Coucou !

Hey Petit Chap, reviens ici immédiatement !

Bon, je suis en panne ! plus rien.... Page blanche !

Je me pointe sur le blog en me disant je vais sortir une grosse connerie sur la fessée et puis une fois là, que dalle.

Pas de numéro vert de secours.... Hargghhhh !

Pourtant y'a de quoi délirer sur la fessée.

Et bien non, ce soir j'ai le ciboulot en grève.... Un bug, comme Orange.

Une bande de malfrats m'aurait-elle taxer mes cables ?

Lettre de confession...

Cher ami,

Je suis toute émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. A vous je veux me sou-
mettre entièrement.

Votre poupée



.....Maintenant relis là en sautant une ligne à chaque fois..... ;-)

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Oui mais il ne faut pas oublier la reponse de Sand a Musset:
(cette fous ci le premier mot)

" Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux."



(tres jolie agraminou !)

Il existe aussi cet échange savoureux de correspondances, après qu'un Monsieur, lors d’une soirée, ait insolemment donné une grande claque sur le postérieur d’un Dame. Craignant des suites fâcheuses pour lui, même éventuellement judiciaires, il envoie le lendemain un billet à la dame, ainsi libellé :

Madame, si vous avez le cœur
aussi dur que le cul,
je suis perdu.

À quoi la dame répondit :

Monsieur, si vous avez la chose
aussi dure que la main,
venez demain.

J'aime bien ce jeu riche d'écrits et peut-être une préférence pour la dernière un brin osé.