Retour sur le sujet précédent ( le physique et la fessée) avec un petit train de retard qui me devient coutumier...

Hé les filles, si vous avez 20 ans et êtes "taillées microbe" ( adorable expression...), petit gabarit tout en muscles à la fesse de surcroît espiègle et super vitaminée, silhouette toute frêle, combien attrayante pour un fesseur, du style 44 petits kg pour 1,54 m ou tout juste quelques centimètres de plus, profitez-en, car même en faisant attention à soi, il y a des risques qu'avec le temps ces proportions idéales ne vous abandonnent progressivement ! Ou alors, bien avant même d'avoir doublé les années, bannis à jamais les moelleux au chocolat, la crème anglaise, les esquimaux, les glaces Berthillon et autres petites douceurs accessoires mais qui agrémentent tellement la vie... Sans compter bien d'autres paramètres qui peuvent altérer la silhouette initiale !

De mon côté je mentirais en disant que, dans la réalisation de ce fantasme, le physique masculin m'indiffère totalement. On est toujours plus sensible à ce qui est harmonieux et naturellement distingué qu'à ce qui ne l'est pas... Toutefois ne pourraient être rédhibitoires que des critères qui ne sont pas purement physiques tels la vulgarité, la totale négligence de soi ou le côté terrifiant évoqué par Ellie... Or le risque d'en arriver à ces rencontres de type extrême sont minimes puisqu'elles sont généralement précédées d'échanges les plus divers et consistants qui le plus souvent en disent déjà long sur l'équilibre et la personnalité de celui qu'on s'apprête à rencontrer en chair et en os.
Il est vrai que les critères purement physiques font généralement peu l'objet des correspondances préliminaires et que se retrouver de façon imprévue aux prises avec un véritable mastodonte pour "jouer à la fessée" ( style 130 kg et 1,95 m ) quand on est soi-même une femme relativement fragile et de petite taille, surtout si on a perdu l'extrême souplesse de ses vingt ans, pourrait avoir quelque chose de disproportionné et donc d'effrayant, encore que... ce n'est pas pour rien que j'aime la BD Ernest et Célestine !
En tout cas, de mon point de vue non plus, l'essentiel n'est nullement dans le physique ou l'apparence esthétique : s'il s'agit du fesseur m'importent bien davantage son charisme et sa personnalité, alliant idéalement de façon très subtile grande fermeté, humour et sollicitude; s'il s'agit de l'homme fessé, l'important c'est que d'une manière ou d'une autre il touche une corde sensible au fond de moi et soit capable de réveiller tout autant l'instinct maternel en moi que l'enfant qui sommeille en lui ... En oubliant les années !
Dans les deux cas la concordance de sensibilité et de fantasme me parait bien plus fondamentale que tel ou tel paramètre purement physique ou esthétique.
Et puis même si bien évidemment, comme se plait à le souligner Agramant, dans la fessée le contact est primordialement physique ( c'est le contraire qui serait étonnant... ), parvenue à un certain tournant de ma vie et ayant conscience que le temps réservé à l'essentiel est précieux, je suis encline à penser que les vraies rencontres, masculines ou féminines, fussent-elles dans le contexte de ce "jeu" qui n'est pas tout à fait futile et anodin car il fait appel à tant de composantes de notre moi intime, se font avec le coeur et sont d'une certaine façon rencontre d'âmes...

Mais au fait, perdue dans mes considérations, avais-je le droit d'évoquer l'homme fessé ? Je ne sais puisque Dieu a dit " Que les choses soient claires : vous ne trouverez pas de fesseuses ici, il n'y en a pas (ou d'une manière si marginale qu'on ne peut pas vraiment parler de "fesseuse"), (30/03/2013). Et, selon le titre célèbre, Dieu est Dieu, nom de Dieu ! Qu'on se le dise...

Coucou les amis, me revoilou ! Mais je ne fais que passer, M'sieur Agramant voulait me virer tellement je suis inactive. Pas question ! Là je pars demain en vacances avec mon amoureux-amant-mari, mais promis-craché-juré dès septembre, je reviens et je vous raconterai de jolies histoires.

Alors "Vous est il déjà arrivé de refuser de fesser votre complice car elle n'était pas a votre goût ? Si oui pourquoi ? "...

En ce qui me concerne la réponse est OUI, quoique vous verrez que celà s'est arrangé et ce n'était pas vraiment une histoire d'être "à mon goût" ou pas... Je m'explique :

Il s'agissait d'une partenaire (à fesser) que je rencontrais pour la première fois.

Nous avions maintes fois échangé des mails pour voir si nous étions bien en phase et pour préciser les conditions de cette première rencontre au cours de laquelle une fessée devait bien avoir lieu.
Rencontre était prévue dans un café. (J'aime assez ce lieu de RV que je trouve assez sécurisant pour la dame, qui peut ainsi juger en public et donc en toute quiétude de l'aspect correct, respectueux et bien élevé de son partenaire, moi en l'occurrence).

J'y étais, j'attendais.
La dame arrive.

Présentations, salutations d'usage... et nous en venons rapidement au sujet.
Je lui fais alors remarquer qu'elle n'a absolument pas respecté ce que nous avions convenu, c'est à dire de venir en jupe, puisqu'elle arborait fièrement un jean, certes de bonne facture, mais qui reste, de mon point de vue, un vêtement tout à fait contraire à l'esprit de la fessée.

Je sais, je vais paraître sans doute vieux jeu et trop intransigeant mais c'est ainsi, pour moi, la fessée sur des fesses féminines ne peut se concevoir que si la dame porte une jupe, que l'on peut trousser avant de précéder au déculottage.

Elle m'explique que : "Oui... c'est vrai, c'était bien précisé..." mais pour une première rencontre elle se sentait plus à l'aise dans son jean et que une fois celui-ci baissé... son postérieur me serait tout autant offert.

Mais je demeurais effectivement intransigeant et lui signifiais que je considérais cette désobéissance non pas comme une raison de la fesser plus fort, mais comme une raison de ne pas la fesser du tout, voilà ce qu'elle méritait !

Je vous passe les détails de nos échanges, je la sentais bien contrie, mais comme finalement j'avais le temps, elle aussi et qu'elle avait eu l'occasion de m'informer tout au début de la conversation qu'elle n'habitait pas loin, je lui proposais un "rattrapage" en lui précisant que je trouvais la librairie voisine intéressante, que j'irai volontiers y fouiner une heure, et que l'on pouvait donc se retrouver de nouveau au même café une heure plus tard à condition que cette fois elle y vienne en jupe et je précisais "une jupe qui se trousse facilement", textuellement "d'un seul geste" !

Elle accepta.

Moyennant quoi je lui dis que sa désobéissance méritait tout de même une contrainte supplémentaire, donc elle devrait venir nue sous sa jupe et me montrer en arrivant qu'elle avait bien respecté cette consigne (je lui assurais toutefois que je la laisserai évidement me montrer celà avec toute la discrétion qu'elle souhaiterait mais que celà devrait se passer au café même !)

"Le jeu dut plaire à l'ingénue..." comme dirait Georges...
Elle accepta... et tint parole !

La fessée ce cette fin de journée fut particulièrement troublante pour nous deux je pense. Nous sommes restés de joyeux complices pendant plus d'un an, (de mémoire une dizaine de RV-fessée) et puis un jour... tristesse
Elle m'annonça qu'elle allait se marier et qu'elle pensait qu'il valait mieux arrêter nos rencontres...

Je conserve d'elle un souvenir très très agréable