Anniza 5201 - 24/09/2011 19:33:47 Parce que tu as peur qu'il t'en remette une dans ton sommeil ? Mais sois sans crainte Marie : ça te réveillerait ! Bonne nuit à tous, je retombe dans le piège du chat ...
Iris 5203 - 24/09/2011 22:33:10 modifié le 25/09/2011 05:52:58 "Y en a d'autres qui comme moi s'endorment aprés la fessée ?" demande Anniza. Non, pas sur-le-champ, après la fessée j'aime trop goûter à ce moment câlin unique et irremplaçable où on se sent comme un chaton ronronnant chaudement pelotonné contre la poitrine de son fesseur, mais en revanche, durant la nuit qui succède, la grande insomniaque que je suis dort généralement aussi profondément qu'un bébé, ce qui relève presque du miracle - en tout cas l'une des vertus thérapeutiques de la fessée qui n'est pas la moindre ! Tiens, il y a un sujet intéressant là-dessus sur le forum, faudra que j'y aille ... Mais revenons brièvement au sujet du jour, le timing, les délais, la fréquence ... Comme je l'ai dit hier, pour garder toute sa saveur, la fessée se doit selon moi d'être un évènement marquant dont on rêve, auquel on se prépare intérieurement et le temps imparti entre la mise à exécution du "châtiment" et son annonce doit être suffisamment long pour ne pas escamoter une phase d'attente et de désir exacerbé que j'estime cruciale dans le fantasme ... Pour ma part j'aime bien la comparaison faite par Petit Chaperon avec les Noels de notre enfance dont une partie de la magie aurait été rompue s'ils n'avaient été précédés par une intense période de rêves, préparation et attente ( qui ne veut pas dire programmation de tout, laissons la place à l'imprévu de la fête !). Comme les enfants d'autrefois il me plait encore aujourd'hui de rêver à certains cadeaux, et d'une certaine façon la fessée en est un, de les imaginer sous toutes les coutures, bien avant d'en avoir la jouissance. Peut-être suis-je avant tout une grande fantasmeuse mais, dans le domaine de la fessée, le temps du désir préalable me semble tout aussi important que celui de la réalisation ! Alors maintenant, quant à la fréquence, pas de normes, mais il importe, me semble-t-il, de trouver une juste mesure entre la rareté de l'opération qui peut engendrer des frustrations et son renouvellement systématique à rythme très rapproché - question de juste équilibre où chacun tient compte des disponibilités de l'autre, comme le dit Délichieuse, mais aussi des hauts et des bas, des évolutions passagères que peut connaitre le fantasme car celui, si tenace soit-il dans une vie humaine, n'est pas linéaire ! Le corps comme l'esprit connaît des frissons, des remous, des élans, des retraits, une alternance de pertes et regains de forme ... A chacune d'en parler avec son fesseur qui idéalement se doit aussi d'être un bon con-fesseur ! "Trois ou quatre fessées par jour, ça m'irait bien :" s'exclamait tout récemment je ne sais plus lequel de notre confrérie qui envisageait sans doute la fessée sous son jour le plus ludique ... Chacun est différent mais à ce rythme, outre le fait que mon fessier demanderait grâce, il me semble pour ma part qu'il me faudrait alors laisser une partie de mon imaginaire au vestiaire et qu'il y aurait peut-être une déperdition d'adrénaline ! La fessée n'est-elle pas un plaisir trop précieux pour souffrir d'être banalisée ou seulement d'en courir le risque...?
Délichieuse 5204 - 24/09/2011 23:42:08 modifié le 25/09/2011 04:50:14 La fessée aurait donc aussi des vertus contre l'insomnie ? Tout dépend des personnes et du ressentis de chacun je pense...à ce propos si l'on à chacun notre propre appréciation et évolution du fantasme comment être en phase avec notre/nos fessothérapeuthe(s) et ainsi trouver le juste milieu au niveau de la fréquence des rencontres? Est-ce possible ? Si la relation est durable, il y aura forcément un moment ou l'un des deux fera une concession...Est-ce que cela peut avoir un impact sur la fessée en elle même? Ou est-ce que le fait de donner ou recevoir est tellement plus intense (car justement c'est un fantasme qui nous est propre) que celui-ci efface les hauts et les bas que nous pourrions avoir (ainsi que ceux de "la vie de tous les jours") ? Je crois que même si la fessée est donnée à un rythme très soutenu elle ne pourra jamais être banalisée.. L'on ressent forcément des émotions mais en effet il peut y avoir une perte au niveau de l'excitation (mais également peur, stress ou autres (suivant les personne)) dû à l'attente. Dans le fil forum "mise en condition" je crois qu'il serait interessant de partagé les avis à ce niveau là également... La mise en condition commence bien avant d'être face à notre partenaire, non?
marie 5205 - 25/09/2011 08:05:42 modifié le 25/09/2011 08:24:35 "Tu n'es, rappelle-toi, que l'acteur d'une pièce réglée par le metteur en scène." (Épicète) Trouver un juste milieu, cela est possible. Bien sûr il faut tenir compte de la disponibilité de chacun des partenaires, de l’éloignement géographique, du coût engendré... Cela peut parfois se traduire en frustration. En effet, il faut aussi tenir compte de la non exclusivité pour l’un des deux partenaires, voire des deux. Le fait de donner ou de recevoir fait oublier « les hauts et les bas » mais dans l’instant car l’acte devient le plus important. La réalisation du fantasme prime. La fessée n’annihile pas les maux de tous les jours. Elle apporte un apaisement. Elle permet d’être en phase avec soi-même mais cela est éphémère. La réalité est toujours là. Si l’attente est trop longue, comme je l’ai dit, il y a bien souvent lassitude. Les ressentis tels l’excitation, la peur, le stress s’effacent pour faire place à une perte « de motivation » envers la personne concernée. Cela me fait penser à deux proverbes « Qui se nourrit d'attente risque de mourir de faim ». « L'attente est plus dure à supporter que le feu ». La fessée n’est pas banalisée, chaque fessée est différente dans la mise en condition, dans l’intensité où elle est donnée, dans sa manière ou dans le ressenti éprouvé…A chaque fois, c’est…dissemblable…à part… Il est vrai que le forum se serait mieux prêté à ces réponses mais chacun post où bon lui semble, selon ses envies…
Anniza 5206 - 25/09/2011 08:41:09 Après avoir longtemps pensé que chaque sujet a sa place parce que, précisément, il y a trois compartiments bien distincts dans le S.O.E. (Spanking Orient Express) à bord duquel nous voyageons,je finis par penser, effectivement, que c'est difficile de "sérier" quand une pensée (profonde , bien souvent) nous saisit. Pour écrire, il faut, c'est vrai, une grande discipline, tant pour nous-même que pour ceux qui nous lisent. Mais si ce sujet reste une grande controverse, il ne faudrait pas que sa constante remise en question altère notre spontanéité, et, par voie de conséquence, la qualité de nos échanges. Merci, Marie, pour le premier de tes proverbes qui m'ouvre de nouvelles perspectives pour mon prochain régime ...: trouve t'on de l'attente en sachets à la pharmacie du coin ?
marie 5207 - 25/09/2011 09:20:54 Je suis d'accord avec toi Anniza. Il est parfois difficile de sérier car la spontanéité de la pensée est de mise. Ce n'est qu'après que l'on peut se dire que tel ou tel sujet aurait sa place à tel ou tel en droit. je me pose, ceci dit, la question sur la facilité. En effet n'est-il pas plus simple de s'exprimer sur un blog ? Plus rapide, plus simple...plus court, etc... Demain, j'irai demander en pharmacie s'ils ont l'attente comme remède...
Anniza 5208 - 25/09/2011 09:34:40 Le Bien-Etre moral et physique avec quelques bonnes fessées en prime pourraient être une autre solution...difficile de les demander en pharmacie toutefois ...
petit chaperon vert 5209 - 25/09/2011 09:35:51 J'aime bien l'idée que nous restions très libres et spontanné(e)s dans notre façon de nous installer pour un sujet dans ce blog/forum/tchat. De toutes façons, cela permet au blog de garder de la substance. Et si la personne, ou même quelqu'un d'autre,... ou même le BOSS, tiens ! Pourquoi pas lui ? sent qu'un sujet mérite d'être plus approfondi, rien ne l'empêche de le mettre par la suite sur le forum, ou ce dernier continuera à vivre pendant plusieurs mois, années, sciècles ?...
petit chaperon vert 5210 - 25/09/2011 09:57:44 modifié le 25/09/2011 10:09:29 "Qui se nourrit d'attente risque de mourir de faim" ? La vérité, c'est que, comme Marie, se nourrir d'attente me coupe l'appétit ! Je n'ai plus l'âge de croire à la pérennité des concessions. Et puis ça m'emmerde, j'en fais déjà pleins dans ma vraie vie, ce n’est pas pour recommencer avec mon fantasme qui se doit de ne m'apporter que du plaisir ! C’est comme ça et pas autrement ! Flûte de barbe ! Alors l'idée, puisque mon fantasme est fortement intellectualisé, c'est de le vivre à travers des tas d'astuces, même si il y a absence physique, pour que ce ne soit que du bonheur. Mais c'est une chose qu'on ne peut mettre en œuvre que si le partenaire est lui aussi très motivé, inspiré, ‘fantasmeur’, créateur...etc - Vous comprendrez pourquoi l'âge et l'apparence physique ne sont que de la déco pour moi...- Ce n'est pas possible, ou très difficile, et même très fatiguant, de construire ce type de relation avec quelqu'un qui 's'absente' du fantasme sur des périodes d'un à plusieurs mois. Une fois, c'est rattrapable, deux fois vous commencer à tordre le nez et trois fois..., il y a des chances pour qu'il vous trouve aux abonnés absents...
marie 5211 - 25/09/2011 10:59:24 modifié le 25/09/2011 11:03:40 Je suis aussi en effet dans le même état d'esprit que toi Petit Chap'. Trop d'attente et je me lasse !!! Je n'ai plus envie avec cette personne. Ton expression "d'abonnés absents" est tout à fait justifiée !!!