Voila un bail que je n'avais pas écrit un petit récit, alors voila :


Nous avions longuement correspondu avant de nous rencontrer enfin l'automne dernier. Nous nous étions donné rendez-vous dans un café proche de la résidence universitaire ou elle habite. J'avais beau savoir son âge, j'ai quand même eu un choc en l'apercevant : on lui aurait donné quinze ou seize ans maximum... J'ai même cru un instant que c'était une lycéenne qui, par hasard, aurait porté la tenue qu'elle m'avait décrite par sms le matin même. Mais non, c'était bien elle...

Une fois dans le café et les commandes passées, surmontant ma gêne, je lui demande si elle peut me montrer sa carte d'identité afin que je puisse être sur de son âge, et je lui propose la mienne en contrepartie. Elle s'exécute sans avoir l'air trop surprise et sans pour autant s'intéresser à la mienne. Malgré la gêne de mon indiscrétion, cette fois je regarde vraiment la date de naissance (il m'est arrivé, dans des circonstances similaires de me trouver tellement embarrassé que je ne l'avais pas lue !), et fais le petit calcul mental qui va bien : elle a tout juste 20 ans, tutto va bene !

Au début, elle est un peu intimidée -on le serait à moins- et ne parle pas beaucoup, mais une petite bière aidant, elle finit par se laisser apprivoiser et devient nettement plus prolixe. Pendant plus d'une heure nous parlons de tout et de rien, mais pas du sujet qui nous réunit ! A chaque allusion -plus ou moins fine- de ma part, elle rougit un peu mais esquive et part sur un autre sujet... Ce n'est pas grave, je m'y attendais, c'est assez fréquent. Les vraies questions sur notre fantasme commun et son éventuelle réalisation en ce qui la concerne, ont été traitées en mail, et à fond...

Quand vient pour elle le moment de repartir en cours, je sens bien qu'il n'en faudrait pas beaucoup pour que je l'emmène avec moi dans un hôtel propice, mais je n'aime pas improviser ce genre de choses et préfère lui donner le temps de la réflexion...

Il est donc convenu qu'on se recontactera en mail pour mettre au point les modalités d'une rencontre plus... concrète, si elle est toujours partante...

Elle l'est. Mais nos calendriers s'accordent mal et plusieurs semaines se passent. Puis une occasion se présente : un jour ou elle n'a pas cours et ou ses parents ne seront en déplacement. C'est donc moi qui viendrai chez elle. Je m'en trouve un peu soulagé car j'étais mal à l'aise à l'idée d'aller à l'hôtel avec une fille ayant autant l'air d'une ado...

Maintenant que la date est fixée, le compte à rebours commence ! Je m'emploie à faire monter la pression avec quelques mails bien choisis. Elle est tellement dans le "trip" que c'en est presque trop facile ! Limite elle se met la pression toute seule !

Le jour "J" je prétexte un déplacement professionnel pour rejoindre sa province heureusement assez proche. J'ai emmené avec moi quelques accessoires (martinet, paddle, bandeau...) sans savoir si je m'en servirai ou non... Je me laisserai guider par l'ambiance.

Elle devait guetter mon arrivée, car elle vient ouvrir avant même que je n'ai sonné. Je constate qu'elle porte encore un jean au lieu d'une jupe ou d'une robe comme je le lui avais demandé. Qu'importe, même s'il lui moule admirablement bien les fesses, cela me servira de prétexte pour sévir. Ca et les allusions déplaisantes sur mon âge dans ses mails...

Tandis qu'elle me fait les honneurs de sa maison, j'hésite entre sa chambre ou le salon comme "lieu d'execution". Finalement, le salon me parait le mieux. Comme nous y arrivons, je prends l'air sévère et je commence à exposer mes griefs d'un ton froid. Comprenant sans doute que ses fesses sont menacées à très court terme elle se trouble et tente maladroitement de se défendre. Je réalise alors qu'elle ne m'a pas donné de "mot magique" pour arrêter le jeu si besoin était. Ce n'est pourtant pas faute de le lui avoir demandé ! Peu importe, je pense avoir suffisamment d'expérience pour sentir s'il est besoin d'arrêter. Et de toutes façons, je ne prendrais pas de risques, j'arrêterai à la première demande.

Je lui saisis la main et l'entraine sans brutalité mais fermement vers un canapé tout proche. Je m'y assied et la fait s'allonger sur mes genoux. Son petit postérieur bien moulé par le jean est enfin à ma merci. Je ne vois pas son visage, mais je suis prêt à parier qu'elle ferme les yeux. Elle attend. Pas longtemps : une première claque sèche s'abat sur le jean. Je la sens tressaillir. Les claques s'abattent régulièrement, mais sans trop lui faire mal, car visiblement le jean et sa culotte la protègent bien. Trop bien d'ailleurs. N'ayant pas envie de me faire mal aux mains et ayant surtout envie de voir ses jolies fesses in naturalibus, je la fais se relever et lui intime l'ordre de baisser ce jean. Comme elle tarde à obéir, je sors un martinet du sac que j'avais emmené et lui fait comprendre qu'elle va y avoir droit très vite si elle n'obtempère pas rapidement.

En tremblant un peu, elle dégrafe le jean et le fait descendre doucement sur ses cuisses, découvrant une culotte un peu inattendue pour une fille de cet âge (enfin je trouve) : très sophistiquée, tout en dentelles et broderies... On sent qu'elle n'a pas été choisie au hasard (elle m'avouera plus tard avoir acheté ce sous-vêtement exprès pour cette circonstance). Je la complimente sur sa culotte, mais lui dis d'un ton sans réplique qu'une fessée se donne sur des fesses nues. Joignant le geste à la parole, je baisse prestement (mais délicatement pour ne pas l'abimer) le joli sous-vêtement jusqu'au jean. Je vois ses joues s'empourprer, et elle vient d'elle même se recoucher sur mes genoux pour tenter de protéger un peu sa pudeur...

Je profite un instant du panorama splendide qui m'est offert, de belles petites fesses rondes et ferme et de jolies cuisses fuselées... Puis je reprend la fessée ! Les claques sonnent plus clair sur les fesses nues qui ne tardent pas à rougir. A chaque coup, je sens un tressaillement, et sur les coups les plus appuyés, un raidissement de tout le corps.

Régulièrement je lui ménage des pauses pour souffler un peu, et je la sens s'abandonner complètement tandis que je caresse doucement ses jolies fesses de plus en plus rouge.

Quand je la sens "a point", je lui annonce qu'elle a malgré tout mérité quelques coups de martinet, à recevoir sur le champ, avant la dernière partie de la correction. A l'idée du martinet, je la sens se contracter un peu, mais elle ne proteste pas. Elle ne proteste pas non plus quant je lui ôte complètement jean et culotte, la mettant ainsi nue jusqu'à la taille. Je la fais se courber, le buste à plat sur une table, les jambes légèrement écartées, puis le martinet rentre en scène. Je n'y vais pas trop fort, mais j'ai tout de même le plaisir de voir sa jolie croupe se tortiller désespérément sous la morsure des lanières.

Puis ce fut le coin pendant une dizaine de minutes, a genoux, les mains sur la tête, exposant ses belles fesses bien rouges et striées
Puis comme promis, la fin de la correction arriva, de nouveau allongée sur mes genoux pour une fessée classique... Seulement, après avoir été fessées puis s'être reposées, les fesses deviennent beaucoup plus "réceptives" à une nouvelle correction et j'ai eu le plaisir que la voir et de la sentir se trémousser, se tortiller comme une perdue, bien plus que la première fois !

Quand tout a été fini, les fesses étaient cramoisies et elle semblait hébétée, comme si elle venait de débarquer sur une autre planète. Je l'ai prise dans mes bras pour l'aider à revenir sur terre en la câlinant doucement. Puis nous avons pris un rafraichissement et sommes aller marcher un peu dans la campagne environnante avant que je ne reprenne le chemin du retour.

Une belle journée !

Bonjour à tous,
La lecture des témoignages de Croquette et Agramant me motivent pour un retour au clavier et un petit témoignage vécu.
Il y a quelques années, je correspondait avec une étudiante, que je surnomme ici A, qui venait à Paris tous les jours d'assez loin, sans connaître aucun quartier autre que celui son université. Son chéri ne mettait aucune conviction dans la fessée, si bien qu'elle recherchait des fesseurs plus âgés, forts, fermes et endurants. Nous convenons d'un rendez-vous à RER Alma, ce qui m'avait permis d'avoir un déjeuner professionnel de l'autre côté du pont. Prudente, elle souhaitait un premier rendez-vous dans un lieu public, comme il faisait beau je l'ai emmenée au jardin du musee Branly à deux pas du RER. "Vous me reconnaitrez facilement j'aurai un look de pute, comme Julia Roberts dans Pretty Woman".
Je pensais qu'après une heure de discussion et une boisson, nous conviendrions d'un autre rendez-vous.
Mais au bout de 20 mn dans cet endroit charmant, A trouvait que je répondais parfaitement à ses questions. Je lui demande "on commence quand", sans hésiter en regardant mes grandes mains, elle dit "tout de suite". Je regarde autour de nous, nous ne sommes pas vraiment seuls en haut de l'amphithéâtre de verdure. "Tu n'as pas soif d'abord ?" Lui demandai-je, "non, j'ai raté mon partiel, je dois être corrigé rapidement comme il se doit, pour avoir le temps de rentrer avant le dernier train pour préparer le rattrapage".
Il n'y a personne chez moi, c'est à 20 mn, lui suggère de patienter le temps du trajet à pieds. Elle en profite pour faire un SMS à son copain, le rassurant sur le sérieux du fesseur qu'elle a trouvé et avec qui elle veut tout de suite mettre en pratique.
Plus nous avançons, plus elle marche vite, tellement elle est motivée...
Arrivés chez moi, elle a juste le temps de boire un verre d'eau. Nous nous installons de chaque côté de la table pour que je la sermonne sur le partiel raté. Sans baisser les yeux, elle critique l'absurdité de l'énoncé du partiel. Je me fâche pour son impréparation, le temps perdu et le risque de redoublement. Je lui annonce 300 fessées, qu'elle devra compter et 600 si elle rate le rattrapage.
Je commence 25 sur le short, 25 sur le collant, puis 25 sur le string, je prends mon temps pour le défaire et 225 sur les fesses nues. Je me régale à fesser ce beau fessier musclé et tout neuf de 22 ans ! A ma grande surprise, alors que d'autres punies sont écarlates au bout de 150 fessées, A était à peine rosie au bout de 300 sans discontinuer. Une fois qu'elle a compte 299, 300, une insolence de dernière minutes, m'a amené à sévir 100 claques de plus ! Plus tard je découvrirai, qu'il n'y a pas de limite au nombre de fessées que peut endurer A ! Et qu'elle est insatiable. Nous avons pris date pour les résultats du rattrapage.
Le soir au théatre, j'ai applaudi plus doucement que d'habitude....

Ton récit est bien agréable lui aussi. J'aime ton esprit mutin et ta verve ! Merci Croquette !
Merci Dundee aussi bien sûr ...