Bonjour à tous...
Merci à Iris pour son message de bienvenue...
Euh... Je suis arrivée ici par hasard... euh, non, ce n'est pas vrai, pardon...

En fait, je suis l'auteur du récit posté par Iris (p890) qui aborde le coaching. Et je vais vous apporter quelques précisions...
Ce récit date de plusieurs mois. Depuis, j'ai rencontré mon tuteur 2 fois. En février dernier, pour un séjour de 4 jours, puis début avril, pour 1 journée.
Le coaching se poursuit... Et il est plutôt efficace. La distance géographique est sans doute un facteur limitant, mais ce n'est pas grave, je fais avec (mon tuteur habite à environ 1200km de chez moi). Malgré les km, Monsieur est très présent (mail, skype, téléphone), c'est indispensable.
Et aussi, si ça fonctionne, c'est parce qu'il s'est installé une amitié, une réelle affection, et je n'ai pas envie de le décevoir.
Depuis ce récit, concernant cette addiction, j'ai rechuté tout de même une fois. Cela ma valu, lors de mon séjour chez lui, une correction particulièrement dure, que je ne souhaite pas revivre!
Sinon, en raison de la distance, pour me faire tenir mes autres objectifs, les punitions utilisées ne sont que très rarement des fessées... parfois, mais rarement...
Avec ce coaching disciplinaire, on est tout de même à la limite du jeu, puisqu'il fonctionne sur les interactions entre le jeu et la vraie vie, et que les objectifs concernent la vraie vie...
Les objectifs, je les ai, bien sur, fixés moi même, ce sont mes propres objectifs. Et Monsieur m'aide à tenir bon. Il ne m'impose rien que je n'ai moi même décidé.

Si vous avez des questions... je suis à votre disposition

Bonjour Blanche et merci pour ce développement qui complète bien votre témoignage.
Ce qu'on en retient essentiellement, outre le fait qu'une partie des objectifs semble en bonne voie d'être atteinte, c'est la confiance et la bienveillance qui vous unissent à votre "tuteur".

Je renouvelle la question d'Agramant : peut-on savoir en dehors de la fessée - distance oblige - quels sont les moyens d'action dont dispose votre mentor ?

"Depuis ce récit, concernant cette addiction, j'ai rechuté tout de même une fois. Cela ma valu, lors de mon séjour chez lui, une correction particulièrement dure, que je ne souhaite pas revivre! "
J'imagine qu'au-delà du fantasme les objectifs que vous vous êtes fixés vous tiennent particulièrement à cœur pour accepter que la dureté de la punition outrepasse les limites de ce qu'on pourrait attendre d'une fessée naturellement associée à l'idée de plaisir.
Cependant les rechutes sont humaines... Alors la dureté du traitement appliqué dans ce cas précis ne risque-t-elle pas un jour ou l'autre de vous inciter à taire la vérité ? Ou alors vous sentez-vous capable d'assumer la "sévérité", voire la violence de la punition physique plutôt que de trahir le contrat de confiance et donc de sincérité que vous avez conclu avec votre mentor ?

"Au secours, qu'est-ce que j'ai dans la tête !!"

Pas de panique Laurence, on en est tous la !

Personne ici n'aime avoir mal ni faire mal
Personne ici n'aime être humilié ni humilier gratuitement autrui
Personne (ou presque) ici n'est réellement soumis

et pourtant... Le fesseur aime fesser, il aime la crainte soumise qu'il lit dans les yeux et l'attitude de sa "victime" (je n'adore pas ce mot mais je n'en ai pas de meilleur)

et pourtant... la victime aime la peur qu'elle a au ventre avant la correction promise... Elle aime cette humiliation régressive qu'il y a à être dominée, cadrée, punie par une autorité aimante mais ferme. Souvent, elle aime cela parce que justement il n'en est pas ainsi dans la vraie vie. C'est une parenthèse lui permettant d'être autre, d'être ailleurs, de lâcher prise.

Dans ma "carrière" de fesseur, j'ai été frappé par le fait que mes "victimes" étaient très souvent des femmes ou des jeunes femmes à fort potentiel intellectuel, maniant bien la langue et les idées et de ce fait dominant de facto leur entourage. La fessée leur permet ainsi d'abdiquer pour un moment ce rôle qui peut être pesant. Parfois aussi, elles recherchent l'image d'un père ou d'une autorité qui, pour une raison ou pour une autre, leur a fait défaut dans leur enfance.

En définitive, les véritables causes sont dans l'inconscient de chacun, mais ce qui compte c'est que la fessée et les émotions qui l'accompagnent apportent -pour les adeptes du fantasme- plaisir, bien-être et soulagement, alors pourquoi s'en priver ?

C'est bien ça, Banche, ça a l'air d'être sérieux comme coaching et en plus avec quelqu'un que vous appréciez beaucoup, ce qui a mon avis est juste indispensable.

Effectivement tricher n'a pas de vrai intérêt même si parfois il doit être tentant d'au moins délayer, voir reporter les aveux si on en a à faire... Mais si contrat il y a, on le respecte, ou on le modifie, ou on le rompt. Mais si on triche c'est pas d"jeu"!

Bienvenue Laurence !

Bon je suis un peu à la bourre et je vous prie de m'excuser, j'étais occupé en province.


J'espère que vous allez vous plaire parmi nous.

Autant vous prévenir, c'est un devoir, ce hasard qui vous fit découvrir ce site n'en n'est pas un. Non, non, c'est un esprit malin qui s'empare de vous et vous entraîne vers un chemin non cartographié. Méfiez-vous Laurence, ce lieu est peuplé de petit lutins malins et espiègles qui vous conduisent si profond qu'on ne peut retrouver son chemin. Dans l'infini de ces bois sombres rôdent d’étranges demoiselles prêtent à vous mener aux pires bêtises quitte d'ailleurs à vous faire porter le chapeau de coupable même si vous êtes innocente. Épiant derrière des arbres millénaires sont les loups avides de tendres fesses à rougir, tellement pervers qu'ils ne s'encombreront point de motif. gardez-vous ma belle de tout ce qui brille car ce sont autant de pièges. Attention aux oiseaux qui chantent bon pour vous séduire, telle des sirènes, ils sont diaboliques, surtout ceux aux plumages jaune.
Certes, ne fuyez pas, il y a dans cette lande de rares habitants, pour ne pas dire un unique immaculé de sagesse (comme moi), qui vous dicteront de sages conseils.


Hé, hé, hé ! J'ai déversé mon fiel..... Mouhahahahah !

Bienvenue à Blanche et Laurence

Notre coach Mike a abondamment décrit les risques de rencontres insolites dans ces bois sombres, mais il a omis les gros chats sauvages aisément reconnaissables sur leur motocycle rouge, les plus redoutables car ils croquent leur victime, crayon en main.

@Blanche,
Votre belle contribution sur le blog m’a toutefois laissé une question en suspens :
La fessée a t-elle aussi une dimension érotique pour vous ?

Bonjour et bienvenue Blanche.

Non Laurence tu n'est pas vraiment maso,tout comme moi d'ailleurs.
Disons que tous les fessés d'ici,femme ou homme ont besoin
de ce petit frisson et de l'appréhension de la punition même désirée

Pour moi en tout cas il est clair que la fessée a une dimension érotique.

Cela dépend du contexte et du degré de feeling entre les protagonistes.