Les filles va vraiment falloir que vous partagiez vos petites videos, parce que ça m'a mis l'eau à la bouche tout ça!

Mister Buster, vous avez raison de parler des gestes qui troublent, comme remonter ses manches ou enlever sa ceinture (d'où l'intérêt de toujours porter un joli costume avec ceinture en cuir sombre! mais pardon je m'égare dans mes fantasmes ^^), quand au toucher... cela va sans dire qu'il s'agit du sens le plus mis à l'épreuve chez nous ^^

Bravo PCV

Super ton vermot

Pour ma part je suis tellement écoeuré de tous les mauvais plans qui n'aboutissent jamais que je n'y crois plus du tout

Moi j'ai mis aussi le tee-shirt, mais le mien il ne claque pas.


C'n'est pö juste !

Un signalement public des "quartiers rouges" et des chaumières à fessées ? Mein Gott !
L'idée des drapeaux est ma foi intéressante et originale...
Mais pour ma part je vote résolument pour la clandestinité et les secrets bien gardés ...
Pour vivre heureux, vivons cachés ! Remarquez, je le concède, savoir qu'il y a telle ou telle fessée en cours, ça peut parfois fortement émoustiller...
Et puis, si on établissait une carte de l'hexagone avec les zones de concentration fessées, y en a, comme Petit Canaillou le déplore à la page précédente dans son fief toulousain apparemment déserté par la fessée, qui risqueraient de se sentir par comparaison encore plus esseulés, alors que sur la région Parisienne nous sommes des enfants gâtés...

@ Monsieur Kitonne, dans une page précédente en réponse à Amandine j'ai relevé une phrase qui me titille et me chatouille quelque peu ;
"A moins de mettre sous son nez une photo de soi, nu en collier aux pieds des cuissardes de sa domina, je ne pense pas qu'une femme cherche à casser cette image à laquelle elle tient" ( pour ceux qui n'auraient pas suivi le débat précédent je précise qu'il s'agissait de l'image virile et déterminée du fesseur risquant d'être mise à mal par l'aveu d'une certaine polyvalence...)
Est-il si difficile pour l'opinion publique, même avisée comme c'est le cas ici, de se représenter une fesseuse autrement que sous l'apparence d'une domina ?
Dans ce cas il est grand temps qu'un jour prochain on aille ouvrir sur le forum un sujet sur la polyvalence ou le switch ( avec toute l'ambiguïté que comporte ce terme-là ) mais d'ores et déjà j'affirme : point n'est besoin d'être bottée et cloutée des pieds à la tête pour se fâcher rouge contre les fesses d'un garnement-chenapan-insolent, pas plus qu'il n'est nécessaire d'affubler celui-ci d'un collier de chien pour le juguler ! Pourtant j'adore les toutous ...

Quant à la langue de l'officiant fessée, que ce soit celle de Goethe ou une autre, le patagon, l'arménien ou le latin, peu importe laquelle, s'il nous emporte avec son divin talent dans ce concerto de "ouille" et de "aille"où le corps a son langage, où la chaleur irradiante des claques se mêle à la belle sonorité claquante du châtiment...

Parmi les fessées d'enfance qui se sont immortalisées dans mon esprit d'adulte j'ai en mémoire la sonorité particulière d'une de celles auxquelles il m'a été donné d'assister, unique en son genre, lors d'une soirée passée chez des amis de mes parents où, comme chez les miens, on ne transigeait pas avec l'autorité et où la fessée pour désobéissance était en certaines circonstances encore de rigueur, tandis que, même pour ceux d'entre nous qui n'étaient pas directement concernés, le seul fait d'en être témoin était de nature à rendre encore plus sages et plus dociles les enfants déjà relativement sages et dociles que généralement nous étions alors...
Or ce soir-là, en dépit des avertissements réitérés de se calmer, mes deux petites amies d'alors avec lesquelles j'avais longuement joué ( les filles de nos hôtes âgées respectivement de huit et neuf ans ), sommées de prendre congé des invités en raison de l'heure tardive et reléguées dans leur chambre à l'étage du dessus, avaient chahuté très fort, sans doute pour se venger d'avoir dû s'éclipser avant les autres, si bien qu'après deux ou trois admonestations verbales maternelles sans grand effet elles furent ramenées manu militari et la mine déconfite dans le salon par leur père, chacune renversée en un clin d'oeil sur les genoux respectifs paternels et maternels, pyjama baissé aux chevilles, les fesses exposées sous le feu de la rampe et je me souviens comme si c'était hier non seulement du bruit retentissant des claques qui tombaient en cascade de façon parfaitement synchronisée, contrastant avec le grand silence qui s'était fait parmi les invités, mais aussi du concert de gémissements-miaulements à peine réprimés alternant de l'une à l'autre , des ouilles et des ailles impressionnants qui faisaient vibrer toute la pièce...
Un duo de fessées retentissantes qui a laissé une empreinte définitive dans ma mémoire non seulement visuelle mais acoustique... Car jamais fessée vue avec mes yeux de huit ans n'avait encore suscité en moi une telle crainte ( j'avais l'estomac noué en pensant à ce que mes deux pauvres petites amies étaient en train de subir mais consciente aussi que tôt ou tard lors d'une autre occasion ce serait peut-être mon tour ! ) associée à un si grand trouble et émoi.
Un épisode unique qui, de façon très curieuse, a resurgi spontanément à la mémoire de mon oreille quand, bien plus tard, il m'a été donné d'entendre avec un plaisir musical intense ce morceau tout à fait unique de Rossini qui s'appelle "le duo des chats" et que certains d'entre vous connaissent peut-être ... Voilà comment la fessée éveille l'oreille musicale !

Mais au fait pourquoi suis-je en train de me surprendre à rêver d'une certaine mise en scène qui ressemblerait à cet épisode vécu et à visualiser par avance telle et telle d'entre vous simultanément sur les genoux de tel et tel ( par discrétion je ne donne pas de nom ) tandis que les autres invités se délecteraient du spectacle et concert "duo" devant une flûte de champagne ...
Parfois, t'en as des idées tordues et perverses, Iris ! Allez, au travail !

Non Madame Iris vous n'avez pas d'idées perverses ou déplacées
Nous les avons tous dans notre imaginaire,en tout cas sur ce site.
Mais je souscris au "vivons heureux,,vivons cachés"
Quoique.
Un question me taraude depuis quelques jours et comme je ne suis pas du genre à me cacher derrière mon petit doigt je la formule:
Pourquoi depuis plusieurs semaines le tchat est si désert?
Certaines personnes dont moi si sentent très isolées et se demandent si c'est notre présence qui gêne.
On se sent exclus un peu comme des pièces rapportées qui ne feraient pas partie d'un petit gotha
Il y aurait ceux et celles qui se sont rencontré et les autres.

Ben oui quand on a pas grand chose à dire, comme moi en ce moment, on ne va pas sur le tchat.

Dame Iris, le débat sur la perversité n'est pas clos et il ne le sera jamais.

Meu non ! Comme Canaillou, je pense qu'il n'est point de perversité de relater un chaud souvenir qui vous a laissé une empreinte indélibile. Nous en avons tous des images comme la votre et qui reviennent quand un petit quelque chose les rallume.

Pour ce qui est des petits drapeaux, je suis de l'avis de Dame Iris et Canaillou, moins il y a de pub, mieux c'est.

Je ne pense pas qu'il y ait d'ostracisme envers qui que ce soit. Simplement il est un fait que certaines personnes se connaissent (virtuellement ou physiquement) depuis un moment déjà et que par la force des choses elles se parlent plus spontanément et plus librement qu'avec un/une nouveaux venus.

Personne à ma connaissance n'est rejeté, mais c'est aux nouveaux venus de s'intégrer dans le groupe en se présentant, en racontant qui ils sont, quelles sont leurs expériences, leur vision du du fantasme, etc. et en participant aux discussions sur le blog et le forum, et les choses se feront d'elles-même. Se cantonner au tchat n'est pas une bonne idée.