Désolé de vous contredire miss Marinette mais, à quantité égale, le dQ/dt est plus important avec l'alcool qu'avec l'eau (même si la quantité de chaleur globalement empruntée par l'alcool est en effet moindre)

Pour vous en convaincre versez la meme petite quantité d'eau et d'alcool sur votre peau, vous verrez que la sensation de frais est plus forte la ou est l'alcool !

Et si je vous remet la main dessus, vous allez éprouver une nette sensation de chaud sur une partie précise de votre anatomie, non mais !

Je ne reconnais rien du tout, non mais !! Sinon qu'en effet on ne va pas encombrer le blog avec ca, je serais obligé de m'élaguer moi même

Moi ce que je voudrais savoir c'est la quantité de chaleur émise par le fessier de Marinette quand Agramant va lui mettre la main dessus et le temps que ça va mettre à refroidir sans apport d'eau et d'alcool.

Par la même occasion, savoir également combien de temps après avoir reçu la copieuse fessée promise, Marinette va en ressentir les picotements.

Et comme je sens Agramant particulièrement en forme, en combien de temps Marinette va retrouver une égale douleur, voir suppérieure, à l'administration de la seconde fessée.

Peut-être cela me donnera des idées pour F5 (rire)

ah oui tiens moi aussi j'aimerais bien savoir !
Mais tu rigole Mike !? seulement 2 fessees ? c'est rien du tout ca ! a peine le debut de l'apero ! je te rapelle que l'on a pas a faire a n'importr qui ! non non on a la un "vieux debris" cest comme ca que tu dis non ? de compet' ! mdr ! lec**-c**


Bon alors Marinette...? tu as compris ce qu'il te reste à faire ? on veut un joli compte rendu! je vais meme t'offrir le chronometre (mais un qui mesure en heure voir en jour !


mais sinon il y a chose que je n'ai pas tout à fait comprise..
Papi a dit :
" [...] mais ma "victime" a tellement ri devant ça que je n'ai jamais recommencé ! "
alors faut que l'on m'explique une chose...??
quoi qu'il arrive, le fesseur n'est pas censé recadrer sa/son partenaire ?
la c'est le monde à l'envers ! je crois cher Agraminette qu'apres avoir lu ca les "victimes" se diront "ah ben y'a juste à se.fendre la poire un bon coup pour qu'il ne recommence plus !"
hum... et apres on va ou ... !? les fesseurs ne sont plus ce qu'il etait ! ;)

Je sens que la prochaine rencontre va être d'intérêt scientifique! Je suis pas sûre de pouvoir être publiée dans une revue de sciences avec ça... quoique quand on voit les sujets des IgNobels y a de quoi rire aussi!

Tout fessier recevant une main propulsée de haut en bas, reçoit une poussée égale au poids etc.

C'est le truc d'Archifesse je crois.

Cela se passait avant que je rencontre mon copain actuel. J’avais été profondément troublée par la première fessée que j’avais reçue.
Je me suis promenée sur différents sites, découvrant, stupéfaites, le nombre de sites sur ce thème, des photos, des vidéo.
Certaines m’ont attirée, intriguée, j’en avais le cœur tremblant, de honte , de peur, d’excitation. Une particulièrement. LA jeune femme était attachée, bras et jambes en croix, nue, couchée au sol et attachée. Un homme la fessait au martinet.
Combien de fois ai-je regardé cette vidéo….
JE connaissais le nom de mon fesseur initiateur, alors j’ai cherché, j’ai trouvé son site d’auteur et je l’ai contacté, sans lui dire qui j’étais. Sous prétexte d’une dédicace, nous nous sommes retrouvés dans un café.
Il fut surpris de me voir. Alors, je lui ai dit, tout en vrac,, d’un trait, après avoir bu cul sec un martini pour me donner du courage.
J’étais morte de peur, morte de honte quand je suis arrivé dans cet entrepôt. Mon cœur allait exploser quand il m’a dit de retirer tous mes vêtements, de me coucher à même le sol froid, froid de ce carrelage blanc.
A chaque étape, il me demandait si je voulais arrêter. Je disais non, mes pensées hurlaient oui.
Offerte, j’étais offerte et si jamais…. Je ne pouvais rien faire…. Mais non, seule la lanière du martinet m’a fait poussé un cri de surprise, suivi d’un autre, et encore et encore. JE pleurais de honte plus qu’autre chose, honte d’aimer cela, d’être fouettée, humiliée. Mes fesses, je les sentais chaudes, chaudes, un peu plus à chaque coup que je comptais malgré moi.
Allait-il s’arrêter au nombre prévu entre nous ? J’étais là, punie, fouettée comme je l’avais souhaitais, rêvé devant cette vidéo, je me voyais, je m’imaginais, j’étais au dessus de moi, et je savais que j’allais me voir, puisque tout était filmé….
Cent claques. Il s’arrête, j’ai mal aux fesses, mal dans mon être d’aimer cela. Je suis double, il y a 2 Caroles, l’une veut fuir, partir, aller pleurer de honte cachée au fond de sa baignoire, mais c’est l’autre qui demande encore 10, mais 10 sévères, à hurler, à pleurer de mal, 10 de vraie punition, que j'ai reçus
Merci à Vous, Monsieur dont je ne peux citer le nom