mikesp 8867 - 11/02/2013 16:04:27 modifié le 11/02/2013 16:05:21 Elle a raison Petit Chaperon Vert. Et oui, la petite jupette pour une fessée c'est non seulement adorable mais elle devient vulnérable la belle. Juste une étoffe qui couvre à peine sa petite culotte, dernier rempart si fragile de son intimité. Un petit peu vexant mais je ne doute des frissons qui la font trembloter sans parler du public dont la chaleur coroprel monte en fonction de la hauteur de la jupe. Pour les mecs c'est un peu différent mais être présenté rien qu'en sous vêtement le fait tout aussi bien. Certains plus jeunes optent pour la culotte courte leur rapellant sans doute de chauds souvvenirs... Ben oui Mister Agramant, il y a des "Dress code" Une fesseuse ou un fesseur doit avoir une tenue digne de son rôle et une fessée ou un fessé aussi. Franchement, pouvons-nous un instant, pure fantaisie et fiction, imaginer une ou un fessé se pointer avec un blouson et des bottes de moto ?
Dorine de la M 8868 - 11/02/2013 16:06:23 "Ce qui m'a toujours amusé chez les "victimes" c'est l'importance qu'elles donnaient à la manière dont elles devaient être habillées pour... comment dirais-je ?... pour l'expiation ! Vous finirez fesses nues (au minimum !) quoi que vous portiez, vous le savez bien" L'art et la manière du déshabillage vous apparaissent donc des questions secondaires, Monsieur Agramant ? Je n'en crois rien ! Et si en plus, il y a du public, autant en jeter plein les yeux. Di di dou dhâââ
Agramant 8869 - 11/02/2013 16:06:46 modifié le 11/02/2013 16:13:30 Mais c'est qu'il me donnerait des leçons, ma parole ?! > L'art et la manière du déshabillage vous apparaissent donc des questions secondaires, Monsieur Agramant ? Je n'en crois rien ! Certes non chère Dorine, mais celui-ci est l'affaire du fesseur qui saura composer avec la tenue de la victime, n'en doutez pas... Et pour la victime, ce ne saurait en aucun cas être une revendication. S'il y a "dress code" ou si le fesseur souhaite une tenue particulière, il saura prendre ses dispositions, nous n'avons pas les deux pieds dans le même sabot, que diable !
Iris 8870 - 12/02/2013 06:56:02 modifié le 12/02/2013 07:52:30 "Z'ont de drôles d'amusements les profs..." En cas de nouveau méchoui ou barbecue agrémenté possiblement d'un tel spectacle, c'est entendu, les amis, je ne manquerai pas de vous faire signe à tous, sûre et certaine que vous saurez vous montrer des convives très attentifs et même ultra attentionnés ! Ah, le dress-code, parlons-en !!! Cela n'est pas sans me rappeler celui qu'il était séant de connaître et d'arborer au temps un peu fou où mes pas m'ont conduite dans ce terri-terrifiant lieu de perdition où on jouait si volontiers aux apprentis sorciers et qu'était un fameux "donjon" fréquenté alors par le Tout Paris intello philosophico schizo sexuello déjanté ! Oui, vraiment déjanté... Mon Dieu, que j'avais de drôles de fréquentations à cette époque...! Ce que je ne pourrai jamais oublier - et ça fait partie des souvenirs les plus rigolos - ce sont, dans les jours qui ont précédé ce qui était censé devenir mon "intégration", les interminables séances de shopping qui s'achevaient presque toujours de part et d'autre en grand éclat de rire dans je ne sais plus quelle rue à proximité du Faubourg St Denis, où de cabine d'essayage en cabine d'essayage, outre le choix de lingerie ultra sexy, j'étais invitée par mon "père fouettard" d'alors ( d'ailleurs le seul et l'unique dans ma vie à avoir mérité ce titre honorifique ... ) à troquer mes trop sages tenues de post-étudiante parfaitement adaptées pour jouer les ingénues libertines mais inconcevables pour un "donjon" - style ballerines, pantalon corsaire ou jupette à volants, chemisiers pastels brodés de motifs animaliers pour lesquels j'avais une prédilection ( des pandas de Madagascar, des tigres du Bengale... ) - contre un look ultra sophistiqué : robes noires échancrées au décolleté vertigineux, bas à résilles, talons aiguilles et le résultat sur moi, c'est que, même sans fourche et sans perruque, on aurait cru un déguisement pour Halloween ! Aussi ridicule en tout cas que si on affublait un labrador d'un string, manteau de léopard et sac en crocodile ! Car pour mon mentor d'alors, imposer un dress-code, c'était oublier que, même pour faire plaisir à leur maître, un cocker cabochard ou un caniche abricot ne se laissent pas aisément transformer en femme de mauvaise vie ! Ou alors le naturel revient au galop... PS : tiens-toi bien, P'tit Chaperon, ceci est un tout petit extrait de mon futur récit-témoignage annoncé y a déjà belle lurette "Quand la chambre de la rue Mouffetard devient l'antre du Père Fouettard", tu vois que ça progresse lentement mais sûrement ! Avec beaucoup d'auto-dérision...
mikesp 8871 - 12/02/2013 08:22:27 "style ballerines, pantalon corsaire ou jupette à volants, chemisiers pastels brodés de motifs animaliers pour lesquels j'avais une prédilection" Non, je n'oserai pas.... Non, ça ne ce fait pas... Quoi que... juste une ! Heu... Dame Iris, heu... Z'aurez pas une tite photo ?
petit-chaperon-vert 8872 - 12/02/2013 10:13:49 PS : tiens-toi bien, P'tit Chaperon, ceci est un tout petit extrait de mon futur récit-témoignage annoncé y a déjà belle lurette "Quand la chambre de la rue Mouffetard devient l'antre du Père Fouettard", tu vois que ça progresse lentement mais sûrement ! Avec beaucoup d'auto-dérision... GENIAL ! Absolument, génial ! Tu ne peux pas savoir comme je suis ravie, ce matin, en lisant ton message... Je saurai être patiente. Mike, si, si, ose... Ose dans la vraie vie ! ça te fera le plus grand bien.
petit canaillou 8873 - 12/02/2013 12:42:52 Merci d'avance Iris! Je sens que l'on va se régaler bientôt d'un nouveau récit. Sous votre plume alerte vont éclore des mots surement très agréables à lire.
jeuxfc 8874 - 12/02/2013 14:46:39 modifié le 12/02/2013 20:55:40 « Un fameux "donjon" fréquenté alors par le Tout Paris intello philosophico schizo sexuello déjanté ! Oui, vraiment déjanté... Mon Dieu, que j'avais de drôles de fréquentations à cette époque...! » Le lieu fut précisement dedié au vert galant d'Henri IV et a continué dans la plus pure tradition! Eh oui Iris , j’ai aussi connu ce lieu de perdition ou je fus souvent le soufre douleur consentant de certaines « Maudites femelles ». Le Dress code ne fut pour moi que le passeport pour franchir le seuil d’entrée. Il s'évaporait assez vite en fait après...(par un fait totalement indépendant de ma volonté). La suite il faut bien l’avouer, n’étant (par décence) gravée que dans la mémoire (fragile) des survivants dont votre serviteur. Une étape dans mes découvertes que je ne renie pas tant elle m’a apporté de bonheurs et de rencontres heureuses. « intello philosophico schizo sexuello déjanté » oh que oui !
mikesp 8875 - 14/02/2013 11:22:51 modifié le 14/02/2013 13:33:11 Couvert attendant la fin de l’hiver je songe D’images furtives allumant d’un jet mes rêves Ephémères illustrations irisées j’y plonge Ayant dans l’instant ce besoin vitale de brèves Je pense aux beautés de leurs lignes magiques Achevées d’un simple trait parfait d’artiste Tracé lointain pour une éternité d’esthétique D’admirer toujours ce qui au temps résiste Il n’est sans doute pas de meilleur goût Pour le regard, pour le touché et la main Que l’envoutante courbe qui est à vous Rien qu’à vous mesdames au bout des reins De vos fesses, je sais la convoitise Que nombre de gentilshommes fesseurs De damneraient sous son emprise Pour un infime moment de bonheur. Vos fesses au temple des merveilles Pour beaucoup elles sont premières Et si vous les désirez vermeilles Il faut, j’affirme, ne point vous taire. Mais pour mériter votre offrande Faut-il que digne soit la main Il ne suffit pas d’une demande Signé d’un quelconque vilain. Couvert attendant la fin de l’hiver je dérive Tempête furtive agitant mes fantasmes Ephémères vagues irisées m’enivrent Ayant dans l’instant le sel de mes spasmes.
petit canaillou 8876 - 14/02/2013 11:31:46 Quel superbe et délicieux poème Mike. J'en suis tout retourné Et , de plus,,c'est tellement vrai. Vive les femmes et leurs académies!