adrien 1058 - 28/12/2010 19:32:30 bonjour Mirabelle, tu écris ceci: -Actuellement, j'ai deux blogs sur lesquels je raconte mes aventures actuelles avec Maître Gary et mon parrain M. Baccardi. Nous allons en savoir plus sur ces blogs? Merci
Mirabelle 1059 - 28/12/2010 21:43:47 modifié le 28/12/2010 23:21:37 Bonsoir Adrien, Agramant m'a fait l'honneur de mettre mes liens http://agramant.free.fr/liens.php, sur son site. Donc pour me lire et voir les photos, il suffit de cliquer sur les liens. Le blog "fessées pyrénéennes" reçoit mes photos perso, mais nécessite une inscription comme membre pour les voir. Et j'apprécie aussi ta remarque sur les fesses bien rouges. J'ai toujours interdit les marques. C'est pas ces petits points qui se résorbent dès le coucher qui sont gênants. Et parfois, ça peut arriver, mais on soigne de suite. De la douceur ça fait aussi du bien.
IRIS 1060 - 28/12/2010 22:44:39 modifié le 28/12/2010 23:12:53 Dans le genre écologique préconisé par Mirabelle, plus encore que les verges, la fessée aux orties, dont on ne vantera jamais assez les vertus bienfaisantes grâce à leur richesse en oligoéléments , leurs propriétés antiasthéniques et stimulantes de toutes sortes, donne parait-il d'excellents résultats thérapeutiques et permet d'obtenir une belle teinte uniformément cramoisie ainsi que de lancinantes piqures de rappel plusieurs jours durant ... Parfois pratiquée pendant mon enfance à la campagne, bien que ne l'ayant personnellement jamais subie, mais l'ayant entendue infliger à deux reprises non sans un certain effroi, je me souviens des gémissements qui ne manquaient pas d'accompagner cette fessée-là ( les orties nouées au bout du martinet ) pour celui ou celle qui en était la victime ... Lorsque j'étais en Terminale, je me souviens avoir eu à traduire un texte du poète latin Petrone où celui-ci recommandait de ne pas hésiter à fouetter vigoureusement - et même avec la plus extrême vigueur - les messieurs, mais seulement les messieurs, coureurs de jupons ou au contraire à la virilité défaillante, avec un bouquet d'orties "au-dessus du nombril, sur les cuisses et sur les fesses"... Donc un remède vieux comme le monde, facile à mettre en oeuvre pour tous les volontaires puisque même dans les grandes villes cette plante bienfaisante prolifère partout ... Avis aux amateurs et bonsoir à tous !
Mirabelle 1061 - 28/12/2010 23:20:01 Pour quoi tu places les orties au dessus des verges ? tout dépend comment les coups sont infligés. Si les coups sont données en douceur (au début en général), les sensations sont identiques à celle des orties, avec l'effet urticant en moins (persistance des picotements). Si les coups sont plus appuyés, les verges cinglent en plus de picoter. Ce qui provoque une chaleur intense sur une zone large autour de l'impact. Certes, on aura pas l'effet prolongé de l'urticant, mais pour moi, les verges sont plus sévères que les orties. Je parle de ma propre expérience et de mon ressentis.
IRIS 1062 - 29/12/2010 01:13:35 modifié le 29/12/2010 01:28:06 Si on se place au niveau de la sévérité du châtiment, effectivement les verges valent bien les orties, et bravo pour votre endurance Mirabelle, encore que lorsque le bouquet d'orties est noué au martinet - comme c'était le cas dans mon enfance - on obtient à la fois l'effet cinglant et urticant: deux pierres d'un coup ..., mais d'un point de vue écologique la supériorité d'une plante vivace aux multiples vertus ( dont la vertu aphrodisiaque n'est pas la moindre ! ) me semble évidente par rapport à celle d'un simple bout de bois ... Je remarque aussi que le poète latin préconise cette fameuse fessée aux orties uniquement pour les messieurs et cette pensée me fait sourire ..., car il me semble qu'un certain nombre d'entr'eux mériteraient amplement de descendre de leur piédestal en se voyant infliger le dit châtiment, par exemple ceux qui ne penseront à vous souhaiter joyeux Noel qu'à la Chandeleur ou au 14 juillet ... Un pur fantasme de ma part bien sûr ! Enfin ce que j'écrivais était à lire au second degré, car personnellement, quand il s'agit de recevoir, je n'apprécie plus guère que la main . La main qui peut être tout à fait cinglante, toutefois me paraît de nature à réchauffer non seulement les fesses, mais aussi le coeur, l'âme - bref la personne tout entière que nous sommes - et dont le contact à fleur de peau est par surcroît infiniment plus sensuel que tous les instruments réunis ... Bref la bonne vieille recette traditionnelle qui a fait ses preuves et dont on ne sera jamais ni lassée ni blasée ni déçue !
1063 - 29/12/2010 11:18:27 Bonjour à toutes et à tous. Visiblement, les conversations s'animent quand il s'agit de commenter les récits des fessées reçues par les membres du groupe. Je ne pense pas que Mirabelle minimise les talents de son fesseur. Sans doute, Jack réagit-il ainsi par provocation! Pour ma part, étant un maso douillet et plutôt cool, je préfère de très loin les fessées à la main. Déjà, elles sont plus charnelles et, par conséquent plus sensuelles. D'autre part, je ne suis pas écolo au point d'apprécier les verges, les orties ou la canne. La nature peut être très dure quelques fois! *C'est ainsi, même si je laisse à chacune ou chacun le libre choix de ses préférences. Au plaisir de vous lire!
Mirabelle 1064 - 29/12/2010 13:01:27 Je suis heureuse pour vous. Trouvez du plaisir uniquement dans la fessée à la main, c'est bien. Je ne suis ni endurante ni maso. Ce qui me plait surtout c'est cette appréhension de la situation, de mes préjugés sur tel ou tel instrument. Cela stimule mon imagination et donne à la fessée tout le plaisir des sens. Je préfère les caresses d'un instrument dont on maîtrise le coup, à des mains trop agressives et sans retenues. Le contact charnel, oui bien sûr. Mais une main c'est fait pour réconforter, pour rassurer. Et je la préfère encore plus lorsqu'elle vient me caresser. Car elle est là le symbole de la complicité. Parfois, elle peut sévir, mais jamais pour faire mal. Juste pour troubler mes sens dans un jeu de fessée érotique.
Jack 1065 - 29/12/2010 14:27:39 Merci cher Agramant de m'avoir relocalisé sur le Bordelais concernant la belle Mirabelle que j'avais involontairement délocalisée au Québec... Quant à vous chère Mirabelle en écrivant cela, j'avais en tête une fessée aux verges que j'avais administrée avec fermeté à une copine pendant mes années de fac (long time ago !), et je l'avais fouettée avec vigueur (je fesse toujours les femmes avec beaucoup de fermeté), cul nu dès le départ, pour obtenir des fessées piquées de rouge du plus bel effet...Je pense que les verges sont réservées à la fessée punitve et qu'il ne faut pas hésiter à déculotter largement et à fouetter avec sévérité. Je pense pareil pour une fessée au martinet d'ailleurs.
IRIS 1066 - 29/12/2010 18:38:13 modifié le 29/12/2010 18:49:23 Des goûts et des couleurs ... Ce qui est vrai dans le domaine de l'art l'est encore davantage dans le domaine érotique : tel instrument ou telle pratique qui font fantasmer et jouir l'un ne seront pas nécessairement conformes au goût de l'autre car ils n'auront pas la même signification dans l'imaginaire ... chacun ayant un rapport au corps, une sensibilité et une histoire personnelle différentes, voire un arrière- plan intellectuel ou spirituel qu'il ne faut pas minimiser, sous peine d'amputer un être humain d'une de ses dimensions ! Mais pourquoi opposer fessée punitive et fessée érotique, comme semblent le suggérer Mirabelle et Jack ? Il me semble que le plaisir de la fessée se distingue d'emblée d'un simple attraît érotique pour les fesses et qu'une fessée digne de ce nom, longue, cuisante, fût-ce -t-elle administrée à la main, est par excellence punitive indépendamment des instruments utilisés, cela bien-sûr même si elle procure en même temps un intense plaisir érotique . La main ne sert pas qu'à caresser, elle peut aussi sévir avec grande sévérité, mais elle reste noble et humaine, comme le suggère Gobert... Ceci dit il existe effectivement des degrés d'intensité dans les coups reçus, le problème étant aussi que, d'après mon expérience passée, trop de douleur annihile le plaisir ... Pesonnellement, à l'âge de 24 ans, j'ai - si je peux m'exprimer ainsi - goûté à la ceinture et à la cravache : j'ai le souvenir que les coups cinglants assénés, non seulement sur les fesses mais aussi sur les cuisses, anesthésiaient totalement tous mes sens et une partie de mes facultés , me mettant dans un "état second" au point de me rendre incapable de jouir réellement tout en éprouvant paradoxalement une fascination certaine pour ces sensations extrêmes ...Recherche d' expériences-limites qui avaient dans le contexte de ma vie de l'époque des motivations fortement psychologiques, pas forcément des plus saines si je jette un regard rétrospectif ... A l'heure actuelle, pour ma part, mais ce point de vue n'engage que moi, je serais encline à penser que l'émotion inhérente à la fessée n'est nullement proportionnelle au nombre ou à la force des coups assénés - ça, c'est de l'ordre de la performance ou de la prestation - mais que l'essentiel est bien d'entrer avec son ou ses partenaires dans une relation pleinement complice et désirante !
Mirabelle 1067 - 29/12/2010 19:38:10 Voilà un point de vue que je trouve plutôt réductionniste par rapport à l'amplitude des plaisirs que procurent cette pratique. Moi à 24 ans j'interdisais à toutes personnes de lever la main sur moi. Et j'étais même très rebelle et autoritaire. Ce que je suis toujours du reste, sauf quand je joue. Le plaisir dans la fessée, je ne l'ai pas eu au départ. La fessée était comme tu l'a décrit uniquement punitive. C'est-à-dire avec la vocation de faire mal à tout prix. Maintenant, avec mon expérience et mon développement personnel dans ma sexualité, j'éprouve des sensations différentes lorsque la fessée à un but punitif ou quand elle a un but érotique. Ainsi, une fessée punitive exclue toutes caresses ou pauses susceptibles de me faire oublier la raison de son administration. Mon fesseur exerce une certaine distance avec moi pour que je ne puisse à aucun moment trouver le moindre réconfort durant la punition. Lorsqu'elle se termine, il s'en suit une mise au coin de manière à ce que je me rappelle les conséquences de mes actes. La fessée érotique sera quand à elle beaucoup plus émotionnelle. Les caresses alterneront avec les claques. Les instruments me caresseront davantage qu'ils ne me feront mal. Le but étant de stimuler mon corps et mon imagination pour que l'orgasme s'en suive. Cette fessée n'est en rien punitive. Tu écris Iris : "A l'heure actuelle, pour ma part, mais ce point de vue n'engage que moi, je serais encline à penser que l'émotion inhérente à la fessée n'est nullement proportionnelle au nombre ou à la force des coups assénés - ça, c'est de l'ordre de la performance ou de la prestation - mais que l'essentiel est bien d'entrer avec son ou ses partenaires dans une relation pleinement complice et désirante !" Mais c'est une évidence. Comment faire l'amour avec une personne que tu détestes ? c'est difficile d'avoir du plaisir. Dans la fessée c'est la même chose. Si tu n'as pas de complicité avec ton fesseur, tu n'auras aucun plaisir. Ce n'est pas les coups qui ont de l'importance, mais la relation et ce que toi tu as décidé d'accorder comme crédit à ton fesseur.