C'est la position la plus classique ou la victime est allongée sur les genoux du fesseur lui-même assis sur une chaise ou un tabouret. Cette position est souvent appelée OTK (Over The Knees) dans la littérature anglo-saxonne. Très efficace, les fesses sont tendues et bien exposées, le fesseur est bien a sa main. Les jambes de la victime s'ébattent librement et le fesseur peut avec sa main gauche immobiliser le haut du corps ou saisir les poignets de la victime si celle ci tente de protéger ses fesses avec sa main.
Le fesseur devra veiller a ne pas oublier la fesse la plus proche de lui car la tendance naturelle est de frapper plus volontiers l'autre fesse (celle plus proche du genou du fesseur)

La victime est courbée sur le bras du fesseur, comme un jeune enfant. Requiert un fesseur grand et assez musclé et/ou une victime de petite taille et pas trop lourde. On peut tricher un peu en admettant que la victime touche le sol de la pointe des pieds

La victime est debout derrière une chaise, courbée au dessus du dossier, les mains à plat sur le siège. Excellente position pour la ceinture ou le martinet, les fesses sont cambrées et bien offertes.

Variante de la position précédente en remplaçant la chaise par un bureau (ou une table, un pupitre, une commode...). La victime est debout le haut du corps couché sur le meuble. Cette position était utilisée autrefois dans certains établissement scolaire ou la fessée était administrée devant toute la classe (et ce n'est pas si vieux, j'en garde personnellement un souvenir cuisant...). A noter que l'arrête du meuble se trouvant juste a la hauteur du sexe de la victime, celle-ci peut en profiter subrepticement..

la victime est debout, jambes légèrement écartées le dos courbé, la tête vers le sol et tenant ses chevilles (ou ses genoux, selon son degré de souplesse !) dans les mains. Cette position est particulièrement impudique pour les victimes de sexe féminin...

Allongé en travers d'un cheval d'arçons, le haut du corps pendant d'un coté, les jambes de l'autre. On pourra remplacer le cheval d'arçon par un tréteau ; si la correction doit être longue, on prévoira de d'entourer la barre du tréteau par un oreiller ou un édredon pour qu'elle ne scie pas trop le ventre de la victime. Cette position est assez prisée par ceux qui aiment corser la fessée de bondage (le fait d'attacher la victime) : dans ce cas les chevilles et les poignets de celle-ci sont liées aux quatre pieds du tréteau. Attention cependant, pour pratiquer le bondage en plus de la fessée (que ce soit sans cette position ou dans une autre...), il faut que la victime soit vraiment sûre de son fesseur et ait une parfaite confiance en lui ; cela a déjà été dit mais mérite d'être répété : si le fesseur "pète les plombs" la situation peut virer au cauchemar...

selon les goûts, on placera ou non un coussin ou un oreiller sous le bassin pour cambrer légèrement les fesses. les fesses ne sont pas ou peu tendues et ont tendance a ballotter sous les coups (sauf si la victime contracte ses muscles fessiers).
A noter que dans cette position, du fait de ses mouvements volontaires ou non la victime (même si c'est une femme) peut se masturber sur le couvre-lit... Si le lit est à barreaux, on peut aussi coincer les mollets de la victime entre les barreaux et même les y attacher...

La victime est allongée sur le dos, sur un lit ou sur une table basse. Le fesseur lui maintient les jambes relevées d'une main et opère de l'autre. Si la victime est un homme, le fesseur veillera a ne pas frapper les testicules surtout s'il utilise un instrument...

A plat ventre sur la plus haute marche...

Une poutre ou une branche élevée suffiront. La victime est totalement nue et a les mains liées maintenue au dessus de la tête par une corde passée dans la poutre (ou la branche). Ainsi son autonomie de mouvement est limitée au bas du corps et elle ne peut utiliser ses mains ou ses bras pour se protéger. Position très excitante à voir mais les réserves évoquées plus haut sur le bondage s'appliquent...