Et, tact, du toc au tact!
Sans doute avez vous raison, et je le confesse et le reconnais volontiers:
"J'aurais adoré être à la place de cet homme pas si pauvre que cela"!
Peut-on, sur ce site arrêter les duels à "fleurets mouchetés" et de s'escrimer à sabrer les interventions des autres membres?
Je sais, cela fait très cour de récréation, mais lest plutôt pisse-froid et aigris!
Quel gâchis!

Je l'espère de tout coeur!
C'est terrible et désolant de ne plus rêver!

Ah des rêves, j'en aie écrit des fictions...
J'en aie dessiné...
J'en aie peint...
J'en aie fait des chansons...
J'en rêve encore...

Je ne sais si des gens qui ne rêvent pas existent vraiment. On a tous des rêves, différents sans doute, Certains rêvent de promotion, d'autre d'une belle voiture, ou encore d'un bon mari, d'une belle femme, de bonheur, de sourires et puis, quelques unes et quelques uns, de donner ou recevoir des fessées, avec tendresses, avec érotisme, avec sévérité...
Les rêves nous permettent souvent de s'isoler un moment d'une réalité trop pesante. De meubler une pièce vide, de dorer sur tranche nos espoirs.
Le rêve est une necéssité. le rêve est une cachette, notre petit placard, notre dessous d'escalier, notre île secrête... Celle de Stevenson ou celle de Jules Vernes.
Le rêve est l'imaginaire invisible de ce qu'on désirerait visible.
Le rêve fait de nous les héros d'un film qui ne sera jamais primé au festival de Cannes.
Le rêve est ce qu'on garde de notre enfance et deviens la garantie que nous avons tous cru au père Noël.
Le rêve, j'en suis presque certain, est bien plus qu'infini et si un jour, nous tous, nous milliard d'individus, nous les écrivions, il n'y aurait pas assez de place dans le bleu du ciel pour y imprimer toutes nos lignes.

Enfin, je retrouve le vrai Mike sans doute, pas seulement celui qui provoque parfois avec insistance, parfois maladroitement, quelques fois avec taquinerie!
C'est vrai que les rêves revêtent plein de formes différentes.
Celui ou ceux que je préfère sont ceux qui permettent aux humains de s'évader et de secouer un peu le joug quotidien.

Oui, à condition de ne pas sombrer dans la lourdeur!
C'est la limite qui est toujours difficile à ne pas franchir!

La victime pense toujours que c'est trop.
L'agresseur pense toujours que ce n'est pas assez.

Chienne de vie !

Je te promets qu'a ma prochaine fessée, je demanderais à la ou le fesseur de punir mes provocations.
ça va me coûter mais que veux-tu, s'il faut se faire pardonner, je ne recule devant rien.