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Le site rose: AGRAMANT
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Le but du blog est de permettre à tous d'échanger nos points de vues, expériences, interrogations, remarques, etc. sur le fantasme qui nous est cher.

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Agramant avatar plus
8114 - 17/07/2012 12:35:35

Indéniablement, oui.

C'est vrai aussi pour le fesseur la première fois qu'il officie, mais ça vous devez vous en souvenir, j'imagine. Mais c'est encore bien plus vrai pour la "victime" lors de sa première fessée. Pour peu que "l'accompagnement psychologique de l'avant" ait été bien fait, il y a une émotion presque palpable tellement elle est intense quand arrive l'instant fatidique.

Bien sur -et heureusement- cette émotion sera encore au rendez-vous par la suite, mais la "première" a véritablement un côté magique et unique, c'est en tout cas ce que je ressent.

Et avec une partenaire que l'on connait bien, arriver à la surprendre et à lui refaire un peu peur (une "bonne" peur évidemment, il ne faut pas qu'elle croie qu'on a pété les plombs), est une manière de revivre un peu l'émotion spécifique de la "première".

Ceci étant cela n'empêche nullement d'avoir une belle histoire avec une partenaire qui n'a pas vécu sa "première" avec vous. La "première" est spécialement prégnante mais elle ne fige pas l'avenir !

Maintenant, ceci n'est bien évidemment que mon ressenti et il serait intéressant d'avoir l'avis de nos charmantes "victimes" !

Iris avatar plus
8116 - 18/07/2012 02:35:29 modifié le 18/07/2012 14:13:44

Oh, une fois n'est pas coutume, face au silence en dépit d'un sujet motivant, le petit diablotin qui vient de façon énigmatique de disparaître au beau milieu de la nuit semblait tout esseulé, tout tristounet et tout perplexe !

En fait ce n'est pas qu'on vous snobe, Agramant, ni que le thème abordé soit dénué d'intérêt, loin de là, il est même tout à fait passionnant. Mais les "charmantes victimes", dont certaines sont peu prolixes en ce moment, ne seraient-elles pas chacune à leur façon et sans s'être donné le mot, quelque peu... raplapla ? Les remous intérieurs et extérieurs, les turbulences de la vie sans doute ! Et, dans un certain contexte de méforme ou de fatigue , fussent-elle passagères, le risque est toujours que ce ne soit pas seulement les neurones qui deviennent inertes mais les fesses elles-mêmes qui se fassent subitement ou progressivement fainéantes... Alors que Dieu nous garde de ce danger, que la forme finisse par revenir aussi soudainement que le soleil au beau milieu de ce mois de juillet et que chacune à son rythme reprenne la plume ...!

Bref, pour rentrer dans le vif du sujet amorcé par Mike et que vous venez de développer avec la richesse de votre expérience, Agramant, je dirais quant à moi, quitte à y donner une réponse superficielle en cette heure indue que, pour des raisons de santé et d'équilibre, je m'étais pourtant promis de ne plus jamais atteindre ( ah, ces blogs qui sont là pour vous perdre ...) :
- Toutes les étapes de la fessée ont leur importance : les préliminaires, le cérémonial qui l'entoure, l'exécution du châtiment, le contact chaleureux qui peut s'établir immédiatement après. Toutefois il est vrai que la période d'attente immédiate de "l'évènement" auquel on sait ne plus pouvoir échapper, la phase ultime où on est partagé entre les sentiments les plus contradictoires, où l'envie et le désir se battent avec une certaine appréhension, est pourvue d'une saveur particulière. Car c'est aussi la phase où l'imagination se trouve le plus sollicitée, les cuisants souvenirs d'antan ravivés, et puis celle qui a en quelque sorte un délicieux avant-goût de fruit défendu !
- S'il existe bien une émotion spécifique et parfois foudroyante liée à la toute première fois, chaque fessée ultérieurement réussie a une saveur qui lui est propre et, à la condition de ne pas laisser la relation s'enliser dans la routine et de ne pas en faire une pratique systématique, il me semble que, nos fesseurs étant des artistes, la fessée peut encore surprendre et avoir un "goût de première fois" à la condition de garder un peu de son caractère tout à la fois transgressif et vitaminé ... Plus facile, me semble-t-il, quand il s'agit de partenaires se rencontrant de temps à autre qu'au sein d'un couple constitué, mais d'autres auront peut-être sur ce point une expérience différente à apporter.

petit canaillou avatar plus
8117 - 19/07/2012 12:47:46 modifié le 20/07/2012 09:20:04

Je partage tout à fait l'avis de dame Iris: toutes les étapes d'une fessée sont importantes et génèrent des émotions toutes très différentes.
De la provocation ayant pour but être d'en menacé, à le promesse suivie du passage à l'acte avec : ordre d'approcher, de se positionner sur les genoux du fesseur ou e la fesseuse, gronderie, début de la correction sur la jupe ou le short, déculottage progressif du rythme et changement de celui : accélération, accentuation de l'intensité des claques, caresses destinées à atténuer la douleur , reprise des claques et de la sonorité jusqu'au plaisir final des 2 protagonistes.
Tout un condensé de sensations.
Un orage bienfaisant suivi de l'accalmie et du câlin final.

marinette avatar plus
8118 - 21/07/2012 13:09:28

Bonjour à tous, je reviens vers vous après une longue panne d'internet (qui n'est d'ailleurs toujours pas réparée mais bon je me débrouille un peu autrement)

C'est un sujet assez intéressant qui est abordé en ce moment ici. Je vais essayer d'y répondre le plus honnêtement possible. Je pense déjà qu'il y a deux phases dans l'attente. Il y a d'abord toute l'attente bien au chaud chez soi, loin de son fesseur (si ce n'est pas votre conjoint bien sûr), cette attente sert surtout à accumuler les bêtises et à provoquer le plus possible. C'est un moment assez riche mais très en dent de scie, il y a de longues périodes de calme plat, surtout si la date de la rencontre est lointaine, et des gros pics de stress. Quand vous venez de provoquer à distance votre fesseur et que vous recevez un petit message comme "Fais gaffe à toi!" ou "Ca va fumer", je sais pas pour vous, mais moi mon estomac fait des loopings. La peur, l'attente, tout se mélange et à un moment on est tellement à point qu'on souhaiterait tout expier le plus vite possible.

La deuxième attente c'est lorsque vous êtes avec votre fesseur mais avant que tout ne commence, alors là pour moi ça devient dur de suivre une conversation, tellement votre esprit vagabonde, c'est le moment le plus cruel de tous, je pense que si j'étais du côté fesseur je le ferai durer un peu juste pour voir les yeux affolés de la "victime"!

Et puis la fessée en elle même c'est la délivrance, je ne saurais dire ce que je préfère, mais c'est vrai que le petit cérémonial juste avant le début de la fessée est particulièrement riche en émotions!

Bon j'espère que je ne suis pas trop tombée dans les lieux communs avec ma réponse!

Bon WE à tous

Iris avatar plus
8119 - 22/07/2012 00:19:11 modifié le 22/07/2012 00:57:06

La distinction opérée par Marinette entre les deux phases de l'attente est bien vue : c'est vrai qu'il y en a une à distance beaucoup plus confortable que l'autre, où l'imagination divague mais le temps s'éternise tandis que, lors de celle qui précède directement la fessée, on a beau donner le change en parlant de choses et d'autres, l'esprit commence à s'affoler et intérieurement il faut bien avouer qu'on n'en mène pas large ...
Mais par ailleurs c'est drôle comme les ressentis sont différents, car si un fesseur me disait : "Fais gaffe à toi !" ou bien :" ça va fumer !", non seulement ça ne m'impressionnerait pas, mais il y aurait de fortes chances pour que ça déclenche mon hilarité, je lui demanderais s'il se croit dans une cour de récré et de telles expressions de gamin dans sa bouche seraient de nature à réduire considérablement son autorité et le sérieux qui sied naturellement à sa fonction... Et, en cas de récidive, je lui demanderais même si c'est pas lui qui en mérite une bonne... hé hé !

S'il advenait par hasard que ton fesseur lise ces lignes, Marinette, qu'il ne croie surtout pas que je me moque de lui, en fait je n'oserais jamais me moquer des fesseurs... Ce sont des messieurs très dignes qui méritent tout notre respect, pas vrai ?

petit canaillou avatar plus
8120 - 23/07/2012 14:08:44 modifié le 23/07/2012 14:09:18

Dame Iris, si vous les respectez trop vous ne leur fournirez jamais le prétexte d'une bonne fessée.

Quoique quand on connait leur mauvaise foi, ils ou elles trouvent toujours une bonne ou mauvaise raison.

Iris avatar plus
8121 - 23/07/2012 15:21:39 modifié le 23/07/2012 23:57:05

Pas de souci pour le prétexte, Petit Canaillou, quand ils sont motivés, ils en trouvent toujours un, plus ou moins bon ... A moi seule j'en fournis déjà trois : éternellement pinailleuse ou chipoteuse, déraisonnablement fumeuse et peu dormeuse ...
Par ailleurs je persiste et signe : respect et reconnaissance à nos fesseurs, tous nos fesseurs, ceux qui ont pignon sur rue, ceux qui l'ont moins et se lancent courageusement dans l'aventure, ce sont souvent des artistes, des aventuriers, de gentils redresseurs de torts qui ont le plus grand souci de notre bien, bref ils sont parés de beaucoup de qualités rares ...
Mais s'il arrive parfois, de loin en loin, qu'ils se comportent en gamins, usent épisodiquement de leur mauvaise foi, j'aurais tendance sur le moment à les prendre un peu moins au sérieux dans leur éminente fonction et à saisir tout naturellement l'occasion, pour ne pas dire l'aubaine, d'inverser les rôles et de les faire habilement descendre de leur piédestal... Ainsi est Iris !

Agramant avatar plus
8123 - 23/07/2012 17:45:04 modifié le 23/07/2012 17:56:34

Re re re ... rappel

Pas de "petites annonce" ou d'appel genre "fessez moi svp" (ou le contraire) sur le blog !!

(et sur le forum, pareil)

petit canaillou avatar plus
8124 - 24/07/2012 12:30:52

Ce que décrit là Dame Iris c'est l'histoire de l'arroseur arrosé transformée en fesseur fessé.

Comme quoi rien n'est jamais définitif.

petit canaillou avatar plus
8125 - 25/07/2012 11:19:18

J'ai tendance à trouver que nos artistes fesseurs avérés ou en herbe, pas si folle que ça ne se manifestent guère sous nos latitudes.
Le métier se perd dans les échoppes de nos grands pères.

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