Bonjour à tous et bienvenue à vous James ! En tant que non-posteur c'est toujours une bonne chose que de se décider à rompre le silence et cela ne peut qu'élargir notre horizon à tous en faisant irriguer du sang nouveau sur cet espace fessophile qui, en dépit d'une certaine animation, peut parfois donner l'impression de s'essoufler quelque peu !
Effectivement, d'après ce qui peut ressortir de correspondances personnelles avec des silencieux du site, la timidité peut certes exister mais ne semble pas le facteur déterminant chez ceux qui ne se décident pas à entrer dans nos échanges. Le fantasmeur pur ou l'homme à fesser peuvent certes être timides ou hésitants ( j'en connais un au moins, il se reconnaitra ) mais timide le fesseur l'est rarement, c'est plutôt un entreprenant ... On peut comprendre aisément cela : timidité et ardent désir de châtier des fesses inconnues sont difficilement compatibles.

Conformément à la petite "charte" que vous avez proposée hier matin, la question que je voudrais vous poser, bien que vous y ayez déjà apporté une réponse partielle, n'est nullement une question coquine mais a trait tout simplement à vos impressions sincères sur cet espace d'échanges :
En tant qu'observateur attentif d'un site que vous dites fréquenter presque depuis ses origines, qu'est-ce qui d'après vous et pour vous peut être incitatif et stimulant ou au contraire dissuasif en matière de participation ?

Puisqu'un retour de bâton est prévu si on ne répond pas soi-même à la question et si on ne le fait pas avec sincérité, je m'y prête bien volontiers ...
Au départ j'étais restée moi aussi un certain temps simple observatrice et lectrice de ce site que j'avais d'emblée trouvé attractif, étonnant ( tant de gens qui se regroupent pour parler ouvertement et avec enthousiasme d'un sujet aussi intime, aussi hors-normes ) - un site dont la sobriété, attestant du bon goût et de l'équilibre de son créateur, m'avait séduite. Oui, car polissonnerie et bon goût ne vont pas nécessairement de pair et c'est tout un art de les associer !
Cependant j'aurais pu ne jamais franchir le pas et restée sinon clandestine du moins silencieuse si des témoignages d'expériences vécues et des réactions avec lesquelles j'étais ou non en accord ne m'avaient fortement interpellée ...
Je me souviens toujours du récit d'une toute jeune femme, Saphira, racontant avec beaucoup d'émotion la fessée infligée par son oncle alors qu'elle avait 17 ans et le trouble qu'elle en ressentait encore, expérience fort bien décrite et qui ne pouvait laisser froide, pas plus que ne pouvait laisser indifférente un autre récit plutôt hard ( style fessée de l'extrême ) qui, tout au fond de moi, avait suscité émois et réflexion par rapport à une certaine expérience passée et m'avait résolument décidée à rompre le silence !
Bref tout ce qui est consistant, substantiel, tout ce qui fait naitre l'émotion et entrer dans les profondeurs du fantasme, est à mon avis incitatif et donne envie de participer ...
A cela s'ajoute au fil du temps le côté chaleureux qui peut s'associer à nos échanges avec, aux meilleurs heures, le sentiment de constituer réllement une petite famille, la famille fessophile...

Quant aux choses que je ressens comme potentiellement dissuasives, au fil des confidences reçues de la part de non posteurs mais aussi au fur et à mesure que s'affine mon expérience de blogueuse, toutefois ce n'est là que mon avis et chacun a des attentes différentes, je les énumère sans ordre hiérarchique mais avec un souci de sincérité, en fait ça se résume essentiellemnt à toutes nos petites défaillances humaines qui peuvent faire obstacle au partage et aux échanges vrais :
- les volées de bois vert qu'on peut se prendre à l'occasion, et malheureusement pas toujours sur les fesses mais parfois en pleine figure, quand la légitime confrontation de points de vue dégénère en affrontement, ce qui fort heureusement n'est pas tous les jours le cas !
- les petites rivalités parfois latentes et peut-être inconscientes , le "touche pas à mon fesseur" ou à l'inverse extrême "pousse-toi de là que je m'y mette" ...
- la langue de bois par nécessité, mais aussi le parler par allusions, par insinuations, par messages codés... Difficile alors de s'immiscer et de partager vraiment !
- les délires, détendants à petite dose et qui révèlent des connivences mais deviennent lassants quand ils s'éternisent et envahissent tout l'espace, d'autant plus qu'il est difficile de s'y intégrer, les blagues, calembours et provocs qui n'en finissent pas, l'humeur rigolarde pouvant se révéler à la longue tueuse d'émotions et peu incitative pour ceux qui auraient quelque velléité de venir parler de leur fantasme avec sérieux, comme l'avait fait remarquer avec justesse cet été une ancienne participante, Isaure.
- les tentations de poster parfois par pur désoeuvrement et sans réelle autre motivation que celle d'un bavardage un peu léger, dans l'esprit tchat.
- l'usage immodéré des émoticones que personnellement je ne trouve pas toujours très esthétiques ... Parfois pour moi l'impression d'un retour à l'école maternelle avec ses bariolages ! Pourtant avec modération elles peuvent donner de la couleur et de la chaleur à l'expression, mais trop c'est trop et la communication ne s'en trouve pas nécessairement enrichie ...

Voili voilà... On pourrait dire encore beaucoup mais de toutes façons une chose est claire : s'il est vrai qu'écrire, c'est toujours s'exposer, dialoguer par ce biais sur notre inavouable fantasme , cela peut s'avérer quand même fort enrichissant. Car sinon à qui et où irions-nous ... ?

Pour ce qui est de la jalousie, c'est vrai je le suis !

Parait qu'il y en a qui ont du meilleur chocolat que moi !

Je le dis tout net : C'est ignoble !


Il faut que celà cesses et je demande au fesseuses et fesseurs de corriger ces impertinentes et impertinents goinfres, de leur confisquer le chocolat qui bien entendu me sera remis en main propore.

Perso, je suis miraud aussi et tout le monde le constate et m'en fait un peu grief
.
Je n'utilise donc pas les petites polices.

Les amples joufflus offrent davantage de surface à corriger, c'est bien connu.