Heyyyy c'est quoi cette horreur !!!?

Non non non !!! Vite vite vite !! Faut que je rétablisse la vérité...
Moi bonne âme je souhaite juste faire participer un peu tout le monde à la vie du site..

Allé va mon ptit Obstiné comme je suis contente que tu es revenu et que tu as posté (même si c'est une bêtise) je te re-cause !



Merci Titi d'avoir risqué la crise cardiaque pour nous répondre ! :)

Mort de rire le comparatif de menace !! ( Quel numéro ce Mikounet !)

Parcontre Tatie et Ellie pas bravo du tout ! Toujours les mêmes si se font remarquer ici !!!

Questions sauce Microbe

Qu’est ce que ça vous fait lorsque votre fesseur vous annonce que vous allez recevoir la fessée ?
(Vous êtes.. troublé, embarrassé, stimulé, excité, désolé, effrayé….. ?)

désolée ? Non ça jamais … dommage:p
Enfin je triche peut être. Une fois ça m'est arrivé après une grosse dispute. Désolée troublée perdue... mais on ne peut pas non plus se disputer tout le temps, c'est trop émotionnant !

Effrayée, ça peut arriver parfois, en bonne catholique, quand je sens que j'ai un peu attigé, poil à la culpabilité ! Après ça m'arrive de me faire un film, hein ! C'est pas gagné du tout que Monsieur au moment du rdv se souvienne du pourquoi et comment (de l'avantage de ne pas avoir de partenaires trop jeunes :D)

Troublée... La toute première fois après avoir pris un peu de retard dans une réponse, ce qui ne m'arrive j'amaiiiiis, j'ai lu une remarque du genre « on se demande ce que ça mérite ! ». J'ai passé une demi heure le visage dans le frigidaire pour me rafraîchir les joues et les oreilles et remarquer qu'il ne restait plus qu'une bière et que la scarole avait une drôle de tête. Depuis, évidement, il m'en faut un peu plus. Comme quoi la fessée est bien une drogue et que nous sommes tous des camés.

Stimulée excitée, c'est quand même un minimum minimorum... mais ça s'arrose quand même, ce genre de sensations, avec des paroles, des écrits, des trucs et des bidules. Pas juste - RDV 12/06/13 12h45pm pour ta FC, là ou tu sais.
– Ah ! Non ! C'est un peu court jeune homme ! On pouvait dire... Oh ! Dieu ! Bien des choses en somme...



Et si c’est quelqu’un d’autre qui vous menace ?
(Autres fesseurs(euse) / Non fesseur(euse) / Inconnu(e) / Proche etc..). Mêmes effets ?

Du coup si quelqu'un d'autre... ? Et bien ça m'est arrivé avant, quand j'étais petite, plus ou moins berk. Et puis quand j'étais plus grande WAAAAAH, (conférer les 3 premières histoires délicieuses, vraies sauf la « the conclusion »). Je me débrouillais pour me tirer les flûtes in petto, l'émotion me donnant des ailes aux pieds.

Après si le contexte s'y prête et que je suis disponible ou me sens disponible, pour une raison ou une autre, oui bien sur que je vais être troublée et que mes oreilles vont se dresser sous le chaperon... Et après, éventuellement, bien sur... mais ceci ne nous regarde pas !


Quelle est l’expression ou quels sont les « mots magiques » qui vous font le plus frissonner?

J'ai un faible « vocabulairesque ». Comme beaucoup de grosses bigleuses, je pallie ce sens par une ouïe particulièrement développée. Bref, j'ai l'oreille orgasmique. Les mots, les intonations, le balancé des phrases, me font décoller. Alors vous imaginez bien que dans ce fantasme, tout particulièrement, un muet ne fera pas le poids par rapport à un qui savoure le plaisir de vous exprimer toute sa jouissance à vous attraper, vous basculer, et vous trousser pour vous faire votre petite affaire ! Vous fesser d'importance, vous corriger pour toutes vos âneries, vous la vilaine, vilaine fille insupportable !

Et il peut y aller de toute sa litanie que je rougisse de honte et de plaisir pendant qu'il officie, si cela ne le fait pas mourir d'apoplexie...
Il est a noter que j'ai un petit gout suranné, voir foutrement moyenâgeux, dans mes transes liées au verbe.

Ayez l'obligeance, mademoiselle, de vous étendre gracieusement sur ce sofa de velours et culminer votre croupe afin de, sans toutefois penser à mal, vous rudoyer de ma main.


Hey la greluche, tu te vautres illico sur la paillasse, tu relèves ton cul que je te flanque une branlée !


Au choix

Figurez-vous que ce que relate Obstiné à la page précédente (au fait bienvenue à notre revenant !) est loin de me surprendre. Et la petite histoire qui suit tend même à prouver que le microbe au regard tout doux et tout innocent est capable à l'occasion de se transformer en une tigresse qui ne lâche pas le morceau...

Je pense ne pas vraiment trahir un secret en révélant que, via un bureau d'assistance à distance, Microbe est devenue au fil du temps mon professeur de traitement de textes et que grâce à la pédagogie très au point qu'elle déploie en dépit de l'éloignement , grâce aussi à son immense patience, j'ai l'impression de maîtriser un tout petit peu mieux ( soyons modeste ) ce formidable joujou aux ressources multiples qu'est un ordinateur . Quel plaisir désormais de pouvoir enfin faire des cadres, des jolies listes à puces, d'être capable de respecter les interlignes, toutes sortes de choses qui contribuent à embellir la présentation de mes textes et depuis longtemps sont familières à la plupart de mes collègues de travail mais relativement nouvelles pour moi. Bref tout nouveau tout beau... et il m'arrive d'y trouver désormais sinon de la félicité, non n'exagérons rien, disons un certain plaisir qui s'apparente à celui que je ressentais lorsqu'en "grande maternelle" j'apprenais à tracer des cercles, des carrés, des rectangles avec la sensation enivrante de commencer à maîtriser l'univers...

Or par une matinée de fin d'été, lors d'un passage dans le désormais célèbre Quartier Rouge de la capitale, le petit bout de femme nommé Microbe fait brusquement irruption dans ma cuisine, excitée comme une puce, escortée de peu par un autre visiteur du matin, le bien connu Titi, l'oiseau toujours à l’affût de grosses bêtises , tandis que bien tranquillement je suis en train de me délasser et relaxer devant mon deuxième café de la matinée.
"Montre-moi ton dossier informatique !" lance-t-elle sur un ton qui n'admet ni atermoiement ni réplique tant on comprend d'emblée qu'il n'y a qu'à obtempérer et bien se tenir. "Et vite, que ça saute !" ajoute-t-elle en rugissant comme une tigresse prête à bondir sur sa proie.
Mon dossier informatique ? Là elle me prend au dépourvu, j'esquisse un geste évasif.... C'est vrai que je suis censée avoir imprimé puis rangé dans un classeur les schémas divers, les explications, y compris les corrections des mises en application sous forme de devoirs notés auxquels elle me soumet régulièrement en m'imposant des délais si serrés que je ne peux souvent les respecter et me vois contrainte d'invoquer des alibis bien ficelés... Qui des deux est finalement la plus rusée ?
Et là exiger sur le champ de voir le fameux classeur, c'est bien du zèle de la part du microbe, alors qu'entre temps les vacances sont passées par là sans compter que mon appartement a fait l'objet de quelques importants travaux de rénovation et , pour avoir prudemment mis sous clef mes précieux papiers le temps du chantier, j'ai déjà beaucoup de peine à me retrouver dans mes affaires personnelles et dossiers d'urgence... Alors mon dossier imprimé de traitement de textes, ce n'est pas trop la priorité du moment. Non pas qu'il soit inutile mais j'en ai l'essentiel dans la tête et sur mon ordi, aussi fais-je comprendre très posément au microbe qu'il y a pas le feu, que lors de son prochain passage le classeur en question sera à portée de main et parfaitement en ordre avec tous les documents classés, c'est promis, juré, craché...

Toutefois c'est bien mal connaitre le microbe qui ne l'entend pas de cette façon : en tant que responsable de mon apprentissage elle entend en toute légitimité exercer son droit de contrôle ou d'inspection, aussi la voilà qui fulmine et rugit de plus belle : " Moi je t'ai à portée de main, alors je veux voir immédiatement comment tout ça c'est rangé ! Allez , dépêche-toi, sinon je vais te flanquer une déculottée dont tu vas longtemps te souvenir et tu seras moins fière ... !" Une déculottée? Etre menacée devant témoin d'une déculottée administrée par un si petit Microbe ? On croit rêver ! A d'autres moments les bras m'en seraient tombés et ces mots m'auraient fait pouffer de rire, mais à cet instant ils sont lancés avec une telle détermination farouche et implacable autorité que je me sens tout à coup comme une écolière prise en faute, subitement saisie d'amnésie ( où peut bien être ce fichu dossier ? ), en perte de tous ses moyens et puis... dans le regard des deux acolytes du matin je crois déceler une lueur de volupté sadique qui me plonge encore plus profondément dans le trouble et l'embarras, lesquels ne font que redoubler leur vilaine jouissance ...

Fébrilement et l'estomac noué j'ouvre un tiroir puis un autre, vide un vieux cartable, enchaîne les recherches dans des boites où sont enfermées des centaines de paperasses, quand finalement hourra... je tire d'une étagère un classeur rayé perdu sous une pile de chemises cartonnées que je tends à Microbe, toute soulagée de constater que là se trouvent bel et bien des récapitulatifs d'informatique, bref voilà l'objet de ma délivrance. Manque de pot, voici que le classeur ouvert laisse entrevoir aussi des sudokus et des recettes de cuisine qui n'ont rien à voir avec le sujet. "Quoi ? Y a même pas la moitié des cours, en plus c'est rangé n'importe comment et mêlé à n'importe quoi", enrage le microbe en scrutant les pages, "c'est pas sérieux, moi je trouve que ça en mérite vraiment une bonne !" tonne-t-elle en prenant le titi à témoin.

Et cette fois je commence vraiment à craindre pour mon arrière train... Mon Dieu, faut réagir, faire diversion. On ne va pas quand même pas trembler devant un aussi petit bout, non mais... De quel droit me stresse-t-elle ainsi de bon matin, la tite bonne femme,? J'avise un tensiomètre... Pas mal pour faire diversion... Au bout d'une minute ou deux le cadran autour de mon poignet affiche 17/15. A pareille heure du matin, c'est l'AVC à portée de main ! Peut-être l'engin ne fonctionne-t-il pas ? Alors on essaie sur Titi avec pour résultat 13/7, pas étonnant, le stress est une réalité que l'oiseau ne connaît pas ! Enfin Microbe, intriguée mais toujours aussi excitée, se prête à l'expérience . Aussitôt l'engin semble s'affoler davantage encore que la bourse les jours de crise, le brassard se détache plus d'une fois du bras, les chiffres grimpent, grimpent, on recommence, le tensiomètre ne résiste pas à la pression d'un microbe... Il affiche "erreur", "erreur", "erreur" et ce sera son dernier mot !

La tête encore sous pression, mais d'un bras ferme, j'attrape alors le microbe et, secondée par un titi toujours prêt à changer de camp selon l'opportunité claquante et là instantanément complice pour la maintenir solidement penchée, administre sur son popotin quelques claques bien senties que je regrette vivement de n'avoir donné que sur le pantalon... Sacré microbe qui croyait avoir le dernier mot et venir à bout de la résistance d'une pauvre tatie désemparée ! Mais non, mais non ...

Ahahaha ! Tu n'étais pas vantée de celle là, petite souris ! Vas y t'as trop cru !
Je suis contente que tu ais, vite fait, repéré cette émoticône, Iris, je l'avais un peu insérée pour toi, je dois dire.

Mike, je prends la première version steuplé. Respect comme dirai Titi !

Là ce qui est très sympa c'est le renversement d'ascendant... Faut rester trèèèès concentré, surtout quand on se glisse de l'autre coté, sinon gare !

Merci ma chère Iris.
Je me marre !!! Délie ! tu as échappé à la déculottée !
Quand je vois l'image que Iris a insérée...ce n'est plus un fesseur dont à besoin Délie mais un dompteur !! GGGrrrr !
Mais Délie a peut être raison, vu ce que vous écrivez Iris; le classeur mal rangé... la fameuse diversion (le tensiomètre)...ça mérite quoi cela ?