Bonjour Donalfra, content de vous relire !

C'est vrai que j'avais été moi aussi intrigué et amusé par la réponse de Fainné à cette question du questionnaire de Proust, mais je n'y avais vu qu'un trait d'esprit et l'indice d'un caractère combatif.

Que vous inspirent ces réflexions Fainné ? Peut-être sommes nous loin de votre état d'esprit, mais peut être aussi que cette discussion vous aidera à y voir plus clair, qui sait ?

Désolé d'avoir du censurer la fin de votre post Marcolito mais comme je l'ai déjà exprimé ici, l'une des règles du jeu de ce blog est de ne pas donner dans le genre "petite annonce" ni dans la drague ouverte. Vous disposez de votre fiche profil et de la messagerie interne (ou du mail) pour cela. Le blog est la pour nous permettre d'échanger nos impressions, expériences etc sur notre fantasme, pas pour "chasser" ostensiblement !

Bonjour à tous, que vous répondre ? Je ne sais pas. Vos réponses sont sympa. Vous êtes à l'écoute et ouverts, c'est appréciable et un grand merci à tous. Mais plus je lis ce blog et moins finalement j'en sais sur ce que je pense de la question. Sauf que je ne pense pas que dans mon cas particulier de soigner le mal par le mal (passage à l'acte) serait une bonne chose, puisque pour moi l'idée de fessée est plutôt une idée pénible. J'ai l'impression que ça m'a traumatisée dans ma petite enfance. Après, le corps et l'esprit évoluent, il vient se greffer là-dessus un caractère nettement sexuel qui ajoute un côté troublant, qu'on peut trouver agréable (pour la plupart d'entre vous) ou pas (pour moi). Mais je pense comme Agramant le dit que c'est quelque chose qui se dissipera tout seul, car ce n'est pas obsessionnel (ouf, heureusement pour moi) ni fréquent. Voili voilou.

La première fessée que j’ai reçue, c’était par mon père, j’avais 16 ans, j’étais sortie avec mes copines un samedi après-midi et je suis rentrée tard car une de mes copines voulait à tout prix s’acheter un vernis à ongles.
J’ai dit à mes copines que j’allais être punie, je devais rentrer pour 17 h et je suis rentrée à la maison à 18 h 30, j’ai essayé d’expliquer à ma mère que je ne pouvais pas faire autrement que d’attendre ma copine pour rentrer mais elle n’a rien voulu savoir, elle m’a dit que je devenais dévergondée et que j’allais être punie immédiatement.
Ma mère a toujours été très autoritaire et jamais elle n’a cédé à quoi que ce soit. Elle a expliqué à mon père la raison de sa colère et mon père a répondu que vu que je n’avais pas respecté l’horaire, rien n’était mieux qu’une bonne fessée.
Ma mère m’a demandée d’ôter ma culotte, j’ai pleuré je ne voulais pas, j’avais honte. Elle m’a répondu « ou tu retires ta culotte ou c’est moi qui te l’enlève, ton père va te fesser cul nu, dépêche toi Myrtille ».
J’ai retiré ma culotte que ma mère m’a confisquée en la mettant dans sa poche et j’ai dû aller m’allonger sur les genoux de mon père.
Mon père a relevé ma jupe que j’ai essayé de rabaisser mais il m’a dit si jamais tu tires encore sur ta jupe, je te l’enlève, j’ai eu honte, vraiment honte, car je n’avais jamais été fessée derrière nu.
Il a commencé à me donner de petites tapes puis ma mère a dit que ce n’était pas assez sévère, du coup mon père m’a fessée très fortement, la honte de ma vie, fessée derrière à l’air à 16 ans et là ma mère a dit qu’il fallait que j’aille au coin mains sur la tête.
Je pleurais mais je suis allée au coin et pour m’humilier encore plus, ma mère m’a retroussé ma jupe et l’a coincée dans la ceinture, je me suis retrouvée fesses rougies nues devant mes parents, je suis restée comme ça une demi-heure jusqu’à que je ne pleure plus.
Ma mère m'a dit "j'espère que ça te servira de leçon et que la prochaine fois tu obéiras".
J’ai demandé pardon à mes parents et je suis allée au lit.
J’ai ressenti une profonde humiliation car je n’avais jamais été fessée de la sorte mais les fessées ont continué dans les mois qui ont suivi.

La seconde fois où j’ai été fessée par mon père, c’était pour mes mauvaises notes, mon père était militaire de carrière, ma mère femme au foyer.

J’avais 17 ans j’étais en première, et j’ai un peu fléchi en maths, là mon père m’a dit de me ressaisir sinon je serai punie,

J’ai continué à me laisser aller, les maths n’ont jamais été une matière forte et je reconnais que je n’avais pas vraiment envie de faire des efforts.

Des amis de mes parents sont venus le samedi, lui était aussi militaire et elle secrétaire dans l’armée et mon père a dit que je ne faisais aucun effort en maths, que j’avais l’air de m’en ficher totalement,

Et là Guy, le collègue de mon père, a répondu qu’il serait judicieux de me punir sérieusement, j’ai baissé la tête, je ne savais plus ou me mettre, et ma mère a dit que j’étais fessée quand je désobéissais et Guy a répondu alors fessez là pour ses mauvaises notes, ça lui mettra du plomb dans la tête et il a rajouté « si il n’y a que ça pour la rendre responsable, je suis tout à fait partisan de la fessée ».

Ma mère a dit que c’était une excellente idée et là l’horreur mon père m’a dit de venir promptement près de lui qu’il allait me fesser, je me suis mise à pleurer en disant que j’allais me ressaisir, que je serai studieuse et ma mère a répondu que c’était toujours la même chose mais que je ne faisais aucun effort, du coup mon père s’est assis sur le canapé et m’a sommée de m’allonger sur ses genoux,

Je me suis mise à trembler de partout, la honte, j'ai senti que je rougissais, vous vous rendez compte fessée devant des étrangers, ma mère jubilait, mon père a commencé à me fesser sur ma jupe et ma mère a répondu que je ne ressentais rien avec ma jupe.

Aussi mon père a relevé ma jupe et a continué à me fesser sur ma culotte, mais ma mère a suggéré de baisser ma culotte et de me claquer directement les fesses, j’ai essayé de retenir les bords de ma culotte avec mes mains mais ma mère est venue à sa rescousse et m’a tenu les mains, mon père m’a baissé ma culotte jusqu’aux chevilles.

Je me suis retrouvée fesses nues devant des étrangers et Guy a dit de me rougir les fesses jusqu’à que je comprenne qu’il fallait que je travaille.

Humiliée, j’ai été humiliée, ma mère était ravie que je me retrouve fesses à l’air rougies devant des étrangers, j’ai pleuré de honte

Mon père m’a envoyé au coin et ma mère a continué à crier en disant que si je continuais à chouiner pour une petite fessée, elle me relèverait ma jupe pour montrer mon derrière rougi, qu’il n’y avait que l’humiliation pour me faire écouter.

Et Guy a dit que la meilleure chose pour donner une bonne fessée c’était le martinet, qu’il en possédait un pour fesser ses trois filles régulièrement.

On aurait dit que ça lui faisait plaisir de raconter qu’il faisait mettre ses filles en rang, penchées, jupe relevée, culotte baissée jusqu’aux chevilles et là il procédait à la fessée. Qu’elles avaient beau pleurer, ils les fessait au martinet pour insolence ou désobéissance.

Ma mère a sauté sur l’occasion et a dit que le lundi matin elle irait chez le droguiste chercher un martinet et qu’elle espérait que ça me ferait réfléchir la prochaine fois, qu’en sachant que le martinet faisait partie désormais de la fessée.

Un martinet, j’étais désemparée, j’avais peur, je craignais que mon père dès qu’il en aurait un s’en serve sur mon pauvre derrière et j’ai eu raison d’avoir peur.

Car quelques semaines plus tard, je ramenais un 9/20 en maths, mon père me convoqua au salon, me demanda de retirer ma culotte. Je l'ai supplié de ne pas me fesser avec le martinet mais il n'a rien voulu savoir.

Je vis tout de suite qu’il tenait le martinet dans la main, je me suis mise à trembler de peur et d’humiliation mais rien n’y fit, il me fessa avec le martinet, j’avais l’impression que mon derrière me lançait, ça me brûlait atrocement.

Les lanières me marquèrent partout, aussi bien sur mes fesses que sur mes hanches, ma mère me regarda et me dit « n’espère pas que je te câline, maintenant va au lit ».

Une fois dans mon lit j’ai pleuré à chaudes larmes, je ne supportais même pas le drap sur mes fesses. Cette nuit là j’ai dormi sur le ventre ma chemise de nuit relevée jusqu’aux reins.

Depuis mes 16 ans, la fessée a empiré et quand j’ai connu mon mari, il l’a su dès le début que j’étais fessée régulièrement par mon père.

J’ai eu mon bac avec mention bien mais ça n'a pas suffit à mes parents, ils m’avaient dit « bac avec mention très bien ou tu subiras une fessée exemplaire et humiliante devant la famille ».

Nous sommes partis en vacances chez mes grands-parents paternels, à Royan, et là le premier dimanche après-midi, devant les tantes, les oncles et les cousins, j’ai été fessée car je n’avais pas eu mon bac avec mention très bien.

Mon père avait choisi de me fesser sur ma culotte mais ma mère a regardé tout le monde et a dit « vous êtes d’accord, une bonne fessée se prend cul nu » et là elle a dit à mon père de me retirer ma culotte en signalant que si j’avais choisi de bien travailler, je ne serais pas fessée.

Ma mère m’a envoyée dans ma chambre après la fessée, ma grand-mère est venue me rejoindre pour me câliner mais ma mère est arrivée derrière elle et lui a dit « laissez là, elle est punie je veux qu’elle cogite et qu’elle se rende compte de ses bêtises ».

L’humiliation était à son comble car j’ai subi des réflexions et des moqueries de la part de mes cousins pendant toutes mes vacances.

Quand nous allions à la plage, ils me disaient « montre nous tes fesses pour voir si elles sont rouges » ou bien « sympa tes fesses rougies, tu as un joli derrière ».

Humiliée, j’ai souffert de la dureté de mes parents une grande partie de mon adolescence et quand j’ai connu mon mari, il a su que j’étais fessée régulièrement par mon père même étudiante.

Je comprend la réaction de Lilou.

Il doit être bien clair pour tout le monde que ce site (et en particulier ce Blog) est la pour réunir ceux qui ont le fantasme (concrétisé ou non) de la fessée entre ADULTES CONSENTANTS. Il n'est pas la pour débattre du bien fondé ou non de la fessée appliquée aux enfants.

Comme il est clair que pour une grande majorité d'entre nous le fantasme remonte à l'enfance ou à l'adolescence, il n'est pas choquant d'y voir des souvenirs (ou des récits fictifs) remontant à cette époque mais seulement dans la mesure ou ils ont contribué à la naissance du fantasme. Pas question de faire l'apologie de violences contre qui que ce soit.

Vos récits ne m'ont pas choqué Myrtille, parce que vous m'aviez écrit en mail que cette humiliation que vous ressentez quand vous êtes fessée engendrait un secret et très grand plaisir. Nous comprenons tous cela, autrement nous n'aurions pas ce fantasme ! Mais la réaction de Lilou m'ouvre les yeux sur le fait que sans cette information capitale, vos récits peuvent être interprétés d'une manière bien différente, et pas du tout dans l'esprit du site.

Pourriez vous préciser ici ce que vous m'avez écrit en mail, à savoir le plaisir que vous en tirez... Cela permettrait de dissiper toute équivoque malsaine, je pense

Effectivement j'ai été fessée la première fois à 16 ans, j'ai eu honte car j'ai toujours été gatée par mes parents, à partir du moment où je ne désobéissais pas et la première fois que je suis rentrée tard à cause de ma copine qui avait besoin de s'acheter du vernis, ma mère ne l'a pas supporté, et j'ai été fessée.

Je l'ai mal ressentie car je n'avais jamais été fessée.

Et la seconde fois quand mon père m'a fessée pour mauvaises notes, j'étais dépitée d'etre fessée devant des amis de mes parents,

pour mes parents, je devais être une jeune fille modèle et sage

maintenant je suis fessée par mon mari, et j'avoue que j'aime etre fessée, je ne lui ai jamais avoué,