Les filles, vous avez raison, nous sommes toutes d'accord : refusons la tante, préférons lui le neveu ..., surtout s'il aime le djembé ...!

le temps passe et j'ai du mal à venir régulièrement!! et c'est bien dommage car les sujets sont toujours intéressants.

Alors pour le timing, idem pour moi, si on me fait attendre, je me mets en mode "qui me parle???" et voilà! Mais bon je n'ai pas ce souci là bien au contraire!!

Quand on annonce une fessée punitive, si elle se fait dans un ou deux mois, aucun intérêt. Moi j'oublie et les petits frissons à l'annonce de cette dite fessée disparait au fur et à mesure que le temps passe et l'envie aussi! et surtout arrive la déception et je trouve cela terrible!!

A la question du sommeil après la fessée, je crois avoir dit un mot la dessus, mais je ne me rappelle plus, alors oui moi cela me fait dormir, je l'ai souvent reçu dans le but là aussi, et encore maintenant quand je suis trop stressée. Cela me détend et je dors une nuit entière!

L'attente trop longue nous fait délaisser le fesseur et vice et vera. (si cela se reproduit, la première fois il y a tolérance...dirons nous)

C'est compréhensible dans le sens où l'envie est là mais n'est pas assouvie.
Et si elle est assouvie..elle n'a plus de sens car trop tardive....la motivation disparait...la punition est caduque.

L'éloignement géographique en est certainement une cause. Le planning professionnel chargé de l'un des deux ou des deux est aussi un handicap.
Le fesseur a trop de récipiendaires à fesser...la fessée a trop de fesseurs à rencontrer...non, pure utopie là !!!

Bien sûr il existe un tas de raisons à ce constat, mais cela n'implique t-il pas qu'il est dans un premier temps préférable de choisir un fesseur ou un(e) fessé(e) proche de son lieu de résidence ou de travail...(à moins d'avoir des possibilités de déplacements)
Une épine est ainsi retirée..ensuite..les aléas existent toujours...

Pour répondre à Marie, oui, les aléas existent toujours ... pfffffffffffffff ... qu'elle est dure et longue la route qui mène au à son alter ego en discipline brûlante ...

Bonne journée à tous ...

Pour l'éloignement géographique, par exemple, des solutions peuvent toujours être trouvées mais les aléas persistent. C'est indéniable.

Je suis d'accord avec vos propos Iris.
La patience peut réserver de jolies surprises et lors de l'aboutissement faire vivre de grands moments d'émotion.

Le tout est néanmoins de définir le mot patience dans le temps.

Dans les exemples cités, la relation était présente, le contact se faisait par les moyens mis à notre disposition (internet, téléphone, etc).

Dans l'histoire de la femme qui aura mis Trois années avant de rencontrer son fesseur, cela me parait être une situation exceptionnelle.

Peut être la future "victime" n'était elle pas vraiment prête à franchir le cap, d’où l'attente si longue avant l'acte.Elle a correspondu assidument avec son futur fesseur. Lui ne devait-il pas avoir que cette femme comme victime ?

Pour ma part, trop d'attente engendre vraiment de la lassitude à plus forte raison si le fesseur n'est présent que de manière aléatoire..

Cela soulève de nouveau le problème des relations fesseurs/fessés(es). Là, il s'agit des échanges avant acte.

Le fesseur ne veut-il que fesser ou s’intéresse t-il à "l'humain" et le ou la fessée que recherche t-elle...

Bonsoir!

Vous êtes tous aux abonnés absents ce soir?

Dommage!

Non pas d'abonnés (es) absent (es)..tu sais que c'est signe de lassitude ça ?

Je crois que nous avons tout simplement fait le tour de la question...

Ce que tu dis est intéressant :

Je la savoure et veux en garder longtemps le délicieux bénéfice.

Revis tu ta fessée ou en garde tu des stigmates(gentils bien sûr) ce qui t'aide à te souvenir plus longtemps ?