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Le but du blog est de permettre à tous d'échanger nos points de vues, expériences, interrogations, remarques, etc. sur le fantasme qui nous est cher.

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5643 - 18/10/2011 05:24:47 modifié le 18/10/2011 05:25:54

@Mike

On ne peut et ne pourra satisfaire tout le monde.

A lecture de ton récit comme à la lecture de n'importe quel livre, du moment qu'un lecteur y trouve son bonheur et l'apprécie, je me dis que c'est toujours cela de gagné.

Bien sûr l'idéal serait que la majorité soit enchantée du début à la fin.
Il y aura toujours des gens qui n'aimeront pas, limite qui voudront refaire la conclusion ou tout autre partie du récit.

Lorsque l'on publie que ce soit en papier ou sur un forum, on s'expose toujours à la critique...
Il y a des spécialistes pour ça.

Mais qu'importe du moment que les lecteurs concernés par ce fantasme y voient un rêve supplémentaire, une magie dans la grisaille du quotidien pour certains...

Mike, quoique tu en dises, il y aura toujours des gens qui aimeront ce fantasme hors de son décors !

Agranmanitou........le récit !!!

Iris avatar plus
5644 - 18/10/2011 06:02:14 modifié le 18/10/2011 06:25:58

Une fessée aux glaçons ? Miam miam, c'est une perspective des plus appétissantes... !

Iris avatar plus
5645 - 18/10/2011 06:03:23 modifié le 18/10/2011 09:48:34

La récompense est déjà là, Mike, personnellement je n'en ai pas encore achevé la lecture par manque de temps , mais les premiers épisodes de Fantasmaginaire m'ont semblé une belle épopée, avec beaucoup de souffle ! Le récit de Grand Nord ne manque pas non plus d'originalité.

Pour ce qui est d'acheter sous le manteau, c'est vraiment ce qui m'est arrivé il y a quelques années avec le livre de Jacques Serguine "Eloge de la fessée", un classique du genre, qui a connu par la suite dans ma vie de fantasmeuse une bien étrange destinée ...
N'étant certainement pas une femme entièrement libérée, mais follement attirée par le titre et les premières pages feuilletées en douce, c'est après moultes tergiversations et non sans regards furtifs à droite et à gauche que j'ai fini par l'acquérir chez un bouquiniste des bords de Seine.
Puis, sagement revêtu d'une couverture non compromettante, il m'a accompagnée pour mon plus grand plaisir durant mes trajets du matin dans les trains de banlieue - jusqu'à ce que, cherchant fébrilement un objet au fond mon sac, par je ne sais quel hasard malencontreux, j'en arrive à l'oublier un soir de fatigue dans la salle de détente très fréquentée de mon lieu de travail.
Panique au retour quand je m'en suis aperçu, ce particularisme représenté par le goût pour la fessée ne me semblant pas devoir être franchement affiché ! Et panique encore plus grande le lendemain matin de voir le livre scotché au mur avec à ses côtés une affiche blanche et deux colonnes à remplir dans les plus brefs délais :
- "Mesdames, qui parmi vous aime la fessée ? Prière de se signaler sans tarder !!!"
- "Messieurs, qui de vous se propose comme fesseur attitré ?"
Du coup toutes les collègues féminines ont fini par signer au cours de la journée, la malheureuse qui ne l'aurait pas fait ayant vite fait d'être désignée conmme la suspecte ...
Puis, à mon plus grand soulagement, notre supérieur hiérarchique, pour qui les plaisanteries les plus courtes sont toujours les meilleures, a fait disparaitre à la fois le bouquin et l'affiche. Et ce n'est pas sur moi que se sont portés les soupçons mais sur une malheureuse collègue plutôt timide, absente le jour de l'affichage, qui n'a cessé d'être chambrée à ce sujet non seulement les jours suivants mais tout le reste de l'année...J'en ai encore quelque mauvaise conscience !
Soulagée mais frustrée d'être spoliée de mon précieux bouquin sans avoir eu le loisir de l'achever, voilà que je l'ai "dégoté" à nouveau avec beaucoup de surprise et un immense plaisir en cherchant tout autre chose au rayon "littérature générale" d'une grande librairie du Quartier Latin et cette fois sans complexe et sans hésitation, trop contente de ma trouvaille, voilà "l'éloge de la fessée" redevenu mien avec cependant une nouvelle résolution de ma part : cette fois il ne sortira plus de chez moi et, dès que j'en aurai achevé la lecture, il sera bien planqué non pas en haut d'une étagère, mais, discrétion oblige, dans un haut placard de cuisine où sont amassés des vieux papiers et coupures de journaux en attente de rangement...
Mais quelques mois plus tard s'abat un nouveau coup du sort sur moi et mon bouquin bien aimé quand me voilà victime à mon domicile d'un cambriolage des plus sauvages : dans leur quête d'un butin imaginaire, les vandales ont tout vidé, pas un placard n'a été épargné, pas même ceux de la cuisine ! Les policiers appelés en urgence et chargés du constat scrutent les lieux, tandis que moi j'ai l'esprit embué et ne vois plus rien si ce n'est les bouteilles d'apéritif et les verres cassés qui jonchent le sol dans un chaos inimaginable, mais à ce moment les yeux d'un des agents se portent sur ce que je n'ai absolument pas vu et va être considéré avec le pied de biche juste à côté comme le point de repère le plus intéressant pour leur constat : la paire de fesses bien charnue et bien exposée d'une femme sur laquelle s'abat une main masculine comme il y en a à la pelle dans mon bouquin de Serguine qui, par je ne sais quel coup du destin, trône au-dessus d'une pile d'autres livres, d'un amas de vêtements et d'objets divers jetés pêle mêle sur la moquette ... " Un indice intéressant, remarque l'un d'entre eux dont je vois encore l'oeil soudain pétillant, dites donc les vandales ne se sont pas contentés de piller et de boire comme des trous, là on a à faire apparemment à des professionnels de la fesse !" Je suis dans un état second, je ne réponds rien ...
Après tant de mésaventures, devinez où a terminé ce fameux bouquin dont pourtant je m'étais tant et tant délectée secrètement mais dont j'ai fini par penser par je ne sais quelle idiote superstition que peut-être il me portait la guigne, et bien il a terminé à Emmaus ... Et si l'occasion se présente, tant l'envie me tenaille parfois de le relire, c'est volontiers dans ce respectable endroit que je me mettrai à la recherche de "l'éloge de la fessée" ... Même l'Abbé Pierre ne me désavouerait pas !

Agramant avatar plus
5646 - 18/10/2011 07:03:43

Quoi le récit ? Quel récit ? Mais la recette est un récit en elle-même ! Et puis je n'ai pas trop le temps, il faut que je peaufine les outils d'administration que je laisse à mon remplaçant pour que pendant mes vacances il puisse contenir la bande de petits galopins que vous êtes !

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5647 - 18/10/2011 07:37:45

Agranmanitou.....trop facile la réponse !

Préméditation !!!

mikesp avatar plus
5648 - 18/10/2011 08:21:08

J'adore l'histoire d'Iris.

C'est fantastique cet objet convoité mais qui devient, pour qui le détient, un livre maléfique attirant nombre de mesaventures (rire)

Merci Iris de ce petit témoignage ( si bien écrit )

mikesp avatar plus
5649 - 18/10/2011 08:23:20

Je n'oserais en remettre une couche mais un petit récit de notre webmaster favori serait le bienvenue.

Si, si, le sujet est, je crois, la fessée aux glaçons.

vincent avatar plus
5651 - 18/10/2011 10:01:09

Formation à l’école des Fessées

Non vous ne rêvez pas et vous n’avez pas consommé des champignons hallucinogènes. Les 14, 15 et 16 octobre 2011 cette formation originale s’est déroulée dans un gîte de parc naturel du Vercors à 900 m d’altitude avec des élèves adeptes de la fessée et / ou des ABDL en herbe.

Encadrés par une fine équipe de pédagogues très motivés et particulièrement investis dans leur travail, les rejetons adultes ont pu suivre des cours de solfège SM (ou fessée) puis des cours de calcul et de français à l’ancienne. Comme l’on peut s’en douter, dans une telle école les cours ne pouvaient se dérouler de façon conventionnelle.

Si l’éducation nationale se plaint de manque de personnel, la classe était encadrée par trois enseignants, une surveillante, un surveillant stagiaire et Papafesseur le directeur.

Nous pourrions penser qu’en apercevant le cartable du professeur de musique nommé TSM de chez www.fessestivites.com les élèves se seraient inquiétés et bien non, la canne anglaise en dépassant ne les a pas assagis pour autant.

En guise d’amuse bouche, dès le premier soir les premières fessées furent données pour le plaisir des fesseurs lors de l’apéritif de bienvenue. Le dîner quatre étoiles servi au réfectoire permit aux élèves et aux équipes pédagogiques de faire connaissance.

Les mondes du SM, différents de celui des adeptes de la fessée et de l’ABDL se croisèrent en toute amitié avec des initiations et découvertes de quelques plaisirs cuisants ou ouaté.


------------------- UN EVENEMENT EMOUVANT ------------------------

Une adorable soumise, prénommée Kiôki-san, fut invitée à se rendre au milieu de la salle pour une consécration officielle et se mit à genoux devant TSM.

- Kiôki-san, est-ce que tu confirmes ce soir et aux yeux de tous tes désirs de devenir ma soumise ?

- Oui monsieur

- Kiôki-san par le présent collier tu t’engages à me servir, tu m’accordes le droit de te punir, de te forcer et de jouer avec toi. Est-ce toujours ton désir ?

- Oui monsieur

- Kiôki-san nous signerons d’ici quelques temps un contrat de soumission qui me donnera tous les droits sur toi. Est-ce toujours ton désir ?

- Oui monsieur

- Kiôki-san par ce collier je déclare aux yeux de tous que j’accepte que tu sois ma soumise et m’engage sur l’honneur à mettre tout en œuvre pour ta sécurité et ton épanouissement dans la soumission. J’espère être digne de ta soumission et parvenir à te rendre heureuse même si je dois parfois te punir ou employer la force pour cela.

C’est dans un silence quasi religieux que Kiôki-san reçu son collier de soumise des mains de son Maître TSM devant tous les participants émus. Si certaines personnes ne parvenaient pas à comprendre cet acte, les yeux d’autres personnes adeptes et avertis s’humidifièrent.

LA PREMIERE SOIREE

Elle ressembla à s’y méprendre à une nuit en colonie de vacances avec des batailles de polochon, des ABDL galopant en couche dans tous les sens puis l’arrivée des surveillants qui à coup de fessées cuisantes ramenèrent tout ce petit monde à la raison. (En clair des adultes bien décidés à vivre l’espace d’un soir tous les délires de leur enfance)

LA PREMIERE JOURNEE DE CLASSE

En rand par deux avec leur cartable et culotte courte ou jupette, les élèves entrèrent dans la salle de classe. La journée commença durement avec un cours de calcul perturbé par des jets de boulettes de papier et de sévères fessées données fessiers à l’air devant toute les apprenants. On pourrait imaginer que ces premières fessées allaient calmer les plus rebelles, il n’en fut rien bien au contraire, même les timides se lancèrent dans les bêtises pour être à leur tour fessée…..

Le cours de solfège dispensé par TSM (l’homme au cartable avec la canne anglaise) débuta dans le calme, sa canne britannique laissant planer un petit nuage d’inquiétude. Armé de cravaches (une dans chaque main) il dispensa un cours sur les rythmes en expliquant que tout bruit dans la nature peut être écrit sur du papier à musique. Une élève désignée volontaire prêta son fessier aux cravaches de TSM qui quelques secondes plus tard écrivit au tableau ce qu’il venait de jouer sur ses fesses.

Fiche de travail après fiche de travail et surtout démonstration après démonstration, les élèves apprirent à jouer (ou ressentir) la différence qu’il y a entre les banches, les noires, les croches et même les doubles croches. Ils déclarèrent toutefois que le rythme qu’ils préfèrent est le soupir.

LE REPAS DE MIDI

Apéro et grillades, accompagnés de claques sur fessiers déjà rougis avec une sauce rigolade. En guise de dessert le surveillant en formation continue reçu une fessée du directeur. Tel est fessé qui croyait fesser crièrent mes élèves tous en cœur.

Frisant la tendinite pour cause de pédagogie percutante, les professeurs déclarèrent qu’une promenade dans le parc national du Vercors serait utile pour tous. Ils en profitèrent pour ramasser quelques belles brassées d’orties…..

SATURDAY NIGHT FEVER ET SES SUPRISES

Sans en connaître la raison, les élèvent durent se mettre en pyjama avant le dîner.

Les pots à eau furent transformés en vase, non pas que l’on ait ramassé des fleurs pour décorer la salle, mais tout simplement parce qu’il fallait prendre soin des orties fraiches pour les fessées à l’ancienne.

Ce fut donc une soirée pyjama en guise d’entrée de soirée, suivit d’une soirée « orthicales » puis musicale avec TSM aux claviers avec quelques fessées en rythme histoire de mettre en pratique les cours de solfège.

La grosse surprise vint du directeur ABDL-onthologue diplômé des hôpitaux de Paris qui débarqua avec des paquets couche en déclarant :

« Puisque vous vous comportez comme des bébés dans vos chambres, on va vous mettre des couches » !

Il y eu de nombreuses réfutations, seuls les plus sages en furent dispensés mais il faut croire que la couche a des vertus soporifiques puisque ce soir là, il n’y eut point de bataille de polochon.

DES ELEVES APPLIQUES

Le lendemain aux alentours des 7 heures, les filles armées de casseroles et de cuillères entreprirent de réviser leur cours de solfège dans le couloir du dortoir. Poursuivies par l’équipe pédagogique, elles trouvèrent refuge aux cuisines où elles furent délogées par le GIGN (Groupe d’Intervention des Grognons Narcissiques).

Enseignante diplômée en fessothérapie Dame Miraë prit en charge le cours de français qu’elle conclue par une dictée piège tout aussi cruelle que ses fessées.

Pour les corrections, les copies furent transformées en avion en papier ce qui permit de faire une évaluation dès plus pointue.

Le dernier repas fut pris dehors au soleil, pour cette fin d’un week-end particulièrement riche en guise de discussions, découvertes et fesses rouges. ET là, mesdames et messieurs les jurés de la bonne conscience, ces fous se mirent à réaliser des baptêmes de fouet pour le plaisir de découvrir.

Devant le succès de cette première formation, il fut décidé d’un commun accord de les renouveler et de les développer. Les dates seront donc indiquées dans les annonces du site www.fessestivites.com le coorganisateur de cette « manifesses-tation ».

Quelques rédactions et devoirs sont publiés ici =
http://www.fessestivites.com/fre/Article/29_La-fessee-canne-fouet-Femme-et-Homme/albums/1984_Quelques-redactions-et-devoirs-de-la-rencontre-a-l-ecole-des-fessee.html

Le compte rendu complet + photos =

http://www.fessestivites.com/fre/Article/29_La-fessee-canne-fouet-Femme-et-Homme/recits-histoires-roman/1985_Compte-rendu-de-la-Formation-a-l-ecole-des-Fessees.html

Quelques photos sont publiées ici

http://www.fessestivites.com/fre/Article/29_La-fessee-canne-fouet-Femme-et-Homme/albums/1983_Photos-de-la-rencontre-a-l-ecole-des-fessees-les-14-15-et-16-octobre-2011.html

C’était TSM et papafesseur à vous les studios

fessesaclaques avatar plus
5652 - 18/10/2011 10:31:47

2 réctions pour le prix d'une.

1èrement
: dame Iris ce que vous racontez de vos déboires avec Le bouquin se J Serguine "Eloge de la fessée" prouve que souvent des esprits malvillants ou un tantinet diablotins dévoilent ce que nous mettons tant d'obstination à cacher.

D'où ma question:
Où se loge la fesée?

Et ma proposition:
Comme au théâtre, il faudrait créer une loge pour la fessée.


2 èmement:

Le compte rendu de Vincent concernant "L'école des fessées" du weekend dernier dans le Vercors.

Moi qui était très tenté d'y venir, mais que des aléas tant physiques que financiers ne m'ont pas permis d'y être, je regrette de n'avoir pas pu en être.

Cà devait être génial et très ludique.

petit chaperon vert avatar plus
5653 - 18/10/2011 10:50:31 modifié le 18/10/2011 11:06:37

Ahaha !

Agramant va tordre le nez parce que y a un Monsieur qu'a offert un collier à une Dame... Mais j'avoue que - le rythme qu’ils préfèrent est le soupir - est TRES joli !

Comme Iris [Exellente histoire d'un objet autonome et exibitioniste en diable], mon premier livre acheté et lu sur le sujet fut 'l'éloge de la fessée'.

Dans le placard de ma cuisine est 'caché' le chocolat. Sous le grand lit est ma bibliothèque curiosa... Il faut d'ailleurs que je pense à le surelever celui là, ça commence à déborder sur les cotés...

Bon c'est pas tout ça c'est l'heure de l'apéro faites claquer les glaçons !...
Les glaçons, les glaçooooons...? Bon sang mais c'est bien sur !

Agramant ? C'est pas grave si vous êtes débordé - comme mon grand lit - Vous pouvez, par exemple, nous jurer sur la tête du blog de nous l'écrire pour les fêtes de la Toussaint...

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