Agramant 1812 - 18/04/2011 08:24:26 Hé bé... Mes chaleureuses félicitations à l'équipe d'animation qui se dépense sans compter ! J'ai du lire presque trois pages d'un coup ! (encore qu'il ne faut pas confondre "animation" et "p'tites annonces" n'est-ce pas Mr Gobert ? j'aimerai bien ne plus avoir a vous le rappeler !) En je souhaite également la bienvenue à notre petit nouveau canadien...
Adrien 1813 - 18/04/2011 08:47:45 modifié le 18/04/2011 08:51:45 bon je commence par la fin, je n'aime pas faire des copié-collé mais c'est plus simple 1_ Gobert: De quelles fesseuses toulousaines veux-ntu parler Adrien? REPONSE: je te demandais il n'y a vraiment pas de fesseuses non vénales à Toulouse, dans ce midi si chaud? 2_ P'tit Chaperon: Peut être même, qu'un jour, devrez vous investir dans l'achat d'une crème anti-cal, hein ? C'est ce que je vous souhaite...! REPONSE: alors toi tu es radicale, de la fessée 0 niveau tu souhaites déja l'anti-cal!! 3_ Anniza à qui je demandais pourquoi elle ne travaille pas vendredi, mais c'est Gobert qui a répondu: Pourquo, il est interdit defesser ou d'être fessé le "Vendredi Saint" en Alsace? Quel dommage! REPONSE: mais non cher Gobert, et Anniza aimerait bien être fessée vendredi puisqu'elle ne travaille pas justement. Et si elle ne travaille pas c'est que le vendredi saint en Alsace est férié. 4_Iris:(je n'ai pas tout copié, lire plus haut) Dites donc, Adrien, de prime abord il semble que vous soumettiez votre épouse à un dur régime... Sérieusement parlant, Adrien, elle a le même fantasme que vous, votre épouse ? Pardonnez cette question très directe que je ne me serais jamais permis de poser si vous n'aviez vous-même évoqué le sujet dans votre post ! REPONSE: Non rassurez vous Iris, pas de dur régime, je ne pratique pas ce qu'on appelle l'éducation domestique, c'est par jeu, par moment. J'a 62 ans et elle 61, nous "sortons" moi j'appelle ça plutôt grivoisement "rentrons" ensemble depuis les âges de 17 et 16ans. Mariés le 5 juin 1971 (eh oui M-40). Elle a toujours eut des fesses superbes, qui ont prit un peu d'ampleur avec l'âge. Je m'estime "libertin" depuis très jeune et comme elle était plutôt chaude et partante à condition que nos expériences se limitent strictement à nos 2 personnes. Après il faut être patient, je connais peu de personnes qui accepte de recevoir une fessée comme ça de but en blanc sans se rebeller. Donc il ne faut pas infliger une punition à une novice non consentante. Comme nous le sous entend M-40, l'entente sexuelle avec Madame est au beau fixe, donc c'est simple, il suffit d'être en levrette, cette position que les hommes aiment tous pour la belle vue sur les fesses et la position des mains possessives et que presque toutes les femmes aiment bien justement parce que dans cette position elles se sentent plus offertes, plus passives, plus soumises même. Lorsque l'affaire est bien engagée (c'est le cas de le dire), les 2 mains sur les hanches se déplacent et accompagnant le mouvement (comme disait Marie Chantal à Charles Edouard:_ "écoutez Charles Edouard entrez ou sortez! mais cessez ce va et vient ridicule!!) donc les 2 mains se décollent des hanches et accompagnant le mouvement se mettent à claquer (pas trop fort) le postérieur nu qui est à portée de mains. Il est bien rare que le femme comblée en soit offensée. Il suffit de recommencer cela plusieurs fois, il faut être un chat c'est à dire très patient et un jour offrir par jeu une fessée qui est rarement refusée, surtout dans un couple où la femme sait qu'elle sera ensuite calinée et récompensée comme il se doit. C'est ainsi que ma femme a commencé à accepter d'être fessée. Elle reçoit même parfois le martinet. Avec l'âge c'est véritablement un jeu entre nous, et elle me dit que ça lui fait du bien que son sang circule mieux. Je reste d'ailleurs fidèle à mon principe: la fessée jamais sur un enfant (mes 2 filles jamais fessées) et la fessée doit rester un jeu entre adultes CONSENTANTS. Bises à tous.
fessesaclaques 1814 - 18/04/2011 10:02:20 Bonjour agramant! On vous disait absent des débats! Mais, vous êtes là! Adrien: je ne dis pas qu'il n'existe de fesseuses non vénales à Toulouse, tout simplement, que comme presque partout, il faut beaucoup de chance pour trouver la perle rare! Par 2 fois, avec 2 partenaires différentes j'ai osé parler de mon envie en prenant des gants et en exigeant rien du tout! Si elles ne se sont pas ouvertement moqué de moi, le peu d'entrain u'elles ont mis à me fesser prouvait assez qu ça n'était pas leur tasse de thé! Et contre cela, il n'y pas grand choseà faire: juste accepter leur point de vue et leurs réticences!
Tatinette 1815 - 18/04/2011 18:13:50 modifié le 18/04/2011 20:18:42 En matière de fessée sur la voie publique, puisqu'il vient d'en être question à travers la suggestion d'Adrien pour les excés de vitesse, il y a parfois dans la vie réelle des occasions inopinées, des chances à saisir qu'on ne saisit pas toujours, ce qui peut laisser rétrospectivement quelques regrets ... Voici l'histoire réelle qui m'est arrivée il y a relativement peu de temps et n'a pas manqué de laisser une forte empreinte dans mon imaginaire, faute de m'en avoir laissé une sur les fesses ! Ecoutez bien : Quand Iris devient voyou, vous saurez tout ... ! "ça y est, cette fois on vous y prend et vous allez y avoir droit !" Aucun doute possible, j'ai beau prendre un air innocent et même hébété, mon air de Bécassine, tourner mon regard vers le passant de droite, puis vers celui de gauche, c'est bien à moi et à nul autre que ces paroles s'adressent, incisives et sans ambages, en plein coeur de Paris, sur le trottoir d'un quartier animé qui jouxte le bois de Boulogne . Le ton est rogue et sans clémence aucune. Je sursaute, j'aimerais prendre mes jambes à mon cou ou disparaître dans un trou de souris, mais impossible ... Deux hommes balaises et baraqués ont surgi de façon inopinée et voilà qu'ils m'enserrent, et moi je voudrais m'enfuir, prendre le large, leur échapper, un peu comme ces ados qu'on voit dans les trains de banlieue, prêts à sauter à n'importe quel prix sur les voies quand surgit le contrôleur et qu'ils n'ont pas de billet... Je n'ai qu'une idée : me dégager de cette emprise, mais les deux hommes sont taillés pour impressionner avec leur carrure de déménageurs, pas moins de 1,90 M et moi, avec mes 1,58 M, je ne fais pas le poids ... Et puis l'un d'eux brandit sa carte comme un étendard et me la met sous le nez d'un geste menaçant, tandis que j'ai juste le temps de voir se confirmer ce que déjà j'ai deviné "Agent verbalisateur de la ville de Paris".- Ceux-là, je les connais déjà pour avoir passé un mauvais quart d'heure avec eux l'an passé et écopé ensuite d'une amende de 70 euros, le pire est qu'ils surgissent inopinément et que rien ne permet de les identifier à l'avance tant leur tenue vestimentaire est celle de monsieur tout le monde ... J'ai les jambes qui flageolent, le souffle coupé, déjà la journée a été dure, comme celles que chacun peut connaître après une nuit presque sans sommeil où l'on part au travail tel un automate sans même prendre le temps d'absorber une goutte de café et où, le soir, on remercie le Ciel parce que tout n'a finalement pas été de travers et qu'on s'en est étonnamment bien sorti ! De plus tout est bien qui finit bien : là je sors juste de la banque où je viens avec soulagement de récupérer ma carte visa que, par distraction, j'avais laissé s'engloutir le matin même dans le distributeur . Alors, soulagée mais rompue de fatigue, je n'ai plus qu'une envie, celle de regagner ma tanière et de m'affaler sur un divan ! Et pourtant deux hommes sont là qui me demandent de répondre de mon acte ... De quel acte ? Non, je n'ai pas de complices cachés avec lesquels j'aurais tenté le hold-up de la banque, je ne m'en suis pas pris au porte-monnaie de la dame âgée devant moi ni n'ai pincé les fesses du vigile qui assure la sécurité , au sortir de la banque je n'ai pas craché par terre, comme on voit si souvent le faire de façon plutôt répugnante ... Alors quel délit ai-je bien pu commettre ? Vous allez vite le comprendre et en saisir toute la "gravité" ! -"Vous connaissez la loi, oui ou non ?" attaque l'un des deux hommes en se saisissant de la manche de ma veste et me toisant d'un air glacial, tandis que son collègue pointe l'index sur le bitume où deux pigeons rouquins, hélas vite rejoints par leurs congénères, commencent à picorer avec une extrême conscience les petits bouts de madeleines que je n'ai pas pris le temps d'émietter et les barres protéinées destinées aux "petits creux" de la journée que je leur ai généreusement mais machinalement lancées parce qu'ils me donnent toujours le sentiment de crier famine ...Et, dans nos grandes cités urbaines, les graines, ça pousse pas sur le bitume ! - "La loi? euh ...euh... " Je ne dis ni oui ni non . La loi, nul n'est censé l'ignorer. D'ailleurs leur loi, celle dont ils veulent parler, oui je la connais par coeur, tout en la bafouant sans aucun scrupule et en toute bonne conscience, puiqu'il s'agit d'un geste de compassion et d'entraide pour le maillon faible de la création, ces oiseaux boucs-émissaires qui souvent forcent mon admiration tant ils sont dégourdis en dépit de leurs pattes réduites à l'état de moignon ! Et puis, depuis toute petite, j'ai toujours eu un faible pour les sans-défense, les plus vulnérables, ceux qu'on a envie d'aimer parce que précisément personne ne les aime ! Simplement depuis que je me suis fait pincer l'année dernière en parsemant des graines et ai failli passer la nuit au poste, j'essaie habituellement de le faire à l'abri des regards et en catimini ! - Vous savez combien ça va vous coûter ? Je hausse les épaules et feins de n'en avoir pas la moindre idée .... - 700 euros, chère Madame, comme ça vous comprendrez ! - 700 euros, 700 euros, ah non, l'année dernière, j'en ai payé 70 !!! , Franchement ça ne peut pas être multiplié par 10 en un an, sur un ton presque aussi péremptoire que le leur, j'objecte qu'ils doivent se tromper car si cela était, en ce temps de crise, il faudrait à la plupart des gens verbalisés au moins 70 mois, voire 700 mois pour parvenir à s'acquitter du paiement ! J'ai repris du poil de la bête, la polémique commence à se durcir, les hommes baraqués semblent ne pas avoir apprécié ma dernière remarque et ont compris que, par surcroit, ils ont affaire à une récidiviste, la race la pire à l'égard de laquelle il faut vraiment et définitivement sévir ...Alors est-ce leur mine menaçante ou le ton tonitruant pour exiger une pièce d'identité sous peine de finir la soirée au poste de police ? En tout cas il s'est formé un petit attroupement autour de nous, tandis que chacun y va de son grain de sel . Dans un état second et en l'espace de quelques minutes je perçois un obscur discours où il est question en vrac de risques sanitaires, de germes et virus invisibles, du respect dû aux monuments et des dégradations subies à cause de la gent pigeonne et des "nourrisseurs", des toitures crevées et des gouttières percées sur Notre-Dame de Paris et la Conciergerie en passant même par le château de Versailles, des nuisances et déjections qui coûtent cher au contribuable ... - "C'est dégueulasse, les pigeons !" dit une bonne dame aux cheveux gras et vernis écaillé ... - "Ca donne des maladies pulmonaires et des risques de grippe aviaire!" renchérit une autre à qui j'ai envie d'objecter que, depuis Roselyne, on a des masses de vaccins en rab qui pourraient bien faire l'affaire ! - "Il faudrait tous les capturer ou les euthanasier !" objecte une troisième aux cheveux noir corbeau à qui je meurs d'envie de rétorquer qu'un jour peut-être elle subira le même sort ! - " Ce sont des rats volants qui saccagent nos plus beaux monuments ! Les nourrir, c'est un acte d'incivilité qui mérite une lourde pénalité !" Trop, c'est trop ! D'autres intervenants du trottoir ont beau, par conviction personnelle ou pour tenter de me venir en aide, évoquer la place St Marc à Venise et ses pigeons millénaires qui cohabitent en toute sympathie avec les touristes nourrisseurs, l'oiseau messager porteur de paix, la nécessité de restaurer les pigeonniers etc . A dire vrai, je n'en peux plus, je n'ai plus qu'une envie : c'est d'en finir au plus vite avec cette polémique dont je suis bien involontairement la cause, j'ai un métier que j'exerce dans le quartier et qui ne me permet pas d'être épinglée, ce n'est pas tant de mes démêlés avec les forces de l'ordre dont on se ferait les gorges chaudes, mais plutôt de mes activités de nourrisseur clandestin qui, de l'extérieur, peuvent paraitre l'indice d'une personnalité un peu marginale et déjantée ! Aussi je m'apprête à capituler, sortir la pièce d'identité exigée, quand l'imprévu se produit : deux messieurs d'âge mûr, ayant visiblement suivi toute la scène un peu en retrait, font brusquement irruption dans l'arène, tels des médiateurs du Ciel... Le premier, qui a le verbe haut et se dit membre du barreau, interpelle les agents en rappelant que leur mission, c'est d'assurer la sécurité et que celle-ci n'est nullement mise en péril par les pigeons de Paris, même en nombre, et par leurs nourrisseurs . Ensuite on n'agresse pas de cette façon une femme mue par des intentions compatissantes en brandissant des menaces pécuniaires et pourquoi pas pénitentiaires, c'est un dévoiement de la loi...! A ce moment se produit l'impensable : le second monsieur, qui jusqu'à maintenant avait gardé le silence, s'écrie : " ah, mais, il lui faut quand même une petite sanction à la dame et si le remède, c'était une bonne fessée ...? Oui, j'ai bien dit une fessée ! répète-t-il en prenant à témoin un à un les membres de la petite assistance qui s'apprêtait à se disperser et dont les yeux se mettent à s'écarquiller et à pétiller . Menacée d'une fessée en pleine rue devant des passants que je risque de rencontrer désormais à chaque coin de rue pour peu qu'ils soient fréquentateurs habituels du quartier, au marché, à l'église, au lycée...Me voilà morte de honte , même si en mon for intérieur le mot-clé a fait tilt et commence fort à me troubler, mon sang ne fait qu'un tour : j'imagine déjà en pleine rue ma jupe retroussée, mes fesses mises à nu, les claques qui s'abattent en rafales , la jubilation de mes supérieurs et subordonnés, tous habitués du quartier, devant mon postérieur flamboyant et exposé à leur regard voyeur autant que gourmand ... Non, décidément je préfère l'amende, 700, mille euros, peu importe ...Les deux agents écarquillent les yeux, visiblement la perspective les émoustille, même si la tournure prise par les évènements semble quelque peu les déconcerter et les déposséder de leur pouvoir décisionnaire, en tout cas ils ont perdu toute agressivité ... "Filez !" me dit l'homme qui a suggéré le châtiment " Filez vite et, pour la fessée, sachez que, la prochaine fois, c'est moi qui n'hésiterai pas à m'en charger !" Je ne me le fais pas dire deux fois, je file tout droit, je l'ai échappé belle et pourtant je sais que je récidiverai... Aucune loi ne me fera fléchir et je plaiderai toujours en faveur de ces joyeux bandits volants qui, sur le rebord de mes fenêtres, se moquent bien de ma fessée à venir et continuent à roucouler, pleurer, crier famine et chanter leur gratitude ...
Anniza 1816 - 18/04/2011 18:18:56 Bonsoir à tous ... juste un petit mot amical pour vous dire que j'apprécierais assez de voir ma sublime chute de reins disparaître dans les limbes de l'oubli.On a bien rigolé là dessus mais, croyez le ou pas, il y a d'autres sujets de plaisanterie tout aussi renversants ... tiens par exemple : connaissez vous la différence entre un politicien et le TGV ? Eh ben quand le TGV déraille, il s'arrête, lui Euh, M40, que penseriez vous de "mille millions de mille sabords" à la place de T......k ? C'est un peu long, ça reste un juron mais c'est plus soft, non ? Bravo Adrien pour ta juste observation concernant le Vendredi Saint en Alsace ...c'est juste férié, rien d'autre. Couvrez bien vos fesses les amis, les nuits sont fraîches ! Bisoux XXL
Anniza 1817 - 18/04/2011 18:27:15 Géniale Iris ! Oui, continuez à défendre la cause des volatiles roucoulants ... même et surtout s'ils vont se soulager dans la minute qui suit sur les crânes de la maréchaussée ! Tenez bon mais ... affinez votre odorat pour repérer de loin les poulets ... !
fessesaclaques 1818 - 18/04/2011 18:42:16 A propos de volatiles, sentir le vent du poulet, c'st un peu normal, non? On se vole dans les plumes à la moindre prise de bec! Les Alsaciens ont cette chance d'avoir quelques jours fériés supplémentaires, et Anniza pour compagnie: les veinards!
Anniza 1819 - 18/04/2011 19:16:25 Tu ne me connais que via le site, Gobert . Il est normal que je m'y montre facétieuse et enjouée. Mais qui te dit que je suis aussi décontractée dans la vie de tous les jours ? J'ai un gros travers notamment, celui de considérer l'Homme avec un grand "H" comme une "espèce" (préservée malgré Mai 68) à respecter.Je n'y mets aucune obséquiosité, juste ma conviction profonde. Pour ce qui est de la fessée, elle a un autre sens pour moi que le seul jeu. Certes, c'est agréable de se prendre une p'tite rouste fessière hebdomadaire pour booster sa libido. Mais il en est de plus sérieuses aussi... qui ont le même effet au bout du compte. J'ai quitté OJ parce que à la longue, les jeux de chipies m'agaçaient. Provoquer à distance, quand on ne fait plus que ça, devient lourd et stérile ... mais parler avec vous tous est agréable (si si, je vous assure !)parce que, quel que soit le sujet abordé, on garde le sentiment qu'on est des adultes et qu'on a un goût particulier à partager,dans la dignité et la sérénité. Bon, c'est pas tout mais il fait nuit maintenant et il faut que j'aille nourrir mes pigeons ...
fessesaclaques 1820 - 18/04/2011 20:00:08 Bien sur Anniza ue je ne connais que par ce blog! J'imagine aisément qu'y participer est pour toi un bol d'oxygène! Et qu'il n'y a pas que cela dans ta vie! dans la mienne aussi d'ailleurs! En plus, il faut nourrir les pigeons? Et bien dis donc!