Agramant 2701 - 7/06/2011 20:44:42 Je suis désolé d'avoir à user de semblables méthodes, mais je ne vois plus que cette solution pour calmer les esprits. On reprendra demain à la fraiche, et svp dans le calme et le respect de chacun.
Agramant 2702 - 8/06/2011 06:11:13 modifié le 8/06/2011 06:20:01 Bien. Tout le monde, moi y compris, a lu trop vite et a réagi trop vivement, alors on clôt l'incident, et surtout on arrête les attaques personnelles y compris celles faites via de "fines" allusions. C'est ce genre de pratique qui met une ambiance de m... et qui a sans doute contribué à couler d'autres tribunes, alors stop, merci.
mikesp 2704 - 8/06/2011 10:57:39 Oui, et puis la mer de la sérinité c'est sur la lune. (bon, je reconnais que celle-là est un peu tirée par les cheveux...) Par les cheveux ? Mais alors c'est lunatique ! Ouarffff ! j'en peux plus d'être drôle !
fessesaclaques 2705 - 8/06/2011 11:23:03 Et, celle de la Tranquilité aussi! Etiré par les cheveux? Tu as de ces pratiques toi!
Mirabelle33 2707 - 8/06/2011 14:36:55 modifié le 8/06/2011 14:37:43 La fessée dans un parcours de randonnée. Voici le printemps qui sonne à nos portes et les bonnes intentions écloses telles des boutons de roses. Pleine de bonnes volontés et un esprit déterminé, c'est par la marche à pied que mon fesseur local et moi avions décidé de profiter de cet éveil de la nature. Sur un parcours de randonnée, nous nous sommes promenés. Lui en costume gris et chaussures vernis portait une élégance et un charme irrésistible. Ma tunique et mon jean étaient bien plus simple, tout en soulignant à merveille, mes formes de manière très suggestive. Nous marchions doucement à travers la partie boisée du parcours. Pas un seul être humain à l'horizon. Il est vrai que nous étions un de ses jours de semaines où la majorité des gens sont au travail. Une aubaine pour nous, puisqu'en s'approchant du petit pont de bois, mon fesseur m'interrompt. "Il est temps pour toi de commencer à payer tes provocations", me dit-il d'un ton et un regard sévère. Avec mon regard d'ange et tout ma générosité, je joue de la prunelle. Et sous un faux repenti lui répondit : "oh, mais monsieur, je ne l'ai pas fait exprès. C'était que les jeux de mots étaient bien trop tentant." "Mais c'est bien pour ça que tu vas être punie là. Et pour que tu le comprenne bien, tu vas te placer dans le milieu du chemin afin qu'on puisse bien te voir de loin." Enchaîna-t-il, bien déterminé à ne pas me laisser m'en aller. Puis me montrant l'entrée du pont avec ces trois marches en bois, il m'ordonna de me pencher afin d'y recevoir ma première fessée. Les coups tombèrent d'abord sur mon pantalon. Puis sa main gauche passe sous mon ventre et le déboutonne en un geste si précis et rapide qu'on y reconnait là un homme expérimenté. Ma culotte sourit à présent aux feuilles des chênes et des marronniers. Quant aux claques, elles suivent un rythme de valse viennoise. Mon esprit tente d'ignorer la situation. J'appréhende l'arrivée d'un inconnu. Je ne suis pas tranquille. Après tout il ne verra que ma culotte. Mais c'est tout de même gênant. Et tandis que je pensais à cette délicate, situation, je sens ma culotte glisser, exposant ainsi mes fesses à tous les randonneurs. Heureusement qu'ils n'avaient pas décider de parcourir ce sentier à ce moment-là. Les claques se firent plus rapide. Puis il s'arrête, comme si mon tourment était terminé. Il m'autorise à me relever et à me rhabiller. Je souffle. Il n'y a toujours personne. Nous progressons doucement sur le chemin, puis faisons demi-tour. De retour, devant le petit pont mais de l'autre côté, il me regarde est me dit : "on n'a pas essayé ce côté là". Affichant un large sourire que même les bananes ne pouvaient égaler. Et me voilà à nous effeuiller et exposer à tous les risques. Je ne fais pas du tout la maligne là. C'est très gênant dirons-nous. La fessée se termine et pour moi, j'ai encore évité une rencontre embarrassante. Déçu du faible taux de fréquentation du sentier de randonnée, il décide de me confisquer mon pantalon et ma culotte. Et me voici fesses à l'air à arpenter ce chemin de terre. La honte m'envahit et parcours tout mon corps. Et nous voilà repartit dans les profondeurs du sentier. Le parcours présente de dénivelés importants. Aussi, c'est devant une forte côte, qu'il décida de m'administrer ma troisième fessée. Celle dont il espère me donnera à réfléchir à l'avenir sur mes provocations. Et là, ce que j'avais espéré ne pas voir arriver ce passa. Un VTTiste arrive motiver sur le parcours. Par chance ma tunique a le temps de recouvrir mes fesses. Mais il n'y avait là aucun doute. Nous nous écartons. "tu vas voir, il va revenir", me dit mon fesseur tout content d'avoir eu une telle occasion. Et moi, je n'osais même pas imaginer la couleur de mes joues. De retour au village, nous avons bu un verre et rigolé de cette aventure sur le sentier de randonnée. Et comme mon fesseur est persuadé que cela ne m'aura pas calmé, il m'a d'ores et déjà prévenu, que nous recommencerions ce parcours de randonnée. Ce récit est une exclusivité pour ton site Agramant.
Agramant 2708 - 8/06/2011 14:44:27 Merci ! Je ne sais pas pourquoi, je sens que je vais me remettre à la randonnée moi... Il est ou ce sentier, déjà ?
petit chaperon vert 2709 - 8/06/2011 16:25:48 Ah ! Mais ce petit sentier est interdit aux fesseurs sans souliers vernis... Merci Mirabelle ! On entend presque les cigales derrière le bruit des claques !
Agramant 2710 - 8/06/2011 16:32:29 Les baskets vertes remplacent avantageusement les soulier vernis si l'impétrante a des vélléités de fuite !
mikesp 2711 - 8/06/2011 16:38:16 Je ne sais pas pourquoi mais les randonnées ne me disent plus rien à moi.