mistinguette 10602 - 27/04/2014 19:49:19 modifié le 27/04/2014 19:56:11 Tatie, "tite" n'apparaît pas dans le dictionnaire (en tous cas, pas comme adjectif qualificatif), cela te fera donc deux coups ! Eh oui, il faut savoir être juste ! Tu as raison, petite Miss. Merci de ton intervention, tu auras une belle image pour te récompenser. (J'ai changé d'avis, j'ai estimé que repos dominical ou pas, il était temps de me bouger les fesses et de reprendre ma fonction.)
Iris 10603 - 27/04/2014 20:52:13 modifié le 27/04/2014 21:09:35 En bonne fille que je suis j'accepte les deux coups mais pas qu'on usurpe mon identité et me fasse dire des choses que je ne pense pas... Non mais ! 10 coups de planche à la Miss pour son insolence de taille ! Mais je voudrais rebondir sur les coachs et le coaching qui apparemment ne sont pas en odeur de sainteté, n'est-ce pas Monsieur Mikounet qui, quant à lui, n'en épargne vraiment aucun ! Or comme le souligne très justement Buster à l'avant dernière page, si toutefois le sens de son post ne m'a pas échappé, le fait de se bien ou mal conduire et de savoir s'y prendre n'est pas davantage le fait du coach avec sa protégée que celui du maître avec sa soumise, du précepteur avec son élève, du fesseur ordinaire avec sa partenaire... L'un a pour objectif de prendre en main, l'autre a la mainmise, le troisième et le quatrième se proposent avec un inlassable dévouement de cadrer et sans cesse recadrer. Dans tous les cas assumer ces rôles d'autorité et être en mesure de prendre de l'ascendant sans outrepasser les limites et se montrer outrecuidant requiert de l'intelligence, de l'attention, du discernement, du savoir vivre et du savoir faire, sans compter un investissement à des degrés divers . Ni plus ni moins dans un rôle que dans un autre ! Et effectivement en ce qui concerne le coaching il m'est arrivé au hasard de confidences ou à travers des témoignages glanés ici ou là de me rendre compte que certaines personnes sont explicitement ou implicitement en quête d'une sorte de présence tutélaire pour les guider, leur faire atteindre certains objectifs, cela par une discipline de fer qui passe essentiellement par la fessée. D'où l'intérêt pour elles du coaching. Vous-mêmes, ne vous est-il jamais arrivé en tant qu'adultes de regretter de ne pas avoir eu des parents ou professeurs plus vigilants ou même plus sévères ( si si...) qui vous auraient permis de devenir plus performants dans tel ou tel domaine et de gagner l'excellence que vous n'avez jamais acquise ? Peut-être est-ce une manière de se dédouaner ou déresponsabiliser mais néanmoins ce regret existe...au moins chez moi Sur un autre plan une participante de ce blog à ses débuts a confessé avoir réussi à se débarrasser de son addiction tabagique par une fessothérapie rondement menée qui à l'époque avait conduit son fesseur à modifier la posologie et à augmenter considérablement le dosage. En quelque sorte c'est aussi une forme de coaching réussi. Ceci exprimé, permettez-moi, Monsieur le coach, de reprendre vos lignes très concises écrites à ce sujet sur le forum qui certes définissent parfaitement ce qu'est le coaching mais soulèvent en moi bien des questions : "En dehors du fantasme, il y a le réel besoin de certain(e)s d'être recadré(e)s dans sa vie quotidienne. C'est l'objectif du coaching privé directif. Il appartient au meritant(e)s d'assumer que ce n'est pas un pur fantasme et de trouver la personne qui saura les prendre en main", écriviez-vous. En dehors du fantasme... Personnellement voilà un point crucial qui me laisse perplexe et songeuse ! Y a -t-il dans ce cas bien précis beaucoup d'amateurs, d'amatrices ? Des personnes qui, tout en n'éprouvant que déplaisir à la fessée - car si elles y éprouvaient du plaisir, nous serions dans le cadre du fantasme - viennent à vous volontairement et en toute confiance, avec une pleine conscience de leurs défaillances, animées d'un désir de perfection et je dirais d'un admirable esprit de mortification, cela rien que pour se faire recadrer dans le quotidien de leur vie et corriger de façon claquante... ? Et en terme d'efficacité obtenez-vous des résultats probants ? Remarquez, la question posée par votre post du forum est en outre intéressante car elle est tout d'abord de savoir si la fessée adulte, donnée ou reçue, tout à fait indépendamment de la volupté qu'on puisse y trouver quand on est habité par le fantasme, permet de s'amender réellement et de corriger des défauts personnels ou manquements réels ! Ah, que ne suis-je coach dans l'âme ! Car si de temps en temps il m'arrive à moi aussi de sévir de la manière que l'on sait, eh bien je mentirais en prétendant obtenir les résultats escomptés... A quelques nuances près, même s'il y a eu possible expiation sur le moment, un tel reste avec son fichu caractère ( non, non, je ne désigne absolument personne en particulier... ), un tel demeure farouchement obstiné, un tel continue de se montrer chenapan et provocateur jusqu'au bout des ongles, jusqu'au bout des fesses ... Et puis quand de loin en loin il m'arrive d'être "punie" moi-même, comme c'est étrange, il se produit la même chose, j'ai beau promettre ceci ou cela , par exemple que désormais le soir l'extinction des feux se fera à une heure raisonnable, en fait le naturel et les mauvaises habitudes reviennent au galop... Une petite repentance ou quelques bonnes résolutions sous le feu des claques mais toujours pas d'amélioration sensible... Et puis autre question : pour ne prendre que deux exemples peut-on imaginer un titi ou un microbe qui cesseraient d'être vilains ? Désastre ! Ce ne serait tout simplement plus un titi ni un microbe... Terrible constatation, non ? Serions-nous tous une bande d'irrécupérables ? Corrigeables mais néanmoins incorrigibles ? Ou bien ce plaisir suave et légèrement régressif qu'est la fessée nous pousse-t-il à ne jamais nous assagir durablement ? Peut-être que, tout comme pour la confession sacramentelle, peu importe si on retombe dans ses petits travers, il est néanmoins impératif de renouveler régulièrement rien que pour la joie d' être juste acquitté(e) et pardonné(e) ... Et voilà comment la fessée rejoint les profondeurs de la théologie !
Titi 10604 - 27/04/2014 20:56:43 modifié le 27/04/2014 21:25:41 Mike a écrit: Des provocatrices (teurs) ? Quelle idée saugrenue ! Mais qui oserait ? Depuis que Dame Iris veille, la discipline règne et , comme le soulignait Mike, nous sommes irréprochables sur ce plan, par respect pour le site et les justes valeurs qu’il y prodigue. J’ai (du reste…) une cuisine dans un coin, que peut-on y mijoter ? Ellie, si vous avez des recettes… La conclusion de Dame Iris me rappelle le principe de la fessée rédemptrice. Il me plait à penser que certaines fois, un peu à l'instar des vide-greniers de printemps, on aime à remettre les choses à plat pour recommencer une nouvelle année. C’est bien, vous comprenez vite. Exceptionnellement je vous donne une image pour le 0 faute
mistinguette 10605 - 27/04/2014 21:36:43 modifié le 27/04/2014 21:42:30 > 10 coups de planche à la Miss pour son insolence de taille ! Ah, ça, non alors ! Ton stylo sert à corriger les fautes d'orthographe, pas le reste ! Cela ne marche pas, je ne suis pas d'accord ! Abus de pouvoir, hé ! Je crie au scandale ! en plus, c'est Titi qui m'a donné l'idée, et comme chacun sait, je suis jeune et influençable. Grillé mon pauvre Titi, zéro faute, ça veut dire qu'il n'y en a pas, donc l'utilisation du pluriel est erronée ! Héhéhé, c'est combien de coups, déjà, une faute d'accord, rappelle-moi ? Edit : non mais je rêve, il a osé éditer ! Tricheur en plus ! Voilà qui mérite au moins dix coups ! Une fois de plus, tu as raison, Miss chérie. Je retire les 10 coups et te présente mes excuses en te faisant un gros bisou. Merci Tatie, t'es vraiment adorable !
Titi 10606 - 27/04/2014 21:49:42 modifié le 27/04/2014 22:09:31 Mistinguette a osé écrire: en plus, c'est Titi qui m'a donné l'idée, et comme chacun sait, je suis jeune et influençable. Il faut regretter ici que certaines personnes (que je ne nommerai pas, moi) abusent de leur situation et font courir des bruits infondés sur les petits copains. Ma chère Mistinguette, nous règlerons cela à l'amiable à la recré. Vous avez raison, je crois qu'elle abuse, je réinscris donc les 10 coups de planche à Mlle Mistinguette + 10 coups supplémentaires ! Merci Dame Iris, je reconnais là en vous la justice qui vous honore.
mistinguette 10607 - 28/04/2014 10:48:28 modifié par le 28/04/2014 14:21:55 Titi qui n'a pas froid aux yeux a osé la ramener : Il faut regretter ici que certaines personnes (que je ne nommerais pas, moi) abusent de leur situation et font courir des bruits infondés sur les petits copains. Tu oses ? Tu oses nier ! Dis donc, combien de coups ça vaut de ne pas assumer ses actes ? Combien de coups ça vaut de mentir ? Tatie, un chiffre s'il te plait ! Bingo ! 2 coups sauce poivre
Coaching 10608 - 28/04/2014 10:49:20 Pour répondre à Iris, l’expression « en dehors du fantasme » était mal venue s’agissant d’un besoin se situant en fait au delà du fantasme (c’est pour ça que je dis ensuite qu’il ne s’agit pas d’un « pur » fantasme – la lectrice aurait dû comprendre…). Donc les personnes qui se sont adressées à moi dans ce contexte (où le font encore) ont bien à la base le fantasme de la fessée et l’envie de le réaliser. Ceci étant posé, elles ont par ailleurs un réel besoin d’être recadrées, de corriger un défaut, acquérir une bonne habitude, bref de réussir dans un objectif qu’elles ne sont jamais arrivées à réaliser seules. Et elles ont conscience que le coaching directif (dont, entre autre, la fessée réellement punitive) peut être efficace. C’est là où l’on joint l’utile à l’agréable de façon délicieusement perverse car si l’on part du fantasme de la fessée et du jeu, on arrive à un processus pédagogique authentique et à l’occasion punitif. Ce n’est donc plus précisément un jeu, même si l’on ne se prend pas fondamentalement au sérieux, si c’est temporaire et si c’est dans un cadre donné et pas en général. Recevoir une fessée déculottée punitive en étant adulte parce qu’on la mérite, en s’étant fait dire explicitement pourquoi, après avoir admis en demandant à être coachée que l’on avait besoin d’en passer par là car on ne s’en sortirait pas seule, est aussi une excitation mais surtout une humiliation particulière qui n’est pas du même ordre que celles qui interviennent dans la fessée ludique, même si ces fessées sont consenties dans leur principe. On a accepté de ne plus choisir d’être punie ou non dans le strict cadre du coaching parce qu’on a conscience que c’est nécessaire. Comme la coachée à un réel envie de s’en sortir, que la fessée dans ce cadre fait mal et fait honte pour de « vraies » raisons tirées de la vraie vie, en général ça marche. C’est aussi dû au fait que la punition n’est qu’un élément de la pédagogie et qu’il y a beaucoup d’écoute, d’analyses, de conseils et de consignes. Le seul fait de devoir rendre des comptes à un tiers et que ce soit la honte si l’on n’a pas d’excuse valable en cas d’insuffisance est une part de l’efficacité. La coachée, après avoir choisi de ne plus choisir si elle méritait d’être punie ou non, est assez sensible sur la question de sa fierté. Nous ne sommes donc pas ici dans le « plaisir suave et légèrement régressif » de la fessée mais dans la recherche d’un objectif. C’est sans doute parce que vous n’avez pas été punie dans ce contexte et avec l’envie déterminée de vous recadrer avec l’aide d’autrui que la fessée n’a pas eu sur vous cet effet. Encore faut-il partager cet état d’esprit, avoir une envie précise et réelle, solliciter l’aide ; c’est un choix et un processus…
Agramant 10609 - 28/04/2014 11:47:41 Effectivement, il est possible d'utiliser notre fantasme pour parvenir à un but sincèrement souhaité mais pour lequel la volonté seule s'avère insuffisante. Je me souviens entre autres choses d'avoir aidé ainsi une de mes "victimes" à arrêter de fumer. Mais ce n'est pas simple à gérer. Car bien évidemment, quand une personne vient chercher ce type d'aide (ou de "coaching" si vous préférez) avec ce type de sanctions à l'appui... c'est que quelque part elle a notre fantasme et que même si elle en a peur, elle est fascinée et attirée par la fessée ! Et de ce fait, progresser dans la bonne direction doit en bonne logique lui épargner la sanction ce qui, pour quelqu'un qui a le fantasme, peut générer une grosse frustration, pouvant aller jusqu'à l'inciter à "fauter" pour en mériter une et donc aller très exactement à l'inverse du but recherché ! Je me souviens que pour gérer ce paradoxe, j'avais instauré un système à deux vitesses avec des "vraies fessées punitives" dont ma "victime" avait une peur bleue, et pour les fois ou de vrais progrès avaient été réalisés, des fessées "fantasmes" avec aussi un "ton" punitif (c'était vraiment son trip), mais plus progressives et sensiblement moins fortes. Il serait intéressant d'avoir ici des témoignage de "victimes" ayant pu ainsi réaliser un objectif concret, ou à contrario ayant essayé et renoncé...
mikesp 10610 - 28/04/2014 13:24:40 modifié le 28/04/2014 13:27:54 Je n'ai jamais dit que tous les Coachs étaient mauvais, j'ai simplement dit que je n'en n'avais jamais rencontré ou entendu parler de praticables. C'est une nuance qu'il faut prendre à la lettre et pour ce qui est de mon cas, pour les deux seuls que j'ai rencontré dans un club très connu, ils me paraissaient bien trop stricts sur les RDV et dans la manière de faire qui me faisais croire qu'eux seuls prenaient leur pied. Mais quand était-il vraiment ? En fait je ne suis pas du genre à me plier régulièrement à un régime disciplinaire, pour tout dire ça m'est impossible. Autant je peux me soumettre au cours d'un jeu de domination, même pendant un week-end, mais les pauses seront absolument nécessaires au risque d'une lassitude voir d'une rébellion. Il m'est même arrivé de vivre des séjours d'une semaine en jouant, mais là encore ce n'était pas du 24/24, loin de là. Donc si je ne juge les Coachs que par rapport à moi, il est évident que ce ne peut être une conclusion équilibré. Dame Iris à raison, qui n'a pas un jour regretté d'être coaché pour atteindre un objectif, par exemple arrêter le tabac qui m'a bouffé bien plus la santé qu'il ne m'a apporté de plaisir. Je doute pourtant qu'un Coach ait avec moi réussi l'exploit, non que celle ou celui là aurait manqué de conviction, mais simplement parce que les obligations me font horreur et j'ai tendance à m'y opposé avec énergie. C'est d'ailleurs très paradoxale, car une personne qui arrive à prendre l'ascendant sur moi de manière très crédible, me rend très docile, mais seulement dans un temps limité qui peut être très variable et non dans une thérapie durable. Donc mon impression sur les Coachs reste très personnelle et ne peut en aucun cas être une vérité absolue. J'avoue, ce qui me fait rire dans le terme "Coach" c'est l'image que souvent les médias nous montre que ce soit le coaching d'entreprise qui me fait mourir de rire tellement les objectifs me paraissent futiles et presque inhumains, ou le coaching sportif qui me ramène l'image pitoyable d'un certain Coach de natation qui aurait, à mon sens, pu décrocher un rôle d'instructeur dans "Full Métal Jacket" Bon, ça c'est pour la rigolade et plus sérieusement, si des personnes ont été admirablement Coacher et qu'elle y ont pris un grand plaisir, je serais très content qu'elle en témoignent ne serait-ce que pour équilibrer la balance et avoir une autre vision du Coaching. En attendant, je me plonge un peu dans le Bescherelles histoire de ne pas trop être ridicule, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve.
Ellie C. 10611 - 28/04/2014 14:10:36 modifié le 28/04/2014 14:30:26 Oulala ça devient trop compliqué, faut que j'arrête la fessée ! Y a un Coach* dispo ici ? Dixit Titi la plume jaune : "J’ai (du reste…) une cuisine dans un coin, que peut-on y mijoter ? Ellie, si vous avez des recettes… " J'ai des recettes de tartes salées en pagaille ! Quand tu veux l'oiseau rare ! * Un vrai, pas un simili cuir, merci !