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Le but du blog est de permettre à tous d'échanger nos points de vues, expériences, interrogations, remarques, etc. sur le fantasme qui nous est cher.

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Marie avatar plus
7333 - 9/02/2012 11:44:27 modifié le 9/02/2012 12:29:09

Oui Jack, j'avais cette chanson de Michel Sardou qui me trottait dans la tête...Alors j'ai écrit ce texte.

Pour répondre à Laureline :

La question a été posée mais qu'importe. Je comprends qu'il n'est pas facile de lire tous les posts !

Non, je ne me suis pas décidée rapidement.
Ce fantasme était en moi depuis fort longtemps et pourtant je n'ai jamais été fessée enfant.

L'interrogation du pourquoi m'a poursuivie jusqu'au renoncement de la compréhension. A quoi bon, c'était comme ça de toute façon.

(Aujourd'hui, ceci dit, j'ai une réponse...au moins je sais quel est le facteur déclenchant mais pas le pourquoi réel...Quelqu'un le sait il d'ailleurs...)

L'envie persistait mais il était difficile de concrétiser de par le côté "anormal" que je voyais au travers de ce fantasme et de par les aléas de la vie.

Ce n'est pas quelque chose de banal en fait.

Je suis passée par le déni donc.

Puis cette irrésistible envie me tenaillait toujours autant..alors, je me suis inscrite sur ce site...et j'ai franchi le pas...

Marie avatar plus
7334 - 9/02/2012 15:22:16 modifié le 9/02/2012 15:43:30

Pour compléter mes propos, je rajouterais :

Pouvoir vivre pleinement son fantasme de la fessée, c'est s'éviter une forme de frustration dommageable, douloureuse qui nous hante en quelque sorte, qui nous poursuit. Le fantasme refoulé renait toujours, apparaît lorsque l’on ne s’y attend pas. Il accapare nos pensées.

Pour certains et certaines donc, le fantasme devient une obsession. Cette dernière doit être réalisée sinon il y a un manque, un mal être.
Pour d’autres, le fantasme est un plaisir et aussi un exutoire. Ils n’hésiteront pas à le réaliser donc.

On peut se poser la question de savoir si le fantasme de la fessée est fait pour se réaliser.
La honte est souvent l’empêcheuse de tourner en rond. Dans ce cas ne vaut mieux t-il pas en faire abstraction et assouvir ce fantasme qui rappelons le, peut virer à l’obsession et donc au malaise moral ?
Un conflit avec nous même se crée…

Après tout, notre fantasme fait parti de nous…

A nous de choisir, de peser le pour et le contre…Peut on vivre avec ce fantasme en soi sans jamais le réaliser…ou faut-il franchir le cap ?

Certains, certaines se satisfont bien sur du simple fantasme et ne franchiront jamais la ligne...Pourquoi, je n'en sais rien...

Je pense que beaucoup d’entre nous sont passés par ces phases, par des phases de questionnements avant de passer à l’acte..car en plus de la honte, il y a la crainte…

Attendre trop longtemps n’est pas un bien en soi à cause du déséquilibre que cela peut représenter, de ce manque que l’on ressent, de ce mal être qui nous envahit, de cette envie qui nous tenaille…

petit canaillou avatar plus
7335 - 9/02/2012 16:22:01 modifié le 9/02/2012 16:23:41

Tu poses là la question esssentielle Marie.

Car il se pose un dilème dans notre quête: oser, ou, mettre un mouchoir dessus.
C'est le ragard et le risque de condamnation de nos semblables qui crée ce dilème.

Alors, que faire?

Vivre avec cette taraudante envie au point de s'en rendre malade, croire l'avoir enfouie au fond de nous alors que nous avons bien conscience que cet apparent renoncement n'est qu'un leurre?

Ou bien, oser l'avouer, vouloir le vivre au risque d'en concevoir de l'amertume en cas d'échec?

Je suis pour la deuxième proposition, car pour moi dans la vie ce sont la curiosité et la soif d'aventure qui nous font progreser.

Pour parodier Corneille" A vivre sans péril , on capitule sans gloire, mais plus grave , sans aucun plaisir"

Mourrir de faim sans avoir goûté le fruit surtout défendu par nous même, quelle ironie.

En osant, nous ne prenons que le risque d'être déçu.

En osant pas, celui d'être introverti le restant de nos jours..

Et de ressntir comme un manque lancinant.

Bien sur cela se fait en prenant moults précautions.

Le seul regret que nous puissions avoir en cas de réussite parfaite de l'expérience, c'est de ne pas l'avoir osée plus tôt.

painfull avatar plus
7336 - 9/02/2012 16:36:02

a oostende reine des plages a 6 ans ma mere fut la reine des fesseuses voila j avais6 ans on jouait sur la plage l ete 1960 2 garconnets raymond et moi 7 et 6 ans et 2 fillettes nicole 5 ans une ravissante blondinette et christiane 6ans raymond trouva un jeu se se faire glisser sur la digue allant de l estacade a la plage assis comme sur un tobogant on s amusait comme des fous les parents nous voyaient ma mere seule vint me dire d arreter ce jeu sinonj aurais une fessee a cul nu, j en avais recu une 2 ou 3 mois auparavant pour quelques gros mots 2 claques mal pendant unde heure et les fesses rouges pendant 2 ou 3hj , je ne voulais pas revivre cette experience je retournais sagement pres des parents , ensuite ma mere partit chercher des sandwichs det des limonades, les autres enfants m appelerent et dirent elle fera rien , mon pere sembla acquiescer je retournais donc; mais quand ma mere revint ce fut different elle engueula mon pere et courut vers moi ,je tachais de fiur elle me ratrappa je pleurais sachant ce qui m attendait elle me traina devant les autres la mere de nicole tenta de la raisonner mais en vain j avais desobei mon pere ne broncha pas ma mere me fit tomber pour me mettre sur le ventre la tete dans le sable mes lunettes faillirent se briser, puis ce fut la honte,elle deboutonna mes bretelles detacha ma culotte qu elle fit glisser sur les mollets,puis mon slip ,mes fesses immacullees parurent en plein soleil, la honte moi si pudique et devant les filles dont nicole que j aimais puis les claques tomberent sans retenues 6 sonres je les entends encore 50 ans apres :clac,clac,clac,clac,clac,clac,j entendis nicole dire a sa mere son poum est rouge il a tres mal, jetais en etat de choc et n avais pas sentis la douleur,ma mrere me rhabilla ,et me fit me lever la je ne peux decrire la douleur qui m etreignit mon slip me brulait il semblait que mon derriere etait en feu,je pleurais , j ai mal au poum, pourquoi maman, tu me frappes,tu as desobei ,arrete de pleurer on rentre a l hotel mais j avais trop mal et la honte et l injustice et la lachete de mon pere. ON RENTRA IL ETAIT 2H JE PLEURAIS TOUJOURS LA MAIN SUR MES FESSES? A L HOTEL?ELL4E ME DESHABILLA ET ME MIT EN PYJAMA ET AU LIT; avant de me coucher je baissais ma culotte et vis que mes fesses etaient ecarlates , j allais dans mon lit me couchais sur le ventre et m endormis en pleurant Vers la fin de l apres midije me reveillais,j allais a la toilette et ressentis encore la douleur en m asseyant sur la lunettes,je vis que mes fesses etaient encore rouges, je retournais , dans ma chambre et m etendis sur le lit ma mere arriva repentante et tenta de m expliquer qu elle voulait mon bien elle avait peurt que je me blesse et mde fasse mal,quel culot j avais failli m eborgner en risquant de casser mes lunettes quand elle m avait flanque dans le sable et me faire j avais encore mal 3h apres , une telle fessee, elle dit tu n as plus mal, si quand je m assied et j ai vu mon poum est toujours rouge,la elle me dit de baisser ma culotte et vis que je disais vrai elle dit pardon et m embrassa,elle savait que j avais la peau fine et hyper sensible, elle partit dans la salle de bain et revint avec un pot de creme adoucissante que je mettais lors de brulures et leger coup de soleil , elle en enduisit mes fesses et commenca a me masser,elle massait avec tendresse et delicatesse ces memes fesses que 3hj plus tot elle avait si violemment frappees, je ressentis un reel bien etre ce massage estompant la douleur au bout de 10 min elle dit tu n as plus mal, si un peu elle remit encore de la creme et me caressa encore 10 mlinutes puis elle fit un bisou dsur mes fesses et me rhabilla avec delicatesse ,on partit au resto la je choisis mon plats des langoustinres et une glace a la fraise mon pere pour se faire pardonner m offrit un ballon de foot; le lendemain la compassion des autres enfants me gena;nicole m embrassa, je" dis que cela n avait pas ete si terrible et que ma mere s etait excusee

Marie avatar plus
7337 - 9/02/2012 16:45:19

Bonjour Painfull et bienvenu.

Ton histoire est très prenante. On sent tout le ressenti que tu as eu.

Cette mésaventure est restée gravée en toi à jamais.
On comprend alors bien ton attirance vers ce fantasme...

Pour ma part, j'ai du mal à imaginer cela ne l'ayant jamais vécue enfant.

Je note au passage que ce fait anodin pour les parents devient une empreinte indélébile pour certains ou certaines.

Est ce du à la honte ressentie...Je ne sais..

Je ne peux parler que de mon vécu actuel et je dis oui, la honte en tant qu'adulte consentante, est bien présente...

petit canaillou avatar plus
7338 - 9/02/2012 17:49:38

Tout comme Marie, j'aime beaucoup votre récit Painfull à qui je souhaite la bienvenue.

On y ressent tous les émois de cet évènement qui ont marqué durablement votre existense.

Laureline avatar plus
7339 - 9/02/2012 18:12:17

Merci de tes réponses Marie, effectivement la grande question est de savoir si on doit concrétiser ce fantasme ou si c'est mieux que ça reste ... un fantasme, justement !

En plus de la peur de tomber sur qqn qui essayerait d'abuser de la situation, un prédateur comme j'ai lu sur d'autres posts, j'ai une autre peur qui va peut être te faire sourire : j'ai peur d'être déçue, que la réalisation ne soit pas a la mesure de mes rêves, que ca me pollue l'image si... forte que j'en ait...

Toi qui a franchi la ligne, est ce que c'est aussi bien, mieux, moins bien que ce que tu imaginais ? Tu ne regrette pas de l'avoir franchie ?

painfull avatar plus
7340 - 9/02/2012 18:14:31 modifié le 9/02/2012 18:16:17

PREMIERE FESSEE DIGNE DE CE NOM A 5ANS ET DEMI VOILA ce sont les vacances de paques ; j ai 5 ans et demi, je fais la grasse matinee, hier on a ete se promener en foret,helas ves 8h 30 , ma mere allume l aspirateur, tres bruyant on est en 1959, je me reveille grognon, dans mon pyjama, que l on vient de m acheter une taille au dessus, de ce fait une de mes fesses blanche est denudee,je dis maman l aspirateur fait du bruit je peux pas dormir,elle retorque moqueuse ne parles pas sur ce ton larmoyant bebete,je reponds vexe: sale crotte, cela ne se dit pas mais j ai 5 ans et demi et elle m a reveille, elle se precipite sur moi et flanque une claque magistrale sur la fesse denudee, clac cela resonne,il y a la marque rouge de sa main qui couvre ma fesse ensuite , elle rabat ma culotte et frappe la fesse vierge ou idemne plus fort encore clac,deux marques rouges ou l on voit l empreinte de sa main vigoureuse une sur chacune de mes pauvres fesse ayant la peau ;blanche sensible et fine je ressens directement une vive douleur je pleure mets mes mains, sur mes fesses et les frotte; ma mere me laisse pleurer continue son menage puis une demi heure apres revient,je dis pardon,mais j ai fort mal oui ca a bien claque tu as une giroflee a 5 petales de chaque cote, ca fait equilibre,cela t apprendra a dire des gros mots c est ta grand mere qui t apprends cela, bon viens faire ta toilette encore nerveuse elle me lave avec un gant de toilette et frotte aussi sur mes fesses, tu fais mal maman , ca t apprendras,ensuite, elle m habille et dit assied, bois ton choco, je m assied la chaise est dure je dit aiii j ai mal , en effet la fessee dont je sens encore les effets et m avoir frotter assez durement avec le gant de toilette pour me laver , ont fait que mes malheureuses fesses sont encore sensible; elle dit ne fais pas le bebe, tiens voila un coussin , je m assieds je sents moins la douleur une demi heure apres la douleur disparait soit une bonne heure apres la fessee, mais les marques ne disparaitront que plusieurs heures apres,mais c est rouge mais plus douloureux, cher paye une bonne de douleur cuisante pour quelques gros mots ma mere ne pouvait ell attendre mon reveil pour aspirer

petit-chaperon-vert avatar plus
7341 - 9/02/2012 22:51:58 modifié le 9/02/2012 22:54:58

Bienvenue à toutes les nouvelles et les nouveaux...

@Painfull, je remarque que vous êtes super branché sur les histoires de fessées reçues par maman, pendant l'enfance. Très certainement vous connaissez le blog de Christine punie - http://christinespk.blogspot.com/

@Laureline, pour répondre à certaines de vos questions je dirais que je ne me suis pas décidée rapidement à franchir une certaine ligne parce que je n’avais pas imaginé la franchir. J’étais même pleine d’admiration pour celles qui osaient, mais c’était un peu comme un autre monde dans lequel je n’irai pas.

Le problème c’est que je suis trèèèès curieuse et qu’un jour j’ai commencé à avoir très envie de ‘voir’ un fesseur en chair et en os. A peu près au même moment, une agréable relation épistolaire, de longue date (plutôt exigeante dans sa recherche, je trouvais cela très mignon…) commençait à me proposer clairement une rencontre, en tout bien tout honneur, bien sur.

Je m’étais dit, avec un peu de pot je ne lui plairais pas du tout ! Et bien, pas de pot !


Quand au décalage entre la fessée rêvée et la fessée reçue, il existe bien sur. Le tout est de savoir si effectivement recevoir en vrai avec tout l’emballage qui va avec reste un plaisir fascinant. J’avais aussi cette petite interrogation… On ne le sait que quand on essaye. Au pire, on ne recommence pas et au pire, on devient complètement adicte !

Marie avatar plus
7342 - 9/02/2012 23:09:53 modifié le 9/02/2012 23:11:55

Pourquoi la peur d'être déçue me ferait-elle sourire. Loin de là, cette crainte est même normale. Je l'ai connue aussi.

J'ai franchi la ligne, pour ma part, je suis bien tombée. Je ne regrette rien.

Maintenant est ce mieux, bien, moins bien que ce que j'imaginais ?

Je dirai que je vis ce que j'attendais. La preuve, je suis encore dans ce fantasme...et on tombe vite dans l'addiction...

Je me cherchais et je pense me chercher encore..c'est tout ce que je peux dire.

Je crois qu'en venant à concrétiser ce fantasme, nous sommes en quête de quelque chose, nous attendons quelque chose. Chacun aura sa quête.

Cette honte, ce plaisir, cette foule de sentiments qui nous envahit...ne sont pas étrangers à notre recherche...ils induisent une finalité dans la concrétisation du fantasme...Le reste se découvre au fil des des fessées, en fonction de notre ressenti, je dirai...

Ceci n'est que mon avis bien sur...Nous avons tous le même fantasme mais pas la même recherche, pas les mêmes envies, pas les mêmes plaisirs non plus...

C'est un sujet à la fois délicat et vaste...

Ma crainte serait de changer au fil du temps...
J'aimerai garder en moi ce que je ressens à chaque fois...Je voudrais que ce plaisir, cette honte...restent intacts, avec mes vrais ressentis sans tricherie...même si cela peut paraitre hors du temps, nunuche ou ringard...
Si je devais en arriver à simuler par exemple, je ne serai plus moi...et je remettrai en cause le pourquoi...

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