Ho que oui alors ! Je ne peux en définir le nombre exact mais j'en ais reçu pas mal de toutes les sortes. De 18 a 19 ans des débuts timides et laborieux, de 20 à 32 ans ce fut une époque glorieuse si je peux me permettre l'expression. Ensuite un peu moins et aujourd'hui de temps en temps.

J'ai travaillé très jeune donc j'avais un peu de monnaie alors j'ai débuté avec des prostitués. Pas facile la première fois d'expliquer ça même à des femmes qui devaient en avoir vu d'autres. je n'ai pas un bon souvenir et même plutôt mauvais, voir carrément lamentable de ces premières tentatives qui m'ont couté très cher au niveau pécunier pour aucun plaisir sauf une exeption. C'est aussi vers 18-19 ans que j'avais rencontré un homme beaucoup plus agé que moi, je pense entre 35 et 40, qui habitait de temps en temps le week-end, quelques rues plus loin qui un jour nous avait surpris moi et quelques copains en train de se baigner dans sa piscine ( qui existe toujours d'ailleurs) Il était rarement là alors ont en profitait quand il faisait chaud de passer par dessus son mur et de se baigner dans une eau pas toujours très propre car celui qui venait s'occuper de temps en temps du jardin et de la piscine ne devait pas être un méticuleux. ça faisait déjà quelques années qu'on faisait ça. Ce jours là le proprio était arrivé et nous ne l'avions pas remarqué ou du moins trop tard. Je ne devais pas courir assez vite parce que je suis le seul à mettre fait prendre et ce monsieur m'a collé une dizaine de claque sur les fesses en ayant un peu baissé mon slip de bain puis il m'a foutu à la porte de sa propriété en me disant qu'il en avait d'autre à mon service s'il me reprenait dans ces murs. ça m'avait beaucoup marqué et je peux dire que j'y repensais le soir dans mon lit. J'ai longtemps hésité et puis un jour je suis retourné tout seul me baigner dans sa piscine sachant pertinament qu'il était ce jour là présent et en fait, j'avais bien deviné, il aimait bien claquer de la fesse et il a tout de suite compris pourquoi jétais revenu. Nous avons joué quatre ou cinq fois car il était trop souvent absent et de plus c'était petite fessée et au revoir. Aucune complicité. Au retour de l'armée je n'ai plus jamais été sonner à sa porte. c'était un drôle de gars, célibataire et qui, m'avait-il dit, travaillait pour les douanes. Voilà comment entre 18 et jusqu'à mon départ sous les drapeaux j'ai débuté.

J'avais 10ans, un jour à l'école, il y avait un mec insupportable, j'étais au 1er rang, la maitresse Melle Langfeld (c'est ancré dans ma mémoire) s'est assise hors du bureau sur l'estrade, l'a appelé, il est venu fanfaron, elle l'a chopé au poignets basculé en travers de ses cuisses, déboutonné culotte courte, baissée en même temps que le slip, elle était de côté, lui le cul tourné vers nous, un gros cul tout blanc, tout lisse, à trois mètres de moi, il hurlait avant la 1ère salve, tous les autres riaient, moi j'avais une boule dans la gorge, ma petite bite était toute dure pour la 1ère fois dans mon slip, je la tenais à travers mon short, j' avais envie d'être à sa place et en même temps ça m'exitait de voir son gros cul à l'air, de savoir qu'il allait en prendre une, et j'avais honte pour lui d'avoir les fesses nues devant tout le monde, pas mixte heureusement à cette époque là. Et les grandes mains fines se sont abattus sans flèchir sur la lune offerte solidement maintenue(avec le recul je me dis qu'elle était habituée à donner des fessées)quand elle l'a remis debout, tjr les fesses face à nous, le cul était rouge vif, il se les frottait en trépignant malgré le slip et le short aux chevilles, elle l'a retourné ainsi face à nous, quand j'ai vu son visage plein de larmes, décomposé par le chagrin, la douleur et la honte, ses yeux qui ne pouvaient supporter nos regards moqueurs, j'ai jouis dans mon slip,(j'avais peur qu'elle me voit et m'en mette une aussi) elle l'a retourné nez au tableau, mains sur la tête, culotte et slip aux chevilles, il est resté ainsi au moins 1 heure, la maitresse était écarlate, a t'elle jouis? Je ne le saurai jamais.
Le Dimanche dans un journal qu'achetait mon Père, il y avait une 1/2 page de bd, c'était "la guerre des boutons", et là en plus des bagarres tous nus, (à cause qu'il ne fallait pas se faire voler de boutons) "p'tit gibus" recevait à ses retours en piteux état, des fessées par son Père, il était dessiné couché sur le ventre cul nu et il recevait le ceinturon, et ça, ça me faisait bander.
Quelques temps plus tard je vis à la télé l'assomoir de Zola, et là dans le lavoir deux femmes se battent et Suzy Delair qui avait des fesses superbes se retrouve déculottée à plat ventre par l'autre qui prend un battoir et lui inflige une fessée memorable. J'ai été me branler ce jour là et jouis beaucoup.
Mon penchant pour la fessée est né de ces faits je pense
je n'ai jamais été puni, gifflé, fessé ni par mes parents, ni à l'école, mais la fessée était toujours présente dans mes idées. Vers 16 ans, j'ai commencé à être livreur, 1m90, 90kg j'ai lu une annonce d'une fesseuse pro de 56ans, l'idée de recevoir une fessée pour savoir ce qu'on ressentait me suivait depuis un bon moment déja, après maintes hésitations, je l'ai appelé bredouillant mes mots, lui avouant être vierge de toutes fessées, en riant elle m'a donné son adresse vers l'opéra. Je m'y suis rendu et le feu aux joues, j'ai sonné une femme très bourgeoise, chignon etc (pas en cuir) m'a fait entrer en plaisantant
_"le beau bébé qui vient recevoir sa fessée, tu as mon petit cadeau ?"
dans une chambre, elle m'a ordonné de me mettre tout nu, puis allongé sur le lit, sur le ventre, m'a fessé main, dos de brosse à cheveux, ça m'a chauffé mais pas terrible,
_"tourne toi!"
comme je bandais, elle m'a fait jouir avec un vibro collé à ma queue, fait remettre debout
_"vas te laver,habille toi et file garnement"
pas très concluant comme on peut le voir mais pas désagréable pour mes fesses. J'avoue que j'en ai reçu d'autres depuis et des meilleures, et que j'en reçois encore par moments, par pulsions , par femmes (très dur à trouver car il y a longtemps que je donne plus le KDO) ou par des hommes (voir récits).

je ne sais pas si c'est du au fait que le minitel était payant et qui faisait une sélection, mais je trouve que les rendez vous à cette époque étaient plus sérieuses, plus fiables. Avec internet, surtout pour les femmes, je trouve qu'il faut vraiment être en confiance pour aller n'importe où en rendez vous et surtout de se laisser lier. C'est vrai que l'époque actuelle est plutôt frustrante car même certains fesseurs sont des fantasmeurs qui n'ont jamais claqué une paire de fesses ou alors par jeu celles de leur femme.

En tout cas, moi je n'avais pas de minitel et je faisais ça en répondant à des petites annonces sur des revues spécialisées ou bien je payais pour en envoyer et je peux dire que sur certains rendez-vous j'ai frisé la correctionelle à même me sauver d'un pavillon tout nu par la fenêtre.

Elorie quel dommage!!!! 12 heures d'avion nous sépare..sinon tu aurais pu être fessée tous les 2 jours si tu l'avais souhaité. J'ai déja une amie vers 3 rivières qui me montre ses fesses généreuses par wcam mais ma main n'est pas assez longue.
Que font les Québécois?

Vous trouvez vraiment que j'y suis allé trop fort Elorie ? Relisez c'est elle qui exprimait très clairement (me semble-t-il) qu'elle voulait partir :

> Bon, ben, je m'apprette à suprimer completement mon profil,
> ce sera donc un Adieu!

> eeeeeuuuuuu ..... comment on fait pour suprimer son profil???

Moi je le regrette, je suis très content de voir des Québécoises (et des Québécois aussi du reste) ici, mais on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif...