Désolé M. l'ours, mais en guise de bienvenue je vous écorche votre pseudo : en effet mes scripts supportent visiblement très mal la présence d'une apostrophe dans le pseudonyme.

C'est un bug, (ne rêvons pas il y en a sûrement d'autres) je corrigerai dès que j'aurai un peu de temps, promis, mais en attendant, on va éviter les apostrophes (et les guillemets aussi du reste) dans les pseudos...

Hé ho, du bateau!

Y a t'il quelqu'un qui poste ici ce soir?

Lors de la première rencontre fessée, (voire de la deuxième avec le/la même complice) :

Le fesseur fait preuve d'imagination,

Une complicité nait.

Le dialogue se crée.

Les émotions sont de la partie.

Mais qu'en est-il par la suite ?

Ce même relationnel perdure t-il dans le temps ?
Y a t-il éloignement ? Les complices restent-ils toujours des complices avec ce même relationnel humain ?

Sa"victime consentante aussi d’ailleurs qui plus çà va, plus ose se lâcher et demander davantage: force des claques, intensité, usage d'un instrument, mots crus, câlins et reclaques, remarques vexatoires et, j'en passe.

La victime demande a son fesseur...Cela m'inspire réponse..

Pour ma part, je préfère laisser l'initiative de la fessée au fesseur. Je m'imagine pas en position de demandeuse. Je préfère la découverte..ce petit piquant supplémentaire...

Bien sûr, s'il y a désaccord, il ne faut pas hésiter à le signifier et même à refuser..

S'il y a complicité et confiance, cela ne devrait poser aucun problème.
Les protagonistes se connaissent et sont plus aptes à se comprendre.
Le fesseur a la capacité de ressentir ce que souhaite sa victime. Il ressent sa victime...Au même titre qu'il sait s'arrêter sans qu'il ne soit besoin d'entendre prononcer un mot magique...selon moi évidemment.

Ceci dit, je conçois parfaitement qu'il puisse y avoir des demandes, de la part de la victime.

Bien sur qu'il peut y en avoir.

D'autant que la symbiose entre les 2 ne se fait pas à la 1ère rencontre.

Et, à moins d'être très expérimntés le fesseur ou la fesseuse ne perçoit pas forcément tous les désirs de sa "victime".

C'est une utopie de penser le contraire.

"Pour le reste, je ne me sens pas habilitée à m'exprimer, dans la mesure où j'ai rarement pu exprimer mes désirs. Je ne l'ai même pas souhaité d'ailleurs, la fessée restant à mes yeux une "punition" où la négociation n'a pas sa place."


Je suis en adéquation avec ces propos. En effet, la fessée devient une punition. La logique dit qu'elle ne peut être négociée...sinon, ce ne serait plus une punition...

Le fesseur a une raison pour punir le ou la récipiendaire...Le motif évoqué est sans appel...

Je pense bien que les fesseurs ne sont pas des bourreaux.

Un pupille est un "Orphelin mineur sous tutelle"..je ne me considère pas comme telle...

Victime est le terme utilisé par nos amis fesseurs...Je l'ai lu sur ce site, à plusieurs reprises !!! (note que j'ai changé de terme)

As tu constaté que je mets toujours victime entre "guillemtets"?

Cela signifie donc que je ne le pense pas ou que l'on peu être victime volontaire.

Ce n'est pas un bourreau ou une bourelle que l'on va voir et avec qui on joue.
Mais, un être humain à qui en général on fait confiance.

Appelle toi pupille si tu trouve le terme plus approprié.

Mais la fessée n'est pas toujours vécue come juste une punition.

Même forte, très quelques fois come elle s'accompagne demots et de gestes qui démentent un peu son côté simplemet punitif elle peut être source de plaisir.

Bonne nuit à toi.