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Joseph avatar plus
8366 - 22/10/2012 10:18:00

Bonjour,
Je viens de lire le long texte d'Iris...
C'est avec plaisir que je constate que nous avons la même approche sur la question...
Elle indique:D'autre part si la fessée peut paraître à certain(e)s une pratique perverse...
Ceux-là sont donc sans "perversité", quelle fadeur, quelle tristesse.
Donc, j'ajouterai, la "perversité" est, peut-être, un "sel" de la vie.
Enfin, je confirme:
à la base du relationnel, un maître mot: confiance.
Bonne journée

Obstiné avatar plus
8370 - 23/10/2012 08:44:29 modifié le 23/10/2012 09:37:13




Aie confiance ! tu ne seras pas fessée !
Aie confiance ! je suis làààà pour veiller sur toi !

Aie confiiiiaaaaaaancccccccccccccce...sssssssssssssssssss............................................ !
Au fait, qui a piqué la salière ? c'est malin ! car certain(e)s ne connaitront pas les bienfaits de cette saveur !

Iris avatar plus
8372 - 23/10/2012 17:22:10 modifié le 23/10/2012 19:46:46

Ah, si la salière venait à manquer sur la table de nos vies et si nous devions devenir de purs vertueux... quel dommage ! Tout risquerait en effet de devenir insipide et sans saveur...

Pour rebondir sur la remarque de Joseph à la page précédente à propos de la perversité, je comprends... Toutefois, même si le petit distinguo suivant peut sembler très jésuite de ma part, je préfère quant à moi parler de nos "petites perversités" multiples plutôt que d'employer tout de go au singulier le mot "perversité" qui est tout de même chargé objectivement d'une connotation fortement négative et dont il me semble difficile de faire d'emblée l'éloge, non ... ? De quoi effrayer non seulement la police des moeurs mais aussi les psy et les âmes candides... C'est certes une nuance mais qui me paraît importante quoique je ne sois pas sûre d'être suffisamment explicite et qu'il me faille y réfléchir encore ...

Assez récemment j'étais tombée fortuitement sur cette phrase d'autant plus amusante qu'elle venait de façon inattendue en guise de conclusion à un exposé très sérieux, mais quelque peu rébarbatif car trop abstrait et dont le sujet était un corollaire entre méchanceté et perversité :
" A la limite mieux vaut un grand méchant loup qu'un petit cochon pervers...".
Voilà une parole qui, replacée dans le contexte de notre fantasme, avait ensoleillé ma journée car il est tellement bon de rire !
Alors grand méchant loup ou petit cochon pervers ...? Les amis, qu'en pensez-vous et concrètement à qui/ à quoi préférez-vous être confrontés ?
Et peut-être l'un ou l'autre doué pour le dessin pourrait-il illustrer la chose... ?

Comme le forum semble dernièrement un peu déserté j'ai pensé que ça pourrait être intéressant ces jours-ci d'ouvrir le sujet suivant : "notre fantasme et sa réalisation impliquent-ils une certaine perversité ?" ( ça, c'est du solide pour la réflexion et on peut même l'étendre à d'autres fantasmes ) à moins que vous ne préfériez la formulation plus amusante : "Le fesseur, grand méchant loup ou petit cochon pervers ?" mais ça restreint davantage le sujet car s'il y a perversité elle concerne généralement les deux parties et pourquoi pas le simple fantasmeur ?

mikesp avatar plus
8373 - 23/10/2012 18:22:13 modifié le 23/10/2012 18:24:54

Voyons "Petit cochon pervers" Dans le dico rien, sur internet je ne vous dis pas sur quoi je suis tombé. Bon, je regarde dans la bibliothèque et je tombe sur "Les trois petits cochons" Je lis mais ils n'ont rien de pervers ces trois petits cochons, tout juste un peu machiavéliques...

Donc choux blanc pour la chèvre de Monsieur Seguin qui n'a absolument rien à voir avec notre affaire.

Je cherche donc du côté du "Grand méchant loup" La lecture ou relecture ne donne rien sinon qu'il tente de draguer le petit Chaperon rouge pour becter la grand mère. Aucun goût ce grand méchant loup. Pourait faire un tour dans le Périgord pour se delecter de canard truffé au lieu de mâcher de la carne.

En y réfléchissant bien, peut-être que le père Vert et le géniteur du Petit Chaperon vert... Mais ce n'est qu'une hypothèse car aucune preuve formelle ne vient l'étayer. C'est géant comme supposition mais ça ne mène à rien. (Géant vert, houarff elle est trop bonne).

J'en conclus, que le grand méchant loup n'est pas rafiné au niveau culinaire et que les trois petits cochons Font ménage à trois et que si perversité il y a, ce n'est pas écrit dans le conte. Que le petit Chaperon de la fable n'est pas vert et qu'à part sa mère grand qui s'en sort grace à une césarienne, le reste de la famille, la mère et le père Rouge sont inconus.

Quand à mon fantasme, ou plutôt mes fantasmes, je crains qu'il y est une certaine perversité qui les assaisonne... Tiens où est la salière ?

petit canaillou avatar plus
8374 - 24/10/2012 05:08:20

Cela me fait grand plaisir de lire Iris.
Et quand , gente dame vous parlez de "perversités" multiples je ne puis qu'être d'accord avec vous.
Mais comme il s'agit de désirs et d'envies parfaitement assumés je dirais plutôt qu'il s'agit de manies bien agréables à assouvir.
La véritable perversité c'est justement de garder cela comme un secret honteux.
Et la fameuse phrase d'Oscar Wilde:
"La meilleure façon de résister à la tentation c'est d'y succomber" me parait prendre ici tout son sens.

mikesp avatar plus
8375 - 24/10/2012 08:43:05 modifié le 24/10/2012 10:50:55

Perso, je ne vois pas en quoi cacher son fantasme serait pervers, ça demande explication.

petit canaillou avatar plus
8376 - 24/10/2012 09:16:22

Avec les personnes de confiance je ne le cache pas non plus
Il y a longtemps que je ne ressens plus aucune honte à l'avoir

petit-chaperon-vert avatar plus
8377 - 24/10/2012 16:46:46 modifié le 25/10/2012 12:18:24

La vache, ça gamberge cette semaine !

Merci, Mike, pour 'le père vert', je te revaudrai ça, compte sur moi !

Qu'es ce que je regrette de ne pas avoir été assise à coté d'Iris pendant l'exposé.

" A la limite mieux vaut un grand méchant loup qu'un petit cochon pervers...".

J'aurai passé mon kleenex à Iris, pour essuyer ses larmes de rire, qui m'aurait aidée à remonter sur ma chaise,...non seulement je pleure, mais je tombe.

Pour moi, ce n'est pas 'à la limite', c'est - Mieux vaut un grand Loup pervers qu'un petit cochon méchant ! Mais ça, je crois qu'on ira en parler, sur le forum, plus en détail... Allez les 430 visiteurs par jour, magnez vous d'aller vous inscrire si vous voulez y suivre le 'the grand débat' !

Agramant avatar plus
8378 - 25/10/2012 08:27:02

Voila un débat intéressant ! Comme souvent, tout est affaire de vocabulaire. Strictement parlant, d'après le dictionnaire la définition de la perversité est : "Tendance à faire le mal et à en retirer du plaisir". Rien de très sympathique à priori, donc !

On pourrait objecter que, non moins strictement parlant, le but d'une fessée est de faire mal aux fesses puisqu'en définitive c'est tout de même une punition. Donc d'une certaine façon, oui, notre fantasme est une perversité, au moins "coté fesseur". En ce qui me concerne cela ne me dérange guère puisque ce -relatif- mal physique engendre chez la "victime" (et chez moi aussi !) une grosse émotion qui génère à son tour (et dieu seul sait pourquoi...) un immense plaisir. Donc je ne fais pas "le mal" au sens moral du terme. Quand à la "méchanceté", il est clair dans le cas de notre fantasme qu'elle n'est qu'apparente pour augmenter l'intensité de l'émotion de la "victime", la encore pour son plus grand bien.

C'est quand la méchanceté est réelle, ce qu'on peut rencontrer chez quelques "prédateurs" (heureusement peu nombreux), que l'on peut parler de "perversité" puisqu'il y a la réel plaisir à faire le mal (et le vrai mal !). Donc à mon sens, "perversité" et "méchanceté" sont indissociables...

petit-chaperon-vert avatar plus
8379 - 25/10/2012 12:42:01

Je vois bien que je ressens la méchanceté comme associée à la bêtise. Par contre la perversité a comme une composante créatrice.

Bien entendu si pour combler sa perversité propre on doit abimer les autres, ça ne va pas du tout. Mais si, en restant dans le domaine sexuel, comme pour la fessée, le fétichisme,... il ne s'agit que d'une forme de différence sensuelle du - 'faisons un bébé chéri' - alors la perversité peut être considérée comme une forme de richesse personnelle. Un plus, ou... des plus !

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