Je suis presque certain qu'une cuite au vin blanc d’Alsace, fait plus mal à la tête qu'une fessée.

Disons que, addiction pour addiction et euphorie pour euphorie, il y a en une qui comporte surtout moins de risques de maladies dégénératives... Au contraire la fessée, ça semble l'assurance d'une jeunesse prolongée, plus efficace que la cure de jouvence de l'Abbé Soury...
C'est toujours avec un infini plaisir que je me replonge dans le récit du site qui s'intitule "Soeur Jeannine", la soeur piqueuse qui ne ménage pas sa peine pour infliger autant de fessées qu'elle fait de piqures et ne cesse de remercier le Bon Dieu d'avoir créé cette chose absolument fabuleuse qui s'appelle les fesses - un récit croustillant qui fait bien ressortir les mille vertus de la fessée , éducatrice, thérapeutique, pacifiante, antidépressive et tutti quanti ..

La prochaine fois que je vais chez le médecin, je lui demande une ordonnance.

Petit martinet de bazar, c'est de la daube !

martinet de tapette, moi je dis !

Je viens de comprendre pourquoi l'étiquette de vin d'Alsace postée par Iris me rappelait quelque chose : elle était décrite dans un récit (excellent d'ailleurs) de Jean-Jacques "Les fessées cul nu de Kröv" :

En effet, sur toutes les étiquettes du vin de Kröv est représentée la même scène : dans une cave, un vigneron jovial fesse un petit garçon déculotté, qu'il tient le plus souvent sous son bras. D'où l'origine de « cul nu ».

Vous trouverez ledit récit ici : /recits_ext/jeanjacques/krov.php

Attention, Mister Agramant a posté... Mister Agramant le grand come back !

Allez tous, une ovation pour papi ! Hip hip hip...

y a que chou qu'est bien élevé ici !