Le dialogue est toujours préférable mais on ne peut reprocher une vive réaction si le propos blesses.

Chacun peut évidement être tollérant et accorder que tous, de part notre éducation et notre vécu nous avons des idées pas toujours humanistes ou disons arbitraires sur un certain nombre de choses.
On peut toujours dire qu'on n'aime pas tel genre de personne et l'argumenter, mais hélas le rejet est toujours un refus de discuter pour faire évoluer les choses dans un meilleur sens.

Dans la vie il n'est pas aussi facile de réagir comme on l'écrit parce que nous avons tous nos humeurs et qu'elles sont changeantes suivant les événements qui nous agressent ou nous donnent de la joie.

Nous ne sommes que des êtres humains... nul n'est tout noir ni tout blanc.


Je comprends cette réaction mais je ne l'approuve pas parce qu'elle est stérile.

Comprendre c'est déjà faire un pas vers la réflexion.

(Comme Agramant a effacé mon dernier message, je reprends ma plume, la persévérance étant part de mon caractère de goujat et j'apprécierais qu'elle reste en ligne, vu que c'est moi qui suis interpellé par les propos d'Iris).
Quand on veut prêcher la tolérance, on commence, je pense, par ne pas encourager les propos d'Iris en lui demandant de citer le nom du goujat; à nouveau je suis un grand garçon et je peux donner mon nom moi-même

Ensuite si on parle tolérance, c'est toujours facile d'en parler derrière un clavier, la réalité vous confronte à des situations qui peuvent remettre en cause vos bonnes résolutions.

Je me retrouve avec une dame (fort séduisante au demeurant) qui décide de tromper brièvement son mari pour une partie de jeux unique avec moi de 16 à 18h... La tension monte, l'excitation sexuelle aussi... et paf, je me rends compte qu'elle n'est pas seulement jolie mais aussi raciste et intolérante. Mon désir retombe comme un soufflé, et par respect pour moi, je met fin aux jeux et éjecte la malheureuse. Si cela fait de moi un goujat, j'en suis fier.

Alors j'aurais sans doute pu la prendre dans mes bras et lui sussurer suavement que je voulais comprendre pourquoi elle avait dit cela, lui pardonner ses péchés et tout et tout, mais là, à chaud, j'ai eu une réaction de dégoùt et la toucher m'était devenu insupportable.

Quand à m'entendre avec Iris par MP... Ben si Iris m'avait demandé des explications par MP sur le forum où elle a lu cela, je les lui aurait fournies avec plaisir. Mais elle a préféré déflorer l'histoire selon sa grille de lecture pour l'étaler en ces pages... Si on sème à tout vent, il ne faut pas s'étonner ensuite de récolter une moisson

Comme je l'ai déjà dit hier, cette anecdote relatée et les impressions très personnelles qu'elle a suscitées en moi n'avaient qu'un seul objectif : être le point de départ d'une réflexion plus générale.

Un point à rectifier cependant : ce faisant je n'ai jamais cité votre nom et ne me suis autorisée à l'utiliser en direct que lorsque, dans le post d'hier soir adressé à Agramant et à moi-même, vous l'avez dévoilé vous-même par la formule conclusive "votre dévoué Aranam"... ( post 4833 )

Ouaf, ouaf, ouaf, se dit le petit chien : " après cet incendie, vaut mieux rester sagement derrière la barrière et ne plus jamais aller fouiner chez les voisins !"