas sentie si légère depuis...je ne sais plus! des chamailleries, mike? est-ce possible? le webmestre ne veille-t-il pas à tout? (laissons-lui le bénéfice du doute pour cette double panne informatique en 3 jours, quand je disais que ces petites bêtes-là sont capricieuses... mais moi "on" ne me croit pas! pffffff ), soit mais dans la bonne humeur (je vais réapprovisionner la cave )
poussinette 11152 - 9/11/2014 15:28:20 modifié le 9/11/2014 15:28:59 Suite à une remarque très judicieuse en MP, je me rends compte que mes propos peuvent donner l'impression d'un amalgame que je ne fais pas, je vais essayer d'être plus explicite (quand on connait sa propre histoire, on se comprend mieux!) Donc je faisais référence au risque décrit par Agramant de dériver vers une relation D/s qui si elle est consentie des 2 côtes et fonctionne pour le couple ne me choque pas: tant que chacun y trouve son compte et son équilibre, pas de problèmes. Le risque évoqué par Agramant était celui d'une dérive D/s (à partir de la pratique de la fessée dans notre vie de couple et notre vie sexuelle) non consentie et par le fait d'une manipulation sournoise du fesseur (qui se retrouve dominant pendant le temps de la fessée même si c'est une illusion finalement du fait du safeword) J'écrivais que ce risque-là ne m'inquiétait pas en l'occurrence concernant notre couple, et que d'ailleurs il m'était arrivé une fois dans ma vie de me faire manipuler sans que cela ne se soit jamais passé par le fantasme de la fessée: je sais pour l'avoir vécu à quel point on peut se retrouver malgré soi et sans même s'en rendre vraiment compte ( c'est très très insidieux) dans une relation D/s avec un dominant-manipulateur qui par ailleurs n'a aucune prédilection pour la fessée ni pour le BDSM...et que cela peut finir (indépendamment de tout jeu entre adultes consentants) en drame passionnel avec violences conjugales (d'abord psychologiques et puis un jour il a les mains autour de votre cou et une lueur de folie meurtrière dans les yeux...et vous n'en pouvez tellement plus qu'un 1/4 de secondes, vous souhaiteriez même que tout s'arrête même par ce moyen alors que vous n'êtes pas suicidaire et ne l'avez jamais été....ce qui laisse des "bleus à l'âme"): les grands malades existent dans tous les domaines! Quant à la frontière fessée/BDSM je crois qu'elle est en effet très mince: le BDSM ne m'attire pas mais j'ai connu un couple qui le pratiquait dans une famille proche de la mienne: quand cela s'est su, j'étais la seule non choquée, ils étaient heureux depuis 30 ans comme ça: amen!
Agramant 11154 - 10/11/2014 12:37:56 En effet miss poussinette, la précision est judicieuse, lorsque qu'une relation D/s s'installe entre deux personnes majeures, consentantes et conscientes de ce qu'elles font, il n'y a rien à y redire. Le risque que j'évoquais était bien celui d'un dominant manipulateur venant "chasser" sur le terrain de notre fantasme pour amener insidieusement sa "victime" sur son terrain qui est de mon point de vue assez différent du fantasme de la fessée tel qu'il est présenté sur ce site (même si on ne peut pas nier un certain cousinage...) Et pour les cas dont j'ai été témoin, à chaque fois, la "victime" était fascinée par le "dominant" et refusait de voir qu'elle était manipulée... Bien sur, on m'objectera que la différence entre "manipuler" et "faire découvrir un autre fantasme" est en théorie bien difficile à cerner, mais quand on voit la "victime" fascinée aller vers une surenchère d'avilissements à l'encontre de sa nature profonde (de ce qu'on croit en savoir, en tout cas), l'idée de "manipulation mentale" s'impose...
Anniza_67 11155 - 10/11/2014 23:50:16 Ma chère Délichieuse, vous allez me trouver très curieuse mais ... comment faites vous pour taguer les posts des autres ? Sans doute ne me le direz vous pas mais qu'importe, vous êtes toujours aussi facétieuse et charmante qu'autrefois ... faites nous rire encore ... on ne s'en lasse pas !
poussinette 11156 - 11/11/2014 09:50:05 modifié le 11/11/2014 09:59:58 Bonjour à tous Mike, je suis désolée d'une erreur que vous me pardonnerez j'espère: c'est titi qui veut relancer les chamailleries; mais je pense que vous serez d'accord avec moi sur l'utilité (dans ce cas de figure et de façon générale) de tenir sa cave à jour, même si pour moi ce n'est pas de l'irish coffee Juste pour finir sur la manipulation mentale, elle débute souvent par une "fascination" de l'une des personnes vis-à-vis de l'autre: il n'y a rien de ce genre entre moi et monsieur, d'où un bien meilleur équilibre de couple; l'avilissement n'est pas forcément en mode BDSM dans un couple (et le BDSM n'est pas un avilissement tant qu'il répond aux besoins/désirs des 2) mais pour faire ensuite confiance après avoir ouvert les yeux sur le degré de manipulation dont on a été victime et pendant un durée assez...sidérante, il faut beaucoup d'eau qui passe sous les ponts ou...de très très bons amis (y compris les anciens du manipulateur) et une rencontre exceptionnelle Autre sujet que je pioche dans le forum après y avoir déja pensé: le caractère régulier ou aléatoire de la fessée....je dirais que les 2 ont leurs délices propres et que la pratique en couple est effectivement , comme le dit Iris, une chance incroyable (de ce point de vue, au moins), puisqu'elle permet de conjuguer les avantages des 2 (le seul défaut étant peut-être une moindre appréciation du déculottage quoique selon les modalités et l'inventivité du fesseur..je n'aurais pas cru après les toutes premières fois me sentir un tel rouge aux joues dernièrement) Alors pour la fessée "régulière", ayant aussi lu serguine, nous avions commencé par instaurer ce rituel (sans intention de l'abandonner depuis) pour répondre à un éventuel "manque" et "contrôler" un peu l'escalade inévitable, et puis finalement cela devient un moment d'amour réservé Sauf invitation acceptée d'avance et par nous ensemble (qui ne fait que différer ladite fessée et rendre la soirée d'autant plus délicieuse que la sensation de honte et l'impression que les fesses chauffent déja sont incroyablement amplifiées par le fait de devoir être dissimulées à des connaissances/amis/membres de la famille et non plus simplement à des inconnus ou des collègues: bien plus transgressif...même si on profite de la soirée donc on ne pense pas uniquement à ça, ne serait-ce que pour nos hôtes) mais sinon: "pas libres" "elle rentrera tard ce soir" "trop fatigués", plus d'apéros surprises ("et plus si affinités" avec les copains de monsieur qui débarquent -ou le gardent en otage- tous les vendredis soirs: il y a le samedi pour ça et le vendredi, ras-le-bol, besoin de se retrouver après la semaine passée à "courir le monde") mais ce moment qui est réservée à ce jeu entre nous, qui M'est/NOUS est réservé, exclusivement et prioritairement, une heure ou deux dans la semaine, un hommage au couple Précisons qu'en effet cela ne doit pas devenir une "corvée" à laquelle s'astreindre, l'un de nous peut dire que là , franchement, cette semaine ou ce soir, il/elle a d'autres choses en tête etc..ce moment donc a sa magie propre Pour ce qui est de l'inventivité, il y a tant de "surprises" possibles quant aux modalités: pièce de la maison, position, durée, intensité, motifs (qu'a-t-il noté dans la semaine...ah mince, là je me suis faite avoir et zut) etc etc...ce qui permet de mijoter avec une intensité croissante au long de la semaine (très très croissante à partir du vendredi matin) à propos des questions sus-mentionnées, je lui laisse la main et ne sais à quel sauce je vais être "mangée" tandis que lui compose le menu en se pourléchant les babines à ses moments perdus en vue du fameux vendredi soir Et puis pour la fessée "occasionnelle", il y a la surprise du jour et..du "motif" qui ne peut pas attendre le vendredi, en mode "surprise" ou "légèrement différée" comme celle qui s'annonce pour ce matin suite à un noctambulisme totalement déraisonnable pour ma santé et mon travail (et non pas sur ce site "en plus" dans la nuit de dimanche à lundi), d'où un coucher exceptionnellement tôt hier soir (21h....ça doit remonter à...non dès 7 ans je lisais au lit très tard donc enfin zéro souvenirs) avec promesse de fessée pour le lendemain...à condition de ne pas se relever: résultat je me suis endormie d'épuisement en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, ai dormi 12h et me sens bien mieux tout en attendant la "fessée-punition" qui se fait tarder mais ne saurait manquer d'arriver; elle me "pend aux fesses" comme dirait Agramant et je vais la déguster d'autant mieux que je suis en pleine forme (il vaut mieux d'ailleurs, il parait que le motif est grave donc la "punition" s'annonce sévère) et que là elle répond à une réelle "culpabilité" de ma part, ou en tous cas une sensation réelle de culpabilité: délicieuse régression, moi qui n'ai pas connu de fessées dans l'enfance; pas fait exprès (non je ne la cherchais pas!! non, vraiment!!!) mais l'impression d'avoir fait une "très grosse bêtise" (d'ailleurs objectivement c'en était une) qui va être sanctionnée comme elle le mérite, une gamine fautive: sensation inédite pour moi sur ce, bon jour férié à tous