Je rêvais d'un cadre disciplinaire!

En fait j'y étais en plein dedans, sauf que, va savoir pourquoi, moi qui l'a désirais tant, les monitrices ne me la donnaient pas.
9a n'est que plus tard que j'ai sentie ou subodoré le caractère et la connotation sexuelle de la fessée.

Et, adulte, comment pourrait-il en être autrement étant donné la proximité des fesses avec l'appareil génital?

Maintenant, j'assume pleinement cet état des choses!

C'est exactement ce que je voulais dire, comment une personne mentalement "normale" pourrait concevoir de se laisser sermonner humblement en baissant la tête, entendre et accepter l'annonce d'une punition, venir de son plein gré se coucher en travers des cuisses d'une personne souvent inconnue, se laisser déculotter, offrir ses fesses nues aux regards de cette personne et accepter d'être punie, fessée d'une humiliante façon, en dévoilant dans certaines contorsions d'intimes secrets, pleurnicher ou gémir sans retenue, en un mot ne plus s'appartenir et s'abandonner complètement l'espace d'un moment inhabituel, sans y prendre du plaisir?
Même les vrais masochistes prennent du plaisir souvent cérébral celui là, car il leur est souvent interdit de montrer certaines preuves de plaisir. La honte attendue, espérée et consentie n'est elle pas une sorte de plaisir qui nous fait un instant vivre une autre condition, descendre de notre piédestal. Le fesseur prend un autre plaisir déja visuel car souvent comme c'est mon cas, il aime voir des fesses nues. Ensuite commander et disputer quelqu'un(e), l'obliger à venir se metttre dans une certaine position pour le punir, le déculotter, se moquer de sa position précaire, lui annoncer l'imminence de sa déchéance, lui rougir les fesses en modulant le feu des claques pour faire durer longtemps, ne pas infliger une douleur insupportable et que la chaleur s'installe petit à petit sont un plaisir. Voir un beau derrière nu et bien fendu s'agiter éperdument sous ses yeux est aussi un plaisir. Il est évident et vérifiable surtout dans la position en travers des cuisses, que les pubis des deux personnes se trouvant en contact même à travers un tissu, la chaleur et le frottement aidant font qu'on peut constater pour le fesseur un phénomème développant (d'où necessité de bien positionner la partie développable au départ sinon...aie!aie!)et chez la punie une lubrification bien présente. Côté receveurs qu'ils soient hommes ou femmes, il est bien connu que la chaleur du fessier puni se progage aux sexes qui sont pour les deux cas à proximité et la nature fait son office. Certaines femmes fessées sont insatisfaites si la punition ne se termine pas sur un acte sexuel et d'autres ne le souhaitent pas, le mieux c'est de clarifier les choses au départ et ainsi chacun y prend.....son plaisir.

Et oui, Mirabelle on transgresse et on se fait un exorcisme par des moyens détournés.

Sinon, cela deviendrait vite insupportable!