petit canaillou 7682 - 26/03/2012 10:35:20 modifié le 26/03/2012 11:16:48 Je ne me sens plus du tout à l'aise dans ce petit monde ou tout est prétexte à vrilles ou dérision et où l'on botte en touche dès qu'un problème un tantinet sérieux est soulevé. Un peu comme si fermer les yeux permettait réellement de ne rien voir!
Iris 7683 - 26/03/2012 11:51:21 modifié le 27/03/2012 04:15:00 Bonjour à tous et toutes ! Que celui qui n'a jamais vrillé jette aux autres le premier coup de fouet ! Comme dans la vie réelle, les problèmes relationnels, au sein des échanges que nous sommes amenés à entretenir ici ou ceux qui naissent dans des dialogues plus privés ou encore dans les rencontres qui peuvent en résulter, les risques de malentendus, frustrations, déceptions existent, mais ce n'est nullement une raison, me semble-t-il, pour jeter le manche après la cognée... Et puis s'étendre à longueur de posts sur des difficultés personnelles que l'on a pu rencontrer au sein de telle ou telle relation ne me semble pas une solution ! Alors puisque le printemps est là avec toutes ses promesses, faute d'être en liesse, dégelons au moins nos coeurs, nos mains, nos fesses...!
petit-chaperon-vert 7684 - 26/03/2012 12:05:21 modifié le 26/03/2012 13:49:46 En vérité, tu écris là une remarque fort pertinente, p’tit caillou... "Un peu comme si fermer les yeux permettait réellement de ne rien voir!" Je confirme ! Fermer les yeux permet de ne rien voir ! Et même, bien plus... ! Etant du genre gigoteuse, il m'arrive bien souvent d'être attachée ce qui réduit certes mes amplitudes mais guère mes déterminations. Hors voila qu'un jour, il fit nuit. Monsieur posa, sur mes yeux, un bandeau. Miraculum ! Je ne fus plus qu'ouïzéressentis, et toute cette attention, concentrée sur ces sensoriels, me rendit quasi tétraplégique !... En tous les cas, d'une sagesse exemplaire, comme un faucon à qui l'on passe son chaperon... Chaperon ? Chaperon ? Ça me dit quelque chose, ça, 'Chaperon'...
Marie 7686 - 26/03/2012 15:44:14 modifié le 26/03/2012 18:33:05 Bonjour à vous ! Je ne suis pas venue depuis longtemps mais là, j’ai envie de parler. J’avoue ne plus en avoir eu envie car je ne me sentais plus bien sur ce site pourtant cher à mon cœur. (Agranmanitou sait cela, je ne m'en suis pas cachée) Je remarque qu’Agranmanitou aurait son mot à dire car les sujets, sont semble t’il, toujours les mêmes. Le sujet "vrille" a été abordé par certains et certaines et rien ne change on dirait...Petite précision car confusion, je pense : le sujet de la vrille a déjà été mainte fois abordé. C'est cela que je voulais dire et implicitement s'il revient par certains c'est que rien n'a changé...cqfd Je ne fais que déduire... Je vais donc dire ce que je pense. Il serait bon de penser un peu à Agranmanitou. Ce site est un site d’échanges, nous sommes tous d’accord. Je redis que chacun doit pouvoir s’y exprimer. Si nos opinions divergent, à la limite tant mieux cela débouche sur un débat et ouvre sur d’autres visions. Pourquoi critiquer ? Ce n’est pas le bien fondé de ce site. Nous partageons un fantasme commun avec des expériences différentes qui nous enrichissent et que nous pouvons faire partager afin que d’autres bénéficient de notre expérience bonne ou mauvaise d’ailleurs. Ici, des mots différents d’un certain moment, d’un passé pas si lointain, sont dit aussi. Des propos tenus il y a un temps deviennent autres. Cela est bien, c’est un point positif car : Certaines personnes éprouvent de réelles difficultés à revenir sur leurs opinions, leurs avis. (certains ne le donnent pas par peur du jugement). Modifier son jugement est une façon de se remettre en question. Cela peut faire peur car on admet aussi que l’on s’est trompé. Je suis forte heureuse que cela se pratique. Prendre une décision dans le feu de l'action peut nous amener à un véritable dilemme. Avoir des réactions impulsives et irrationnelles parfois en est une conséquence. Moi qui suis une impulsive, j’ai eu cette pratique. Juste une chose à retenir, ne jamais juger l’autre car on ne le connaît pas. Nous sommes en plus dans du virtuel..il est facile de paraître mais être est une autre histoire. Jack, ne te braque pas, cela ne sert à rien. Prends du recul. Maintenant je pose une question : Faut-il juger l’autre pour ce que nous ne souhaitons pas entendre car dérangeant peut être ? il ou elle a le droit de parler, je crois. Par exemple, partager un mal être est il un défaut ? Vouloir exposer des expériences ne peut que faire grandir et enrichir l’autre. On apprend de l’autre. Je ne vois pas où est le blême, nous ne vivons pas au pays des Bisounours. Il y a quelques mois, je faisais référence aux manipulateurs. Ben vous ne savez pas, ils existent, eh oui. Là je ne suis pas allée sur le forum mais je me souviens avoir parlé des relations…Elles sont importantes ces relations. Ce fantasme chacun le vit à sa façon et ne voit pas et n’attend pas les mêmes choses. Ca aussi c’est un fait. Certains seront impliqués, d’autres seront dans le superficiel du moment qu’ils jouent. Cela fait nos différences et notre richesse communicable à l’autre. Ecouter, entendre l’autre, avoir un peu d’empathie, me paraissent faire partie des sentiments humains…n’est ce pas ce que nous sommes ?..Bien sur l’humain a d’autres qualités et défauts aussi… Voilà, ceci n’est juste qu’un avis personnel. Pour moi encore, cela est essentiel. Je ne connais pas la suite des événements mais… Je vous souhaite de profiter de ce beau soleil.
mikesp 7687 - 26/03/2012 16:21:29 modifié le 26/03/2012 17:17:31 Là je me regarde dans la glace, je m'observe... Bon, j'ai toujours la même tête c'est déjà un point positif. D'accord, je ne suis pas Don Juan mais juré, ce n'est pas de ma faute. Alors qu'est-ce qui ne cloche pas ? Je ne trouve pas ! Je remonte les posts et je ne trouve toujours pas.... Un espace temps que j'ai raté, je ne vois que ça. Bordel, il doit bien y avoir une raison à tout ce chahut ? Comme je ne trouve toujours pas je ferme les yeux pour voir et en fait je ne vois rien. Que me reste-t-il donc autre que de conclure à une routine. Ce doit être ça ; la routine. Des mots des phrases et des incompréhensions comme une drogue qui reviennent régulièrement comme les marées. On y trempe les pieds parce qu'on aime ça et puis quand on attrape un coup de froid aux orteils on maudit la marée. Ils sont drôles les êtres humains... Et moi je suis un être humain. Bon c'est à quelle heure la prochaine marée ?
Marie 7688 - 26/03/2012 16:33:15 modifié le 26/03/2012 18:24:43 Des mots des phrases et des incompréhensions comme une drogue qui reviennent régulièrement comme les marées. On y trempe les pieds parce qu'on aime ça et puis quand on attrape un coup de froid aux orteils on maudit la marée. D'accord avec ces mots sauf pour une chose. Pourquoi marée ? On aime ça ? Pourquoi ces propos ? Moi, perso, je n'apprécie pas bien que j'ai eu mes torts. Et je le dis. Nous sommes grands non ? (Marie fais attention à ce que tu dis !) Qui est ce on ? Mon père disait on c'est un C...(je te taquine !!!) Explique un peu pour voir. Il serait intéressant que tu finalises tes idées. Oui, ton raisonnement a une certaine logique. Par contre, un simple avis, rien d'autre... puis je l'exprimer sans créer polémique ou voir interprétation. Là, il ne s'agit que d'un échange, non d'un avis, pourquoi prendre la mouche ? Moi aussi j’interprète peut être qui sait... Désolée si c'est le cas. Et mine de rien nous sommes au cœur du sujet !!! GOOD ! Marie..pas bien !!!
mikesp 7689 - 26/03/2012 17:16:52 Je ne prends pas la mouche, au contraire. ( Si je prends la mouche un jour, il n'y aura aucune comparaison) Mais, quand je pose une question ou quand j'émets une idée, je ne pense pas que celle ou celui qui répond en désaccord le fait pour le plaisir de contredire mais simplement parce qu'il a une autre interprétation que moi ou qu'il n'a pas forcemùent tous les éléments pour comprendre. Dans ce dernier cas c'est la ou le rédacteur du sujet qui doit en tirer la leçon. Ce qu'écrivent les intervenants sont les réflexions sur un sujet par rapport à leur vécu et leurs expériences ou ce qu'ils croient être juste. Ce ne sont pas des attaques ni de l'agressivité, simplement une approche, des devellopements et des conclusions différentes. Il ne peut y avoir de progression culturelle et intellectuelle avec une pensé unique. C'est là tout l'interet d'un débat et ce quelqu'en soit le sujet. En échangeant on s'approche d'une vérité commune, tout seul on ne garde que sa propre vérité qui en générale est bien éloignée et certainement moins afinée de ce qu'on peut apprendre par les autres et de ce qu'on apporte aux autres. L'échange écrit, tant qu'il reste courtois et de propos dénués d'insultes explicites, n'est pas à comparer avec un coup de poing, il en est même le contraire alors, je dis simplement qu'on peut ne pas être d'accord, recevoir également des désaccords mais en aucun cas prendre ceci comme une agression et en faire tout un plat.
Marie 7690 - 26/03/2012 18:13:18 modifié le 26/03/2012 18:20:02 En résumé,il y a l'art et la manière de le dire. Changer d'avis est un point important car cela prouve que l'on sait se remettre en cause. Jouer l'indifférence et faire l'autruche démontrent un problème..tout autre dont, je ne débattrai pas car pas le sujet. Tu ne fais que répéter ce que je m'efforce de dire. Pourquoi se moquer ? Pourquoi être agressif ? (je généralise là, hein pas de confusion !!! ) L'échange enrichit, les expériences de chacun, nous font évoluer. De cela je n'en ai jamais douté. Nous ne sommes pas d'accord, pas grave, parlons en sans chercher à vouloir convaincre l'autre. Exposons nos points de vue simplement, intelligemment en développant si nécessaire..et chacun pourra réfléchir. Pour cela ne pas casser le sujet..c'est dommage... Liberté d'expression !!! Eh d'ailleurs Agranmanitou ! Faudrait élargir tout ça, étendre le site !!! Il y a du boulot !!! Ps : je n'ai jamais vraiment pris la mouche moi non plus, juste des colères. Si je venais à la prendre..la différence se ferait d'elle même mais je ne suis pas une méchante...juste une coléreuse...comme certains et certaines ici...mdr !!!
Iris 7705 - 27/03/2012 15:31:42 modifié le 27/03/2012 20:07:29 En empruntant plusieurs trains de retard et pour faire diversion, il ne me semble pas inutile de revenir sur un sujet abordé par Marie concernant le risque d'addiction, l'efficacité ou non de la fessothérapie pour y remédier, laquelle faisait suite à ma propre question qui peut paraître pour le moins paradoxale : "A quand la fessée pour ne plus penser sans cesse à la fessée ?" et enfin l'implication affective de nos jeux et de notre collaboration ici-même Je cite Marie : "Tout d’abord ce côté addiction : Vivre dans et pour la fessée. Lorsque l’on débute, on est vite embarqué dans le tourbillon de la passion et de l’envie. Insidieusement, on ne se rend pas compte que l’on ne pense qu’à cela, que l’on ne vit que pour notre fantasme au détriment de notre vie." Constatation très lucide... Quand on débarque sur la planète on est tout feu tout flamme et même avec le temps ce fantasme et sa réalisation avec tout ce qui va de pair ( envie, crainte, ) nous envahit ou au moins nous investit beaucoup ... Si je m'arrête à mon propre cas quelques aventures-fessées plaisantes mais aussi de nombreuses contributions en ce lieu et la correspondance la plus variée - pas moins d'un millier de pages - auxquelles s'ajoutent les lectures sur ce sujet et de temps à autre un certain vagabondage sur les forums, tout cela représentant un investissement de temps et d'énergie qui est loin d'être insignifiant et qu'on ne peut pas nécessairement donner ailleurs .. Mais d'abord une précision importante afin de lever toute ambiguïté qui pourrait provenir de ma propre question : personnellement je ne cherche pas le moins du monde à me détacher du fantasme, le faire me frustrerait d'une part essentielle de moi-même et tout d'abord de la part de rêve et de désir secret qui font partie de moi et me sont presque aussi nécessaires que l'air que je respire .... Ce à quoi j'aspire en revanche, c'est à concilier sans dommages cette part de moi-même, importante mais non exclusive, avec d'autres exigences de façon à ce qu'elle n'empiète pas sur d'autres domaines qui sont tout aussi indispensables à l'équilibre et au bon fonctionnement de ma vie.. Vaste programme où il s'agit de gérer le temps et de trouver l'énergie nécessaire à chaque chose ... . Ma question :"A quand une bonne fessée pour ne plus penser sans cesse à la fessée ?" et l'énumération des effets secondaires liés aux excès ( nuits écourtées, travail bâclé, ménage non fait, amis délaissés), était tout à la fois de l'ordre de la boutade et du sérieux. Boutade parce que, étant de nature plutôt perfectionniste, du style "cent fois sur le métier remettez votre ouvrage!" je ne me satisfais pas en accomplissant les choses à moitié dans quelque domaine que ce soit, même dans le domaine du ménage qui pourtant n'est pas spécialement ma tasse de thé... Néanmoins cette question traduisait aussi, comme Petit Chaperon l'a fait remarquer avec justesse dans le forum, une prise de conscience progressive, une observation de moi-même et la recherche d'un juste équilibre toujours fragile, toujours précaire dans un domaine où le risque d' excès existe réellement.. En fait je pense que la solution n'existe pas en dehors de celle que nous puisons dans nos propres ressources de sagesse, et de discipline personnelle, ce qui n'est pas forcément une mince affaire mais progressivement on parvient à mieux gérer le temps en hiérarchisant chaque chose ! "Une fessée serait elle une solution pour se détacher du fantasme ou plutôt aurait-elle pour finalité de renforcer le désir ?" Tout d'abord on peut se poser la question de savoir si la fessée permet de s'amender réellement et de corriger des défauts réels. Franchement dans la plupart des cas j'en doute. On n'est plus dans le cas de figure de notre enfance où la fessée et même la simple menace de celle-ci était liée à une telle crainte et un tel déplaisir qu'elle était de nature à rendre encore plus sages les enfants souvent déjà très sages que nous étions ! D'autre part ayant déjà châtié moi-même des messieurs au très mauvais caractère ou à l'obstination farouche, je ne suis pas certaine que la situation ait évolué sensiblement... Néanmoins j'ai déjà lu les témoignages de certain(e)s qui affirment avoir réussi à se défaire de défauts précis ou de certaines addictions, comme celle du tabac par exemple, par une fessothérapie bien menée mais personnellement je demeure quelque peu sceptique, ceci à moins de ne plus choisir son fesseur et d'opter pour une solution disciplinaire radicale, du style châtiment sans concession infligé par un éducateur intransigeant sans complicité aucune - solution qui risquerait très vite, quant à moi, de me faire prendre mes jambes à mon cou et de me dégoûter de ces jeux mais non du tabac .... Et sceptique on peut l'être encore davantage, on le comprend, quand il s'agit de remédier à l'addiction au fantasme qui est le nôtre par la fessée elle-même puisqu'alors on choisit ce qui nous attire irrésistiblement comme prétendu remède aux aspects excessifs ( investissement de temps parfois disproportionné... ) d'un plaisir lié à un fantasme omniprésent. Un fantasme qu'on se plaît tant à cultiver et dont la réalisation renouvelée risque non pas de faire décroître mais au contraire de décupler le désir ..., ce qui est le comble des paradoxes :! . Non, ce qu'apporte incontestablement la fessée, c'est un plaisir teinté de grande émotion, une évacuation du stress, un apaisement vécus dans la majorité des cas au travers d'une complicité bienfaisante. Je pense qu'on est dans une démarche libératrice et jouissive mais pas vraiment correctrice... . "En plus, je crois qu’il ne faut pas trop espérer ou attendre en retour. La différence se fait au niveau des attentes de chacun, de sa propre recherche. Il est nécessaire de ne pas trop s’impliquer au risque d’en souffrir." Nos relations aussi bien dans le cadre de l'expression ici-même que dans la réalisation du fantasme sont souvent imparfaites parce que nous sommes des êtres imparfaits ( j'enfonce une porte ouverte mais il n'est pas inutile de le redire pour éviter toute forme de pensée manichéenne ), parce que les situations humaines quand nous abordons ces jeux sont inégales et parfois difficiles, parce que la communication n'est pas sans failles et que les défaillances à ce niveau - les nôtres aussi, ne l'oublions pas - peuvent engendrer des frustrations et des blessures. De nos partenaires de jeu nous sommes tentés d'attendre beaucoup, ne serait-ce que, parce que derrière eux se profile souvent de façon semi-consciente l'image sécurisante du père et parfois nous leur demandons d'être tour à tour père, frère, ami, voire davantage ! Pour ma part je crois avoir remarqué au fil de nos échanges que l'approche de ce fantasme n'est pas exactement la même pour nous tous, pour les uns elle semblerait plus libertine, pour les autres dont je fais partie plus sentimentale... Comme un grand nombre d'entre nous je me suis exprimée là-dessus sur le forum dans "fantasme et affectif" et "la relation tout simplement" .On touche là à un sujet très complexe auquel pour ma part je ne peux que répondre de manière paradoxale : d'un côté il s'agit d'un jeu mais aucun des partenaires n'est un jouet ou un gadget ... ! d'un côté pas d'ivresse sans tendresse, de l'autre il m'apparaît clairement que la tentation de rechercher une quelconque sécurité affective à travers ces rencontres est de l'ordre de l'utopie ! D'où la nécessité de faire preuve d'une très grande vigilance par rapport à ses propres sentiments .mais en même temps de ne pas renoncer à ses exigences et à son idéal d'amitié ... La vraie amitié, la plus solide, elle sera avérée si un jour, empêchée pour X raisons de jouer à ces jeux, elle perdure et alors pour ma part il me plairait, reprenant en pastiche les paroles d'Anne Sylvestre, qu'on me dise, qu'on me crie, qu'on me chante : Merci d’avoir vécu. Merci pour la tendresse Et tant pis pour vos fesses Qui ont fait ce qu’elles ont pu. Merci Petit Canaillou qui m'a un jour envoyé cette chanson
petit canaillou 7706 - 27/03/2012 15:54:06 modifié le 27/03/2012 16:23:33 J'aurais au moins eu cette sastisfaction qu'au moins vous Dame Iris ayez aimé les proles de cette chanson. Marie aussi l'avait beaucoup aimée alors que pas mal d'autres l'ont dédaigné et m'en ont même dit qu'elles ne sont que des clichés quasi vides de sens. Je n'invente pas là. Je dis ce qui m'a profondément blessé. Au sujet des dégâts collateraux du manque d'empathie et d'écoute hélas, ui paiera'addiction? Moi je dis surtout que dans ce fantasme et sa réalisation c'est une très grande partie de notre intimité que nous livrons à l'autre. Alors, simple utopie ou désir aussi de protection et de suivi? Chacun son truc et sa manière de fonctionner mais du haut de notre apparente maîtrise du sujet n'enfonçons pas autrui en lui disant qu'elle ou qu'il raisonne comme un gamin malade. Sommes nous si sur qu'un jour nous n'allons pas être aussi dans cette situation? Je me méfie comme de la peste de ceux qui prétendent tout maîtriser. Je mets rarement des gants, surtout au printemps, sauf pour jardiner!