J'entends par là qu 'il faut prendre ses précautions, se mettre bien d'accord et, au besoin reparler de ce dont a vraiment envie.

Pour ne pas risquer une erreur de casting.

Je ne voudrais pas te contrarier, Frère Jacques, mais le jour de la rencontre, l'heure n''est plus tellement aux paroles mais aux actes. Le (ou la) puni(e) éventuellement encore un peu timoré(e) ou hésitant(e)peut essayer de retarder le moment crucial où il (elle) va devoir assumer sa présence mais ... il (ou elle) n'y échappera pas, c'est certain.

Un petit verre de vin (il ne m'en faut pas plus parce que je bois très occasionnellement et que ça me monte très vite à la tête)suffit pour rendre euphorique ... voire provoquer des fous rires. Ca m'est souvent arrivé avec un copain que j'apprécie beaucoup et à qui je voudrais vraiment offrir ce plaisir de me voir rougir. Mais, c'est long à se mettre en place : gageons que le jour où il y arrivera enfin, je vais la sentir passer cte fessée que j' mérite ...

Aller un petit passage furtif...demain journée lourde !!!

Est-il nécessaire de faire une analyse de la séance ?
Les complices parlent après la fessée mais pas de ce qu'il vient de se passer...Généralement, la conversation porte sur tout et rien mais pas sur la fessée donnée ou reçue..ou du moins, il n'y a pas d'analyse...

Après un petit mail, un petit récit oui...mais une analyse à chaud...non...
Cela ne m'inspire pas...